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Condition se vie des esclaves et traite négrière, version française

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Conditions de vie
des esclaves
Sversion française
La dépendance résultante des esclaves à leurs maîtres pour les premières
nécessités - nour
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La dépendance résultante des esclaves à leurs maîtres pour les premières
nécessités - nour

Conditions de vie des esclaves Sversion française La dépendance résultante des esclaves à leurs maîtres pour les premières nécessités - nourriture, vêtements, abris - faisait partie intégrante de la stratégie de préservation du pouvoir du maître et du maintien de la société des esclaves. Les Africains-Américains esclavagés ne pouvaient jamais oublier leur statut de propriété, même si leur maître les traitait très bien. Mais ce serait trop simple de dire que tous les maîtres et esclaves se détestaient. Les êtres humains qui vivaient et travaillaient ensemble sont tenus de former des relations, quelqu'en soi leurs sortes, et certains maîtres et esclaves prenaient réellement soin les uns des autres. Mais ce soin était tempéré et limité par le déséquilibre des puissances sous lequel ils vivaient. Les limites étroites de l'esclavage présentaient un large éventail de relations humaines, de la compassion au mépris. Mais esclaves et maîtres n'approchaient jamais l'égalité. Les esclaves étaient vêtus nourri, et logés au minimal pour assurer leur survie et leur capacité de travail. La location géographique et le milieu (urbain ou rural), impactait énormément vie des esclaves. Ceux qui vivaient en ville, estimés au 19es à moins de 6 % de tous les esclaves, vivaient sous des conditions plus favorables que leurs homologues ruraux. << Un esclave de ville est presque un homme libre comparé aux esclaves des plantations...

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Louis B., utilisateur iOS

J'aime tellement cette application [...] Je recommande Knowunity à tout le monde ! !! Je suis passé de 11 à 16 grâce à elle :D

Stefan S., utilisateur iOS

L'application est très simple à utiliser et bien faite. Jusqu'à présent, j'ai trouvé tout ce que je cherchais :D

Lola, utilisatrice iOS

J'adore cette application ❤️ Je l'utilise presque tout le temps pour réviser.

Légende alternative :

