Chargement dans le
Google Play
Propriétés physico-chimiques
Les signaux
Lumière, images et couleurs
L'organisation de la matière dans l'univers
Structure de la matière
Mouvements et interactions
Constitution et transformations de la matière
Constitution et transformation de la matière
Les transformations chimiques
Les états de la matière
Vision et image
Ondes et signaux
L'énergie
Les circuits électriques
Énergie : conversions et transferts
Affiche tous les sujets
Révolution et restauration
La méditerranée de l'antiquité au moyen-age
Le nouveau monde
Nouveaux enjeux et acteurs après la guerre froide
La crise et la montée des régimes totalitaires
La france et la république
Le monde depuis 1945
Le xviiième siècle
Les religions du vième au xvème siècle
Une nouvelle guerre mondiale
Le monde de l'antiquité
La 3ème république
La guerre froide
Les guerres mondiales
Le xixème siècle
Affiche tous les sujets
Unité et diversité des êtres vivants
Corps humain et santé
Reproduction et comportements sexuels responsables
La génétique
Le monde microbien et la santé
Alimentation et digestion
La géologie
Nutrition et organisation des animaux
Le mouvement
Diversité et stabilité génétique des êtres vivants
La cellule unité du vivant
Procréation et sexualité humaine
La planète terre, l'environnement et l'action humaine
Transmission, variation et expression du patrimoine génétique
Affiche tous les sujets
Faire la guerre, faire la paix : formes de conflits et modes de résolution
Analyser les relations entre états et religions
De nouveaux espaces de conquête
L’enjeu de la connaissance
Histoire et mémoires
Analyser les dynamiques des puissances internationales
S’informer : un regard critique sur les sources et modes de communication
Comprendre un régime politique : la démocratie
Étudier les divisions politiques du monde : les frontières
S’informer : un regard critique sur les sources et modes de communication
L’environnement, entre exploitation et protection : un enjeu planétaire
Affiche tous les sujets
30/06/2022
3321
69
Partager
Enregistrer
Télécharger
INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le...
Note moyenne de l'appli
Les élèsves utilisent Knowunity
Dans les palmarès des applications scolaires de 11 pays
Les élèves publient leurs fiches de cours
Louis B., utilisateur iOS
Stefan S., utilisateur iOS
Lola, utilisatrice iOS
die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). INTRODUCTION Objet d'étude: La littérature d'idées du XVI* au XVIII* siècle LECTURE LINÉAIRE: Gargantua de Rabelais, 1534 Étude du prologue Au début du 16ème siècle, un nouveau mouvement littéraire et culturel apparaît en France : l'humanisme qui est un mouvement ou l'homme est mis en avant et idéalisé dans tous les domaines. François Rabelais a publié Gargantua en 1534 sous le pseudonyme Alcofribas Nasier (anagramme). Gargantua est une œuvre comique qui marque une rupture avec le Moyen-Âge dans laquelle l'auteur propose un ouvrage dans lequel il expose une conception humaniste de l'éducation, de la politique et de la religion. Ce texte est un extrait du prologue de Gargantua. Ici, Rabelais nous invite à réfléchir au sens profond de l'œuvre. Problématique : Quel est le but de ce prologue ? A SAVOIR : 1.2 : il est question du Banquet de Platon et de deux de ses « personnages » : Alcibiade et Socrate (Platon est un philosophe grec antique et Le Banquet est un dialogue philosophique entre plusieurs personnages dont Alcibiade, portant sur la nature de l'Amour). 1.3: Silène est en effet le nom d'un satyre dans la mythologie grecque, généralement représenté sous la forme d'un homme ivre et laid et, par extension, le nom donné aux satyres (= créatures de la mythologie grecques qui accompagnent le dieu Dionysos, c'est-à-dire le die du vin et de la vigne). 1.5/1.6: L'énumération rappelle l'intérêt du XVIème siècle pour les cabinets de curiosité (ancêtres des musées, apparus au XVIème, dans lesquels on trouvait toutes sortes d'objets, y compris des restes d'êtres fabuleux) L'oison bridé est dans le langage populaire un sot et on peut sans doute voir un calembour (jeu de mot à connotation humoristique) dans 'expression canes bâtons = ignorant, imbécile. 1.6: Bacchus était le dieu du vin et de la vigne (l'équivalent de Dionysos). 