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Textes de bac: texte EAF n°7 Incipit de 2a Condition Humaine, André Malraux (1933) Introduction: * André Malraux: 1901-1976 Né à Paris 20 ans : Indochine, emprisonné pour trafic d'objets d'art Premiers romans inspirés de l'Extrême Orient (-partie orientale de l'Asie : Asie de l'Est +Asie du Sud-Est + extrême orient russe) * - S'engage contre le fascisme et dénonce Hitler au pouvoir Résistant fr: devient ler ministre des Affaires culturelles 5 Vème Rép. → 1959 * Tchen = jeune révolutionnaire → tuer un trafiquant d'armes scène dramatique * Contexte contemporain: roman historique inspiré par la révolution Problématique: 20 Roman le + célèbre La Condition Humaine: prix Goncourt en 1933 Raconte la préparation de l'insurrection de Shangai dans la Chine par un grp communiste Quelle image André Malraux propose-t-il au protagoniste dans cet incipit? Lecture expressive du texte : 21 MARS 1927 Minuit et demi. 1 Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire? Frapperait-il au travers? L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche qu tombait du plafond sur un corps moins visible qu'une ombre, et d'où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même –de la chair d'homme. La seule lumière venait du building voisin: un grand rectangle d'électricité pâle, coupé par les barreaux de la...
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fenêtre dont l'un rayait le lit juste au-dessous du pied comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert? Combattre, combattre des ennemis qui se 10 défendent, des ennemis éveillés! La vague de vacarme retomba: quelque embarras de voitures (il y avait encore des embarras de voitures, là-bas, dans le monde des hommes...). Il se retrouva en face de la tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière, immobiles dans cette nuit où le temps n'existait plus .Il se répétait que cet homme devait mourir. Bêtement: car il savait qu'il le tuerait. Pris 15 ou non, exécuté ou non, peu importait. Rien n'existait que ce pied, cet homme qu'il devait frapper sans qu'il se défendît, -car, s'il se défendait, il appellerait. Les paupières battantes, Tchen découvrait en lui, jusqu'à la nausée, non le combattant qu'il attendait, mais un sacrificateur. Et pas seulement aux dieux qu'il avait choisis: sous son sacrifice à la révolution, grouillait un monde de profondeurs auprès de quoi cette nuit écrasée d'angoisse n'était que clarté. << Assassiner n'est M O M EN pas seulement tuer... » Dans ses poches, ses mains hésitantes tenaient, la droite un rasoir fermé, la gauche un court poignard. Il les enfonçait le plus possible, comme si la nuit n'eût pas suffi à cacher ses gestes. Le rasoir était plus sûr, mais Tchen sentait qu'il ne pourrait jamais s'en servir; le poignard lui répugnait moins. 25 II lâcha le rasoir dont le dos pénétrait dans ses doigts crispés; le poignard était nu dans sa poche, sans gaine. Il le fit passer dans sa main droite, la gauche retombant sur la laine de son chandail et y restant collée. Il éleva légèrement le bras droit, stupéfait du silence qui continuait à l'entourer, comme si son geste eût dû déclencher quelque chute. Mais non, il ne se passait rien: c'était toujours à lui 30 d'agir. Plan : * Lignes I à 13: mouvement 1: incipit dramatisé: atmosphère pesante/mystérieuse/tendue in media res (= << au milieu des choses » = procédé littéraire qui consiste à placer le lecteur au milieu de l'action sans préalables) * Lignes 14 à 30: mouvement 2: personnage en proie au doute, drame intérieur du perso Analyse: * = journal intime * Minuit et demi: danger/meurtre/crime «<?»> /«<!»: s'interroge * *Narrateur = point de vue omniscient Ligne 1: << frapperait-il » : manière de le tuer = violence + suspens: va-t-il réussir ? << tenterait-il » ; « frapperait-il » : verbes d'action: lecteur au interrogation du perso. devant la tâche à accomplir de l'action = *Lignes let 2: « l'angoisse lui tordait l'estomac » : hyperbole + meurtriert aguerri Ligne 3: * << Tchen >> : apparition du personnage, son nom = seule info + il doit tuer qq'un On ne sait rien de l'identité de la victime - « songer »> ; << fasciné »> : rêve << mousseline blanche »: moustiquaire = plan moyen du lit: pas bcp d'info sur le cadre Lignes 4 et 5: << corps moins visible qu'une ombre » : hyperbole << corps »> ; « chair d'Homme » ; « pied » ; « sommeil » : infos sur la victime << sommeil »> : évoque la mort << pieds »>= métonymie du corps de la victime = vie et mort * Lignes 6 et 7: Va et vient entre l'intérieur et l'extérieur « building »; « électricité »... : cadre urbain Jeux d'ombre/lumière: meurtre = pénombre, loin des regards << barreaux »> = prison: Tchen s'enferme mentalement * Ligne 9: MOUN * * * * Lignes Il et 12: Ligne 13: * Transition mouvements : cet incipit plonge le lecteur dans une atmosphère angoissante tout en partageant les questionnements du personnage *Lignes 