», écris l'abolitionniste Frederick Douglass, qui s'est émancipé de l'esclavage en 1838, à 20 ans. « Il est bien mieux nourris, vêtu, et profite de privilèges complètement inconnus des esclaves des plantations. >>. Les esclaves urbains effectuaient du travail physique moins ardu que dans les plantations - dans des chantiers navals, briqueteries, presses à coton et entrepôts. Beaucoup étaient apprentis tailleurs, selliers, bouchers, et maçons. Dans des villes du Sud, certains hommes noirs dominaient l'industrie de la construction, et devinrent des commerçants très talentueux. [ L'image standard de l'esclavage dans le Sud est une large plantation avec des centaines d'esclaves. En réalité, des situations comme ça étaient rares. Près de 3/4 des blancs dans le Sud ne possédaient pas d'esclaves. Parmi le quart restant, 88 % possédaient moins de 20 esclaves. Les personnes blanches qui ne possédaient pas d'esclaves étaient principalement des fermiers << Yeoman »>. Pratiquement parlant, l'institution de l'esclavage n'aidait pas ces personnes. w Et pourtant, même les non-propriétaires d'esclaves soutenaient l'institution. Bien que beaucoup ne voulaient pas la richesse et la puissance des grands propriétaires d'esclaves, ils aspiraient à posséder eux-mêmes des esclaves et à rejoindre les rangs privilégiés. En plus, l'esclavage donnait aux fermiers un groupe de personne à qui se sentir supérieur. Ils étaient sûrement pauvres, mais ils n'étaient pas noirs, ni esclaves. Ils se sentaient supérieurs seulement par le fait d'être blanc. Dans l'Extrême Sud du pays, la majorité des esclaves vivaient et travaillaient des plantations de cotons. Beaucoup de ces plantations avaient 50 esclaves ou un peu moins, mais les plus grosses plantations en avaient plusieurs centaines. Le coton était de loin la plantation de l'argent, mais les esclaves cultivaient aussi du riz, du maïs, du sucre de canne et du tabac. Beaucoup des plantations cultivaient plusieurs types de plantations. Les conditions des esclaves dans ces circonstances étaient plus facilement regroupées dans les expériences des esclaves des champs et des esclaves domestiques. À côtés, de la plantation et de la récolte, plusieurs autres types de travail était requis sur les champs et fermes. Les personnes esclavagées devaient nettoyer les paysages, creuser des fossés, couper et transporter du bois, abattre le bétail, réparer les outils et les bâtiments. Les esclaves travaillaient en tant que mécaniciens, forgerons, charpentier, conducteurs et dans d'autres travaux nécessitant du talent. Les femmes noires avaient la tâche supplémentaire de s'occuper de leur famille en cuisinant et prenant soin des enfants, en cousant, en tissant et en filant. Les enfants blancs et noirs étaient spécialement en position de former des liens entre eux. Dans la plupart des situations, les jeunes enfants des 2 couleurs de peaux jouaient tous ensemble dans les plantations et les fermes. Les enfants noirs s'attachaient également aux blancs qui s'occupaient d'eux, comme les maîtresses, et les enfants blancs, à leur baby-sitter noir. Parce qu'ils étaient jeunes, ils ne comprenaient pad le système dans lequel ils étaient nés. Mais au fur et à mesure qu'ils grandissaient, ils apprenaient à s'ajuster, peu importe comment. Les rations de nourriture hebdomadaires (souvent du maïs, du lard un peu de viande, de la mélasse, des petits pois, des légumes verts, et de la farine) étaient distribués tous les samedi. Des potagers ou jardins, si c'était permis par le propriétaire, fournissait des produits frais à ajouter aux rations. Le régime des esclaves étaient inadéquats ou à peine adéquat pour répondre aux besoins de leur dur travail. Les régimes étaient riches en matières grasses et en amidons, n'étaient pas sains sur le plan nutritionnel et pouvaient entraîner des maladies, y compris le scorbut et le rachitisme. Dans toutes les régions, et périodes, ils n'avaient pas assez à manger, certains volaient même de la nourriture de leur maître. Les domestiques pouvaient voler les restes dans la cuisine, mais ne devait pas se faire apprendre sous peine de punition, car cela serait considéré comme une offense. Dans le Sud, la chaleur et l'humidité créaient des problèmes de santé pour tout le monde. Cependant, la santé des esclaves des plantations était plus mauvaise que celle de leurs maîtres. Des conditions insalubres, inadéquate pour la nutrition et le travail très dur des esclaves les rendait vulnérables face aux maladies. Ces maladies n'étaient généralement pas bien traitées, et les esclaves malades travaillaient quand même. La vie des