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1. Mouvements de l'extrait + II. Explication linéaire : Le texte est structuré en deux parties : Le premier mouvement présente une apostrophe aux lecteurs et une double référence aux silènes et à Socrate. (1.1 a 22) L'extrait s'ouvre sur une apostrophe dans laquelle l'auteur s'adresse aux lecteurs. Adresse aux lecteurs : 11: Adj mélioratif renforcé par Adverbe = Rabelais fais l'éloge de ses lecteurs. 11: Nom = désigne les lecteurs, ces nom font réf à des vices (le fait de boire de l'alcool), et à des plaisirs (avoir une vie sexuelle très active et variée). Ainsi l'image du lecteur idéal ainsi tracée est celle d'un bon vivant qui ne renie pas les excès. Nous pouvons déjà dire que Rabelais annonce une œuvre place sous le signe comique et avec des éléments en lien avec la sexualité. 1.1: Pronom personnel : « car c'est à vous et non à d'autres que sont dédiés mes écrits »> = Les lecteurs sont interpellés à la deuxième personne du pluriel par l'auteur et il va instaurer une relation singulière à eux. 1.2 : Référence au monde antique semble supposer que la suite du prologue sera plus sérieuse. Mais cette remarque est à nuancée car Alcibiade est aussi un personnage qui fait irruption, ivre, dans le banquet en question (notion sérieux + comique = RIRE ET SAVOIR) 1.3: Périphrase = Montre que Socrate est traitée avec révérence, Gargantua est donc, dans ses premières lignes, un roman qui affiche un intérêt pour l'Antiquité. 1.3: Comparaison = provoque la surprise du lecteur. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise. Le prologue, discours de l'auteur à ses lecteurs, est donc placé à la fois sous le signe du comique léger, de la surprise, et de l'érudition. La présentation des silènes : 1.4: Nom = Rabelais suscite de nouveau la curiosité du lecteur. 1.4: Comparaison = permet au lecteur d'imaginer l'objet. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. 1.4 : Référence aux apothicaires = introduit une métaphore médicale ce qui laisse entendre que l'objet en question joue un rôle dans le soin que l'on peut apporter à un homme malade. << peintes sur le dessus de figures >>= Description: Rabelais peint l'aspect extérieur des boîtes. 1.5/1.6: longue énumération détaillée un certain nombre de ces « figures comiques et frivoles ». Elle est varié et fait apparaître des éléments relevant de divers domaines : des êtres imaginaires issus de l'Antiquité, un animal domestiqué durant l'antiquité, et des éléments qui révèlent de la plaisanterie. 1.6: «Tel fut Silène, le maître du bon Bacchus »> = courte phrase qui signifie que les silènes personnifient l'ivresse, et la mention au dieu Bacchus éloge la boisson. 1.6/1.7: << Mais au-dedans on y conservait de fines drogues comme le baume, l'ambre gris, l'amome, le musc, la civette, les pierreries, et autres choses précieuses »> = la conjonction << mais »>indique un retournement du discours. Rabelais invite le lecteur à ne pas se fier aux apparences. il y'a une présentation des silènes, derrière laquelle on peut entendre une présentation de l'œuvre, que son auteur invite à considérer dans toutes ses dimensions: grotesque et comique à première vue, riche en enseignement si l'on fait l'effort de regarder vraiment à l'intérieur. le roman entend soigner I 'Homme, c'est-à-dire, à enseigner des vérités qui sauvent. Peinture de Socrate en ridicule : 1.9: Verbe de perception visuelle qui évoque l'aspect extérieur du philosophe. 1.10: << on n'en aurait pas donné une pelure d'oignon »> = adresse aux lecteurs, il les met ici en scène de façon comique, se moquent du physique de Socrate. 1.10/1.11/1.12: DESCRIPTION GROTESQUE = d'abord par l'aspect extérieur associer à un complément du nom péjoratif puis elle invite à rire par la mentions de ses mœurs financière, amoureuse et social. 1.12/1.13: DESCRIPTION POSITIVE: introduit 4 groupes qui soulignent la constance introduite par l'adverbe « toujours ». Référence à la boisson qui contribue au caractère grotesque et léger du passage. 1.12/1.13: Verbe = Cet éloge final est en lien avec le comique et le rire. Rabelais tisse donc habilement un lien entre rire et savoir : c'est parce qu'il sait que Socrate peut savoir mais aussi enseigner, et c'est sans doute parce qu'il sait qu'il peut rire et ne pas se prendre au sérieux. 