Légende alternative :

de la météo. →Problématique: Comment le temps est-il représenté par Baudelaire? •MVTS. ➡Une jeunesse perçue comme un été orageux →Bilan d'une maturité négative associée à l'automne ➡>Espoir de renouveau qui s'apparent au printemps ➡La présence destructrice du temps réduit à l'échec tout espoir de renouveau, à l'image de l'hivers Conclusion → Ce poème dévoile le spleen du poète, son angoisse face au temps jugé supérieur et destructeur. Il fait des ravages et joue un rôle sur l'inspiration du poète. → Le temps est souvent vu comme un ennemi pour Baudelaire comme dans son poème L'horloge. ⇒L'Ennemi Premier mouvement - première strophe Un jeunesse perçue comme un été orageux lere pers sg +passé simple et composé "Ma jeunesse" "mon jardin" +"ne fut" "ont fait" "Un ténébreux orage" "le tonnerre et la pluie” / "Brillant soleils" "fruits vermeils" Texte 9 Charles Baudelaire "ténébreux orage/ tel ravage" "brillants soleils/fruits vermeils" C.L du temps/de la météo et des saisons Antithèse lumière et obscurité rimes croisées Antithèse Dimension autobiographique dès le début. Registre lyrique. Retour vers le passé > souvenir du poète et bilan décourageant de ma jeunesse Alternance métaphorique de l'espoir et du désespoir, entre le spleen et l'idéal. Contraste et alternance de voc mélioratif et péjoratif. Symbolise le spleen/idéal. Sa jeunesse "ne...que" "un tel" "ça et là" "bien peu de" Voilà que "l'automne des idées" "La pelle", "le râteaux", "les terres”, “mon jardin” "Qu'il reste" "il faut” “l’eau creuse" "la pelle", "trous", "terres", "comme des tombeaux" "trous" "grands” “terre”... Deuxième mouvement – deuxième strophe Bilan d'une maturité négative associé à l'automne "il faut" "employer" "à neuf" "Et qui sait" "feraient" Toute la strophe "trouveront" Négation restrive "ce sol lavé comme une grève "fleurs nouvelles" (allusion au titre) "mystique aliment” Métaphore C.lex du jardin, du travail de la terre Prst d'énonciation C.lex de la mort Comparaison Allitération en R et T C.lex du travail, du devoir Phrase interrogative, question rhétorique Futur a été constituée à la fois de positif et négatif. Intensifie, met l'accent sur l'importance de la dimension orageuse et l'idéal et donc un peu plus en retrait, effacé. Troisième mouvement - troisième strophe Espoir de renouveau qui s'apparente au printemps Hypothèse/ incertitude conditionnel Comparaison Métaphore Métaphore Tableau visuel, constat de la chute de ses idées, de son manque d'inspiration Symbolise le travail d'écriture du poète Evocation de la situation présente du poète Exprime l'angoisse du poète face au temps qui s'écoule de façon inévitable vers la mort. Renforce l'angoisse, la dureté par le manque de fluidité Allusion au travail poétique, le poète cherche quand même à renouveler ses idées. Relance du poème par incertitude mais on peut voir un peu d'espoir, il n'est pas complètement catégorique Doutes de l'auteur Évoque l'avenir certain, espoir Symbolise encore une fois son manque d'inspiration Nouvelles inspirations >espoir de renouveau Aliment purifié qui laisse place au renouvellement. Les fleurs devraient de nourrir avec donc le Quatrième mouvement - quatrième strophe La présence destructive du temps réduit à l'échec tout espoir de renouveau. "-O douleur! ô douleur! Marque une rupture avec Registre lyrique répétition ce double cri de "le Temps" "l'obscur Ennemi" | Allégories "Mange" "ronge" "nous" "mange" "ronge" "croît et se fortifie" "Ronge le coeur" "Du sang que nous perdons" “aliment” "mange" Toute la strophe Prst de vérité générale "je" > "nous" Personnification Gradation Métaphore du vampire c.lex de la nourriture poète peut s'inspirer du spleen pour créer l'idéal. Phrases exclamatives désespoir. Le temps est omniprésent, il est mis en avant Vision pessimiste, une réalité inévitable et l'h doit faire face à cette réalité. Victoire de l'Ennemi. Élargissement universel, personne n'y échappe. Le temps est sujet et va à l'encontre de la vie, il est supérieur et destructeur La douleur physique se fait ressentir Le temps dévore le poète Exprime la détresse et le désespoir du poète devant un tel constat