esclaves variait selon plusieurs facteurs TLes plantations de riz étaient les plus meurtrières. Les personnes noires devaient rester debout dans de l'eau pendant 4 h d'affilée, sous un Soleil étouffant. Le paludisme était endémique. La mortalité infantile était extrêmement haute dans ces plantations, généralement autour de 66 %, et sur la plus grande mortalité enregistrée sur une plantation (pour les enfants) était de 90 % ! Les vêtements, distribués par le maître, souvent une fois par an, à Noël, étaient proportionnées selon le genre, l'âge, mais aussi le travail effectué par l'esclave. Les enfants, par exemple, se baladaient souvent déshabillés jusqu'à ce qu'ils atteignent l'adolescence. Les esclaves les plus vieux, qui ne pouvaient pas faire de travail physique n'avaient pas les chaussures ou les couches de vêtements supplémentairesdonnés aux jeunes durant l'hiver. Alors que beaucoup d'esclaves agriculteurs n'avaient pas assez de vêtements pour recouvrir leur corps, les esclaves domestiques étaient souvent vêtus avec plus de modestie, parfois avec les vieux vêtements des maîtres. La plupart des esclaves vivaient dans des logements semblables, de simples cabanes meublées avec parcimonie. Quelques-uns avaient des chambres dans la maison principale. Pour un esclave, la vie sur les champs signifiait de se lever à l'aube et se coucher au crépuscule 6 jours sur 7 et d'avoir de la nourriture qui ne conviendrait pas à un animal. Les esclaves des plantations vivaient dans des petites cases avec un sol en terre et pas, ou très peu, de meubles.La vie sur ces larges plantations avec un cruel contremaître était parfois la pire. Quand les esclaves se plaignaient qu'ils n'étaient pas traités de manière juste, les propriétaires d'esclaves étaient souvent très protecteurs de leurs biens, et virés le contremaître. Dans certains cas, un « driver » (esclavagiste dans ce contexte) était utilisé à la place du contremaître. La différence entre les 2 était que l'esclavagiste était lui-même un esclave. Un esclavagiste devait souvent être convaincu par le maître pour gérer les autres esclaves, il obtenait donc certains privilèges. Ce type d'esclave était souvent détesté par le reste des esclaves. Ce sentiment menait souvent le driver à des violences. La << Peculiar Institution » s'est répandu dans le Sud de l'Amérique, et beaucoup d'Etats passèrent un « code des esclaves », qui soulignés les droits des esclaves, les traitements acceptables ou non, et les règles liées aux esclaves. Le code des esclaves variait d'un état à l'autre, mais on y retrouvait beaucoup de sujets en commun. Un esclave ne pouvait pas faire des affaires avec un autre esclave sans le consentement de son maître. Les esclaves pouvaient être attribués comme prix dans les tombolas, misé dans le jeu, offert comme garantie pour les prêts, ou transférés d'une personne à un autre en tant que cadeau. Un des pires traitement que pouvait endurer un esclave était la menace constante d'être vendu. Même si leur maître était bienveillant, les esclaves savaient qu'en cas de perte financière ou d'une crise personnelle, ils pouvaient être vendus aux enchères. Les vendre était également une sorte de punition. Et bien que le sentiment populaire (comme le propre intérêt économique de la part des propriétaires) encourageait de garder les mères et enfants, et parfois le père ensemble. moissonnant et porta ant du bois à brûler. -" Ces normes n'étaient pas toujours suivies. Les familles étaient souvent séparées. Les femmes esclaves devaient supporter l'exploitation sexuelle que leur faisait subir leur maître. Ils n'avaient pas de self-défense pour se protéger d'être harcelées sexuellement ou violées ou encore d'être utilisé comme concubine à long terme par les maîtres et contremaîtres. L'abus était très répandu parce que l'autorité de l'homme prenait l'avantage de la situation. Même si les femmes faisaient mine d'aimer la situation, elles n'avaient pas le choix. Leur homme, quant à eux, ne pouvait pas les protéger sous peine d'être battu. Les esclavagistes, contremaître, et maîtres étaient responsables de la discipline dans les plantations. Les esclaves étaient punis s'ils n'étaient pas assez rapide ou s'ils arrivaient en retard, s'ils n'obéissaient pas, s'ils essayaient de s'enfuir, ou encore pour plein d'autres raisons. Les punitions prenaient de nombreuses formes, comme des coups de fouets, la torture, l'emprisonnement, la torture, être vendu, ou même être tué. Certains maîtres étaient bienveillants et punissaient moins, ou moins sévèrement. Mais (malgré de rares exceptions), la relation autoritaire