14, 17 et 24: * << grincèrent » : métaphore Bruits extérieurs = contraste avec silence chambre << découvert?»: stress de se faire prendre *Phrases brèves = angoisse Ligne 14: « il se répétait »: essaye de se convaincre lui-même * Ligne 15: * << dans le monde des Hommes » : s'enferme dans son monde/action inhumaine (barbarie monde des Hommes) Seule lumière = ville Ville = vie chambre = lieu de mort << il se retrouva... » : déplacement << tâche molle » : représente le corps sans vie qui va advenir << où le temps n'existait plus » : le temps est comme figé ou alors Tchen ne se rend plus compte du temps qui passe - Point de vue interne : « se répétait » ; « il savait »; «Tchen découvrait en lui » ; << Tchen sentait » : forme de monologue intérieur, discours indirect libre point de vue interne << jusqu'à la nausée » : malaise/stresse/angoisse : mal à l'aise face à cette mission antithèse << combattant » (=bataille + courage) « sacrificateur »> (=lâche) Prise de consciance : il n'est pas un combattant << Champ lexical religieux «< sacrificateur » ; « dieux » ; «< sacrifice » → animé/au service d'une quête collective pour laquelle il est prêt à mourir: révolutionnaire voulant changer le système pour qu'il devienne + juste et meilleur = idéologie *Ligne 20: « cette nuit écrasée d'angoisse » : tjrs atmosphère pesante M E* Lignes 20 et 21: « «< assassiner n'est pas seulement tuer ...» »: accès direct aux pensées de Tchen N - «< <pris ou non, exécuté ou non » : connait les dangers de cette action et où cela pourrait le mener << rien n'existait que... » : le monde autour a disparu Ligne 16: << sans qu'il se défendit » : doit tuer un homme endormi #se battre contre ennemi Lignes 17 à 19: Ligne 21: << ses mains hésitantes »: tjrs en proie au doute *Ligne 22: «< un rasoir fermé, [...] un court poignard»: ne sait pas quelle arme utiliser: 2 cas de figure → 1) la victime se débat = poignard / 2) la victime reste endormie = rasoir *Ligne 23 : « comme si la nuit n'eût pas suffi à cacher ses gestes » : il a honte de ses actes *Lignes 23 et 24: réfléchis toujours à l'arme qu'il va utiliser Doit réprimer son humanité Ligne 25: « poignard [...] nu » poignard * * pied nu » ; « corps nu » : comme si le pied appelait le * Ligne 27: focalisation externe: « il éleva » Ligne 28: « stupéfait du silence » : il s'étonne que personne ne l'ai encore pris sur le fait *Lignes 29 et 30: « c'était toujours à lui d'agir » : on ne connait pas la suite: a-t-il commis le crime?→ suscite la curiosité du lecteur Conclusion: * * Incipit dynamique qui repose sur l'angoisse et les questionnements du personnage en prise avec sa conscience * Suscite la curiosité chez le lecteur qui n'est pas informé sur les circonstances de l'action * Tchen est hésitant et angoissé analogie avec l'auteur qui était un * Il est relié à une cause qui lui tient à révolutionnaire * Il veut tuer en combattant # lâche * Impression d'une scène de cinéma * Liens entre Raphaël de Valentin et Tchen: quête individuelle + abandonnent toute illusion politique
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Bac de français épreuve orale
17
Le début de ce roman crée une surprise chez le lecteur car le titre annonce une réflexion sur la condition humaine alors qu’il débute par le récit d’un meurtre. Il présente l’homme confronté à la mort.
14
Analyse lineaire
84
Analyse lineaire du malade imaginaire acte 1 scene 1 tout complet
58
Oral Bac de francais Le mariage de figaro Acte 3 scène 16 "des fautes si connues" à " raison!" Introduction Analyse conclusion
0
LECTURE LINEAIRE 4. JUSTE LA FIN DU MONDE. 1ere partie, 10. (lignes 1 à 33)
Textes de bac: texte EAF n°7 Incipit de 2a Condition Humaine, André Malraux (1933) Introduction: * André Malraux: 1901-1976 Né à Paris 20 ans : Indochine, emprisonné pour trafic d'objets d'art Premiers romans inspirés de l'Extrême Orient (-partie orientale de l'Asie : Asie de l'Est +Asie du Sud-Est + extrême orient russe) * - S'engage contre le fascisme et dénonce Hitler au pouvoir Résistant fr: devient ler ministre des Affaires culturelles 5 Vème Rép. → 1959 * Tchen = jeune révolutionnaire → tuer un trafiquant d'armes scène dramatique * Contexte contemporain: roman historique inspiré par la révolution Problématique: 20 Roman le + célèbre La Condition Humaine: prix Goncourt en 1933 Raconte la préparation de l'insurrection de Shangai dans la Chine par un grp communiste Quelle image André Malraux propose-t-il au protagoniste dans cet incipit? Lecture expressive du texte : 21 MARS 1927 Minuit et demi. 1 Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire? Frapperait-il au travers? L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche qu tombait du plafond sur un corps moins visible qu'une ombre, et d'où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même –de la chair d'homme. La seule lumière venait du building voisin: un grand rectangle d'électricité pâle, coupé par les barreaux de la...