1.13: Adjectif = référence religieuse fait de Socrate un être au-dessus du commun des mortels par son savoir. Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Dans le deuxième mouvement, le sens de la comparaison est révélé et un pacte de lecture à la fois joyeux et exigeant est établi. La seconde partie de l'extrait s'ouvre sur une question directement adressée au lecteur, de la même manière que la première débutait par une apostrophe. (1.23) Dans les lignes 23 à 29, l'auteur, il faut que le lecteur considère le livre qu'il s'apprête à lire et comme Socrate, ridicule d'apparence mais délivrant un enseignement précieux. Dans cette nouvelle apostrophe les lecteurs sont appelés « bons disciples », de même que Alcibiade était le disciple de Socrate. ~ La suite du paragraphe s'attache à montrer l'apparence grotesque du livre de Rabelais. Ainsi, celui-ci cite « les joyeux titres » de ces œuvres, en commençant par Gargantua, puisque c'est celui-ci que le lecteur s'apprête à lire. Viennent ensuite ceux des œuvres précédentes: Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes... tous aussi parodiques les uns que les autres, du fait de leur trivialité. Mais justement, s'en tenir au titre, c'est aller trop << rapidement » car ces livres paraissent mauvais d'apparence mais contiennent un sérieux message caché. Ici se trouve la définition de la figure du mauvais lecteur selon Rabelais, celui qui « pense >> << trop rapidement » et qui se lance « sans recherche approfondie », la préposition << sans >> de sens négatif mettant en évidence un manque, ici, de discernement car pour lui ce lecteur doit avoir un tempérament optimiste être amateur de plaisir mais on ne doit pas confondre la légèreté de tempérament avec la légèreté d'esprit. Dans les lignes 30 à 36, la leçon de morale que cherche à délivrer l'auteur apparaît sous forme de proverbes à l'allure assez philosophique («<l'habit ne fait pas le moine>>). Ensuite, on retrouve un parallélisme syntaxique -> « Celui qui porte une cape espagnol peut très bien ne pas avoir l'effronterie d'un espagnol » 1.31-32 Enfin, la conclusion du prologue arrive avec le connecteur logique « c'est pourquoi >>. Rabelais invite son lecteur à « soigneusement évaluer le contenu » de Gargantua. Après avoir dressé le portrait du mauvais lecteur, Rabelais explique clairement ce qu'il attend de nous : de la prudence. Celle-ci est la condition pour accéder à la vérité de l'œuvre. -> L'adjectif << frivole » fait allusion encore une fois à la plaisanterie comme on a pu le voir précédemment. CONCLUSION: Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »). Ce prologue de Gargantua permet au lecteur de comprendre le contenu de l'ouvrage à venir : une œuvre littéraire qui contient des genres et des registres multiples. Il résume à lui seul le projet humaniste : étudier la complexité du monde. Ouverture : Il ne s'agit donc pas de trouver à tout prix un sens caché derrière chaque mot, mais en tout cas de savoir lire en s'amusant. Question de grammaire Faites l'analyse grammaticale des deux phrases du 4e paragraphe (lignes 23 à 29): • Phrase 1: << À votre avis, pourquoi ce prélude et coup d'essai ? » 7 CC de but • Phrase 2: <<Pour que vous, mes bons disciples (ainsi que quelques autres fous oisifs), lorsque vous lirez les joyeux titres de certains livres imaginés par moi, comme Gargantua, Pantagruel, Fessepinte, La Dignité des Braguettes, Sur les haricots au lard cum commento, etc., vous ne pensiez trop rapidement que leur contenu n'est que moqueries, folâtreries et menteries joyeuses, l'enseigne extérieure de la boutique (c'est Le titre) étant ginéralement interprètes, sans Recherche plus de derision et de plaisanterie ? approfondie, signe porticipiale participe present = proposition subordonnée circonstanciel de but : << POUR comme un que 7 Phrase not: P. 23 4 phrase interrogative, nominale, partielle 4 diRed Car omagolle ne oqqolavob & sugolemj na oh good a if y a une une marque de 2 de n'y a pas de Phrase n°2: (suile) il n' prop Principale lovbre 2012 na ugotom si busy phrase ench assée proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de Temps COR: << forsque » proposition indépendante << que >> cong de subordination done proposition confondive completive COR elle de ponctuation 20 subordonnée GIZUO complète le verbe: << pensiez »).