est restée ferme même dans ces circonstances. Un esclave n'était pas permis de garder un pistolet sur lui. S'il était surpris à en avoir un, il recevait 39 coups de fouet, et son pistolet était confisqué. Les personnes noires étaient incompétentes en tant que témoin dans des crimes impliquant des blancs. L'éducation des esclaves était déconseillée. N'importe quelle personne qui essayait d'instruire un esclave à la lecture ou l'écriture recevait une amende de 500 dollars, et un emprisonnement de 6 mois. Les esclaves ne pouvaient pas se réunir sans une personne blanche présente. Les mariages entre les esclaves étaient considérés comme illégaux. Par conséquent, les propriétaires étaient libres de séparer les familles par la vente. N'importe quel esclave se retrouvant coupable d'incendie, viol d'une femme blanche, ou de conspiration rebelle était tué. Cependant, Puisque la femme esclave était un bien mobilier, un homme blanc qui l'a violée n'était coupable que d'une intrusion sur la propriété du maître.Les viols étaient communs sur les plantations, et beaucoup de cas n'ont jamais était reporté. Rébellions et résistance, à l'intérieur, et à l'extérieur des plantations. Dès 1663, les esclaves organisent des protestations pour regagner leur liberté. Des centaines de soulèvements mineurs prenaient place dans les plantations américaines pendant les 2 siècles et demi d'esclavage. La plus part de ces soulèvements étaient peu étendus et calmés rapidement. Certains étaient plus ambitieux et ont jeté un froid dans les épines d'innombrables planteurs du Sud. Les rébellions trouvaient leurs voix par des moyens plus personnels. Les codes de l'esclave témoignent de la peur croissante de l'insurrection et de la révolte de l'esclave. Les esclaves fuyaient dans des foules, suivant I »Underground Railroad >> vers la liberté, au Canada et dans les États du Nord. Ils fuyaient rejoindre les Indiens et faire la guerre contre les blancs qui s'installaient. Certains registres montrent que des esclaves empoisonnaient leurs maîtres. D'autres formaient des bandes et arrêtaient de travailler, tandis que d'autres ralentissaient juste leur rythmes. L'histoire de la résistance à l'esclavage et des révoltes est l'histoire de la tentative désespérée et parfois couronnée de succès des gens de gagner leur liberté face à la répression systématique et l'asservissement. Les esclaves résistaient à leur traitement de nombreuses façons. Ils ralentissaient leur rythme de travail, sabotés les machines, feintés la maladie, détruisait les récoltes... Ils se disputaient et se battaient avec les contremaîtres et leurs maîtres. Beaucoup volaient du bétail, de la nourriture ou d'autres objets de valeurs. D'autres tués leurs maîtres, en utilisant des armes, ou du poison. Certains apprenaient à lire et à écrire. D'autres se suicidaient ou se mutilaient eux-mêmes pour ruiner leur valeur. Subtilement ou ouvertement, les Afro-Américains asservis ont trouvé des moyens de saboter le système dans lequel ils vivaient. Les esclaves Afro-Américains résistaient en formant des communautés dans les plantations. C'était une entreprise formidable pour des gens dont la vie était dominée par la domination et le travail forcé. Les esclaves se marraient, avaient des enfants, travaillaient dur pour rester avec leur famille. Dans leurs quartiers, ils étaient capables de laisser tomber leur masque qu'ils portaient avec les noirs. Ici, les enfants, hommes et femmes, développés une culture underground pour affirmer leur humanité. Ils se rassemblaient le soir pour chanter, se raconter des histoires et créer des plans secrets. Les servants domestiques qui venaient de la maison principale, leur donnait des nouvelles du maître et de la maîtresse, et les atres riaient en les imitant ridiculement. Beaucoup d'esclaves devinrent religieux pour s'inspirer et se réconforter. Certains pratiqués des religions africaines comme l'Islam, d'autresle christianisme. Beaucoup pratiqué le christianisme auquel ils rajoutaient des éléments africains. Mais la plus part rejetaient le christianisme de leur maître, qui justifiait le fait qu'ils soient esclaves. Les esclaves tenaient des réunions secrètes où ils ont parlaient des promesses du Nouveau Testament du jour du jugement et de la justice et d'une vie meilleure après la mort, ainsi que l'histoire de l'Ancien Testament de Moïse menant son peuple hors de l'esclavage en Egypte. La religion des Afro-Américains asservis les a aidés à résister à la dégradation de la servitude. Sources: Texte: Mes cours --- Images: Le Monde _ FranceInfo_Collège les Collibert_Senegal Online HILLED

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Koko

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Conditions de vie
des esclaves
Sversion française
La dépendance résultante des esclaves à leurs maîtres pour les premières
nécessités - nour

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Condition se vie des esclaves et traite négrière, version française

Histoire

 

2nde/1ère

Rédaction

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Tout est encore dans le titre 😅☺

Conditions de vie des esclaves Sversion française La dépendance résultante des esclaves à leurs maîtres pour les premières nécessités - nourriture, vêtements, abris - faisait partie intégrante de la stratégie de préservation du pouvoir du maître et du maintien de la société des esclaves. Les Africains-Américains esclavagés ne pouvaient jamais oublier leur statut de propriété, même si leur maître les traitait très bien. Mais ce serait trop simple de dire que tous les maîtres et esclaves se détestaient. Les êtres humains qui vivaient et travaillaient ensemble sont tenus de former des relations, quelqu'en soi leurs sortes, et certains maîtres et esclaves prenaient réellement soin les uns des autres. Mais ce soin était tempéré et limité par le déséquilibre des puissances sous lequel ils vivaient. Les limites étroites de l'esclavage présentaient un large éventail de relations humaines, de la compassion au mépris. Mais esclaves et maîtres n'approchaient jamais l'égalité. Les esclaves étaient vêtus nourri, et logés au minimal pour assurer leur survie et leur capacité de travail. La location géographique et le milieu (urbain ou rural), impactait énormément vie des esclaves. Ceux qui vivaient en ville, estimés au 19es à moins de 6 % de tous les esclaves, vivaient sous des conditions plus favorables que leurs homologues ruraux. << Un esclave de ville est presque un homme libre comparé aux esclaves des plantations...

Conditions de vie des esclaves Sversion française La dépendance résultante des esclaves à leurs maîtres pour les premières nécessités - nourriture, vêtements, abris - faisait partie intégrante de la stratégie de préservation du pouvoir du maître et du maintien de la société des esclaves. Les Africains-Américains esclavagés ne pouvaient jamais oublier leur statut de propriété, même si leur maître les traitait très bien. Mais ce serait trop simple de dire que tous les maîtres et esclaves se détestaient. Les êtres humains qui vivaient et travaillaient ensemble sont tenus de former des relations, quelqu'en soi leurs sortes, et certains maîtres et esclaves prenaient réellement soin les uns des autres. Mais ce soin était tempéré et limité par le déséquilibre des puissances sous lequel ils vivaient. Les limites étroites de l'esclavage présentaient un large éventail de relations humaines, de la compassion au mépris. Mais esclaves et maîtres n'approchaient jamais l'égalité. Les esclaves étaient vêtus nourri, et logés au minimal pour assurer leur survie et leur capacité de travail. La location géographique et le milieu (urbain ou rural), impactait énormément vie des esclaves. Ceux qui vivaient en ville, estimés au 19es à moins de 6 % de tous les esclaves, vivaient sous des conditions plus favorables que leurs homologues ruraux. << Un esclave de ville est presque un homme libre comparé aux esclaves des plantations...

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Knowunity a été mis en avant par Apple et a toujours été en tête des classements de l'App Store dans la catégorie Éducation en Allemagne, en Italie, en Pologne, en Suisse et au Royaume-Uni. Rejoins Knowunity aujourd'hui et aide des millions d'étudiants à travers le monde.

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Louis B., utilisateur iOS

J'aime tellement cette application [...] Je recommande Knowunity à tout le monde ! !! Je suis passé de 11 à 16 grâce à elle :D

Stefan S., utilisateur iOS

L'application est très simple à utiliser et bien faite. Jusqu'à présent, j'ai trouvé tout ce que je cherchais :D

Lola, utilisatrice iOS

J'adore cette application ❤️ Je l'utilise presque tout le temps pour réviser.

Légende alternative :

», écris l'abolitionniste Frederick Douglass, qui s'est émancipé de l'esclavage en 1838, à 20 ans. « Il est bien mieux nourris, vêtu, et profite de privilèges complètement inconnus des esclaves des plantations. >>. Les esclaves urbains effectuaient du travail physique moins ardu que dans les plantations - dans des chantiers navals, briqueteries, presses à coton et entrepôts. Beaucoup étaient apprentis tailleurs, selliers, bouchers, et maçons. Dans des villes du Sud, certains hommes noirs dominaient l'industrie de la construction, et devinrent des commerçants très talentueux. [ L'image standard de l'esclavage dans le Sud est une large plantation avec des centaines d'esclaves. En réalité, des situations comme ça étaient rares. Près de 3/4 des blancs dans le Sud ne possédaient pas d'esclaves. Parmi le quart restant, 88 % possédaient moins de 20 esclaves. Les personnes blanches qui ne possédaient pas d'esclaves étaient principalement des fermiers << Yeoman »>. Pratiquement parlant, l'institution de l'esclavage n'aidait pas ces personnes. w Et pourtant, même les non-propriétaires d'esclaves soutenaient l'institution. Bien que beaucoup ne voulaient pas la richesse et la puissance des grands propriétaires d'esclaves, ils aspiraient à posséder eux-mêmes des esclaves et à rejoindre les rangs privilégiés. En plus, l'esclavage donnait aux fermiers un groupe de personne à qui se sentir supérieur. Ils étaient sûrement pauvres, mais ils n'étaient pas noirs, ni esclaves. Ils se sentaient supérieurs seulement par le fait d'être blanc. Dans l'Extrême Sud du pays, la majorité des esclaves vivaient et travaillaient des plantations de cotons. Beaucoup de ces plantations avaient 50 esclaves ou un peu moins, mais les plus grosses plantations en avaient plusieurs centaines. Le coton était de loin la plantation de l'argent, mais les esclaves cultivaient aussi du riz, du maïs, du sucre de canne et du tabac. Beaucoup des plantations cultivaient plusieurs types de plantations. Les conditions des esclaves dans ces circonstances étaient plus facilement regroupées dans les expériences des esclaves des champs et des esclaves domestiques. À côtés, de la plantation et de la récolte, plusieurs autres types de travail était requis sur les champs et fermes. Les personnes esclavagées devaient nettoyer les paysages, creuser des fossés, couper et transporter du bois, abattre le bétail, réparer les outils et les bâtiments. Les esclaves travaillaient en tant que mécaniciens, forgerons, charpentier, conducteurs et dans d'autres travaux nécessitant du talent. Les femmes noires avaient la tâche supplémentaire de s'occuper de leur famille en cuisinant et prenant soin des enfants, en cousant, en tissant et en filant. Les enfants blancs et noirs étaient spécialement en position de former des liens entre eux. Dans la plupart des situations, les jeunes enfants des 2 couleurs de peaux jouaient tous ensemble dans les plantations et les fermes. Les enfants noirs s'attachaient également aux blancs qui s'occupaient d'eux, comme les maîtresses, et les enfants blancs, à leur baby-sitter noir. Parce qu'ils étaient jeunes, ils ne comprenaient pad le système dans lequel ils étaient nés. Mais au fur et à mesure qu'ils grandissaient, ils apprenaient à s'ajuster, peu importe comment. Les rations de nourriture hebdomadaires (souvent du maïs, du lard un peu de viande, de la mélasse, des petits pois, des légumes verts, et de la farine) étaient distribués tous les samedi. Des potagers ou jardins, si c'était permis par le propriétaire, fournissait des produits frais à ajouter aux rations. Le régime des esclaves étaient inadéquats ou à peine adéquat pour répondre aux besoins de leur dur travail. Les régimes étaient riches en matières grasses et en amidons, n'étaient pas sains sur le plan nutritionnel et pouvaient entraîner des maladies, y compris le scorbut et le rachitisme. Dans toutes les régions, et périodes, ils n'avaient pas assez à manger, certains volaient même de la nourriture de leur maître. Les domestiques pouvaient voler les restes dans la cuisine, mais ne devait pas se faire apprendre sous peine de punition, car cela serait considéré comme une offense. Dans le Sud, la chaleur et l'humidité créaient des problèmes de santé pour tout le monde. Cependant, la santé des esclaves des plantations était plus mauvaise que celle de leurs maîtres. Des conditions insalubres, inadéquate pour la nutrition et le travail très dur des esclaves les rendait vulnérables face aux maladies. Ces maladies n'étaient généralement pas bien traitées, et les esclaves malades travaillaient quand même. La vie des esclaves variait selon plusieurs facteurs TLes plantations de riz étaient les plus meurtrières. Les personnes noires devaient rester debout dans de l'eau pendant 4 h d'affilée, sous un Soleil étouffant. Le paludisme était endémique. La mortalité infantile était extrêmement haute dans ces plantations, généralement autour de 66 %, et sur la plus grande mortalité enregistrée sur une plantation (pour les enfants) était de 90 % ! Les vêtements, distribués par le maître, souvent une fois par an, à Noël, étaient proportionnées selon le genre, l'âge, mais aussi le travail effectué par l'esclave. Les enfants, par exemple, se baladaient souvent déshabillés jusqu'à ce qu'ils atteignent l'adolescence. Les esclaves les plus vieux, qui ne pouvaient pas faire de travail physique n'avaient pas les chaussures ou les couches de vêtements supplémentairesdonnés aux jeunes durant l'hiver. Alors que beaucoup d'esclaves agriculteurs n'avaient pas assez de vêtements pour recouvrir leur corps, les esclaves domestiques étaient souvent vêtus avec plus de modestie, parfois avec les vieux vêtements des maîtres. La plupart des esclaves vivaient dans des logements semblables, de simples cabanes meublées avec parcimonie. Quelques-uns avaient des chambres dans la maison principale. Pour un esclave, la vie sur les champs signifiait de se lever à l'aube et se coucher au crépuscule 6 jours sur 7 et d'avoir de la nourriture qui ne conviendrait pas à un animal. Les esclaves des plantations vivaient dans des petites cases avec un sol en terre et pas, ou très peu, de meubles.La vie sur ces larges plantations avec un cruel contremaître était parfois la pire. Quand les esclaves se plaignaient qu'ils n'étaient pas traités de manière juste, les propriétaires d'esclaves étaient souvent très protecteurs de leurs biens, et virés le contremaître. Dans certains cas, un « driver » (esclavagiste dans ce contexte) était utilisé à la place du contremaître. La différence entre les 2 était que l'esclavagiste était lui-même un esclave. Un esclavagiste devait souvent être convaincu par le maître pour gérer les autres esclaves, il obtenait donc certains privilèges. Ce type d'esclave était souvent détesté par le reste des esclaves. Ce sentiment menait souvent le driver à des violences. La << Peculiar Institution » s'est répandu dans le Sud de l'Amérique, et beaucoup d'Etats passèrent un « code des esclaves », qui soulignés les droits des esclaves, les traitements acceptables ou non, et les règles liées aux esclaves. Le code des esclaves variait d'un état à l'autre, mais on y retrouvait beaucoup de sujets en commun. Un esclave ne pouvait pas faire des affaires avec un autre esclave sans le consentement de son maître. Les esclaves pouvaient être attribués comme prix dans les tombolas, misé dans le jeu, offert comme garantie pour les prêts, ou transférés d'une personne à un autre en tant que cadeau. Un des pires traitement que pouvait endurer un esclave était la menace constante d'être vendu. Même si leur maître était bienveillant, les esclaves savaient qu'en cas de perte financière ou d'une crise personnelle, ils pouvaient être vendus aux enchères. Les vendre était également une sorte de punition. Et bien que le sentiment populaire (comme le propre intérêt économique de la part des propriétaires) encourageait de garder les mères et enfants, et parfois le père ensemble. moissonnant et porta ant du bois à brûler. -" Ces normes n'étaient pas toujours suivies. Les familles étaient souvent séparées. Les femmes esclaves devaient supporter l'exploitation sexuelle que leur faisait subir leur maître. Ils n'avaient pas de self-défense pour se protéger d'être harcelées sexuellement ou violées ou encore d'être utilisé comme concubine à long terme par les maîtres et contremaîtres. L'abus était très répandu parce que l'autorité de l'homme prenait l'avantage de la situation. Même si les femmes faisaient mine d'aimer la situation, elles n'avaient pas le choix. Leur homme, quant à eux, ne pouvait pas les protéger sous peine d'être battu. Les esclavagistes, contremaître, et maîtres étaient responsables de la discipline dans les plantations. Les esclaves étaient punis s'ils n'étaient pas assez rapide ou s'ils arrivaient en retard, s'ils n'obéissaient pas, s'ils essayaient de s'enfuir, ou encore pour plein d'autres raisons. Les punitions prenaient de nombreuses formes, comme des coups de fouets, la torture, l'emprisonnement, la torture, être vendu, ou même être tué. Certains maîtres étaient bienveillants et punissaient moins, ou moins sévèrement. Mais (malgré de rares exceptions), la relation autoritaire est restée ferme même dans ces circonstances. Un esclave n'était pas permis de garder un pistolet sur lui. S'il était surpris à en avoir un, il recevait 39 coups de fouet, et son pistolet était confisqué. Les personnes noires étaient incompétentes en tant que témoin dans des crimes impliquant des blancs. L'éducation des esclaves était déconseillée. N'importe quelle personne qui essayait d'instruire un esclave à la lecture ou l'écriture recevait une amende de 500 dollars, et un emprisonnement de 6 mois. Les esclaves ne pouvaient pas se réunir sans une personne blanche présente. Les mariages entre les esclaves étaient considérés comme illégaux. Par conséquent, les propriétaires étaient libres de séparer les familles par la vente. N'importe quel esclave se retrouvant coupable d'incendie, viol d'une femme blanche, ou de conspiration rebelle était tué. Cependant, Puisque la femme esclave était un bien mobilier, un homme blanc qui l'a violée n'était coupable que d'une intrusion sur la propriété du maître.Les viols étaient communs sur les plantations, et beaucoup de cas n'ont jamais était reporté. Rébellions et résistance, à l'intérieur, et à l'extérieur des plantations. Dès 1663, les esclaves organisent des protestations pour regagner leur liberté. Des centaines de soulèvements mineurs prenaient place dans les plantations américaines pendant les 2 siècles et demi d'esclavage. La plus part de ces soulèvements étaient peu étendus et calmés rapidement. Certains étaient plus ambitieux et ont jeté un froid dans les épines d'innombrables planteurs du Sud. Les rébellions trouvaient leurs voix par des moyens plus personnels. Les codes de l'esclave témoignent de la peur croissante de l'insurrection et de la révolte de l'esclave. Les esclaves fuyaient dans des foules, suivant I »Underground Railroad >> vers la liberté, au Canada et dans les États du Nord. Ils fuyaient rejoindre les Indiens et faire la guerre contre les blancs qui s'installaient. Certains registres montrent que des esclaves empoisonnaient leurs maîtres. D'autres formaient des bandes et arrêtaient de travailler, tandis que d'autres ralentissaient juste leur rythmes. L'histoire de la résistance à l'esclavage et des révoltes est l'histoire de la tentative désespérée et parfois couronnée de succès des gens de gagner leur liberté face à la répression systématique et l'asservissement. Les esclaves résistaient à leur traitement de nombreuses façons. Ils ralentissaient leur rythme de travail, sabotés les machines, feintés la maladie, détruisait les récoltes... Ils se disputaient et se battaient avec les contremaîtres et leurs maîtres. Beaucoup volaient du bétail, de la nourriture ou d'autres objets de valeurs. D'autres tués leurs maîtres, en utilisant des armes, ou du poison. Certains apprenaient à lire et à écrire. D'autres se suicidaient ou se mutilaient eux-mêmes pour ruiner leur valeur. Subtilement ou ouvertement, les Afro-Américains asservis ont trouvé des moyens de saboter le système dans lequel ils vivaient. Les esclaves Afro-Américains résistaient en formant des communautés dans les plantations. C'était une entreprise formidable pour des gens dont la vie était dominée par la domination et le travail forcé. Les esclaves se marraient, avaient des enfants, travaillaient dur pour rester avec leur famille. Dans leurs quartiers, ils étaient capables de laisser tomber leur masque qu'ils portaient avec les noirs. Ici, les enfants, hommes et femmes, développés une culture underground pour affirmer leur humanité. Ils se rassemblaient le soir pour chanter, se raconter des histoires et créer des plans secrets. Les servants domestiques qui venaient de la maison principale, leur donnait des nouvelles du maître et de la maîtresse, et les atres riaient en les imitant ridiculement. Beaucoup d'esclaves devinrent religieux pour s'inspirer et se réconforter. Certains pratiqués des religions africaines comme l'Islam, d'autresle christianisme. Beaucoup pratiqué le christianisme auquel ils rajoutaient des éléments africains. Mais la plus part rejetaient le christianisme de leur maître, qui justifiait le fait qu'ils soient esclaves. Les esclaves tenaient des réunions secrètes où ils ont parlaient des promesses du Nouveau Testament du jour du jugement et de la justice et d'une vie meilleure après la mort, ainsi que l'histoire de l'Ancien Testament de Moïse menant son peuple hors de l'esclavage en Egypte. La religion des Afro-Américains asservis les a aidés à résister à la dégradation de la servitude. Sources: Texte: Mes cours --- Images: Le Monde _ FranceInfo_Collège les Collibert_Senegal Online HILLED