Textes de bac: texte EAF n°7 Incipit de 2a Condition Humaine, André Malraux (1933) Introduction: * André Malraux: 1901-1976 Né à Paris 20 ans : Indochine, emprisonné pour trafic d'objets d'art Premiers romans inspirés de l'Extrême Orient (-partie orientale de l'Asie : Asie de l'Est +Asie du Sud-Est + extrême orient russe) * - S'engage contre le fascisme et dénonce Hitler au pouvoir Résistant fr: devient ler ministre des Affaires culturelles 5 Vème Rép. → 1959 * Tchen = jeune révolutionnaire → tuer un trafiquant d'armes scène dramatique * Contexte contemporain: roman historique inspiré par la révolution Problématique: 20 Roman le + célèbre La Condition Humaine: prix Goncourt en 1933 Raconte la préparation de l'insurrection de Shangai dans la Chine par un grp communiste Quelle image André Malraux propose-t-il au protagoniste dans cet incipit? Lecture expressive du texte : 21 MARS 1927 Minuit et demi. 1 Tchen tenterait-il de lever la moustiquaire? Frapperait-il au travers? L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa propre fermeté, mais n'était capable en cet instant que d'y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de mousseline blanche qu tombait du plafond sur un corps moins visible qu'une ombre, et d'où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même –de la chair d'homme. La seule lumière venait du building voisin: un grand rectangle d'électricité pâle, coupé par les barreaux de la...
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fenêtre dont l'un rayait le lit juste au-dessous du pied comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert? Combattre, combattre des ennemis qui se 10 défendent, des ennemis éveillés! La vague de vacarme retomba: quelque embarras de voitures (il y avait encore des embarras de voitures, là-bas, dans le monde des hommes...). Il se retrouva en face de la tache molle de la mousseline et du rectangle de lumière, immobiles dans cette nuit où le temps n'existait plus .Il se répétait que cet homme devait mourir. Bêtement: car il savait qu'il le tuerait. Pris 15 ou non, exécuté ou non, peu importait. Rien n'existait que ce pied, cet homme qu'il devait frapper sans qu'il se défendît, -car, s'il se défendait, il appellerait. Les paupières battantes, Tchen découvrait en lui, jusqu'à la nausée, non le combattant qu'il attendait, mais un sacrificateur. Et pas seulement aux dieux qu'il avait choisis: sous son sacrifice à la révolution, grouillait un monde de profondeurs auprès de quoi cette nuit écrasée d'angoisse n'était que clarté. << Assassiner n'est M O M EN pas seulement tuer... » Dans ses poches, ses mains hésitantes tenaient, la droite un rasoir fermé, la gauche un court poignard. Il les enfonçait le plus possible, comme si la nuit n'eût pas suffi à cacher ses gestes. Le rasoir était plus sûr, mais Tchen sentait qu'il ne pourrait jamais s'en servir; le poignard lui répugnait moins. 25 II lâcha le rasoir dont le dos pénétrait dans ses doigts crispés; le poignard était nu dans sa poche, sans gaine. Il le fit passer dans sa main droite, la gauche retombant sur la laine de son chandail et y restant collée. Il éleva légèrement le bras droit, stupéfait du silence qui continuait à l'entourer, comme si son geste eût dû déclencher quelque chute. Mais non, il ne se passait rien: c'était toujours à lui 30 d'agir. Plan : * Lignes I à 13: mouvement 1: incipit dramatisé: atmosphère pesante/mystérieuse/tendue in media res (= << au milieu des choses » = procédé littéraire qui consiste à placer le lecteur au milieu de l'action sans préalables) * Lignes 14 à 30: mouvement 2: personnage en proie au doute, drame intérieur du perso Analyse: * = journal intime * Minuit et demi: danger/meurtre/crime «<?»> /«<!»: s'interroge * *Narrateur = point de vue omniscient Ligne 1: << frapperait-il » : manière de le tuer = violence + suspens: va-t-il réussir ? << tenterait-il » ; « frapperait-il » : verbes d'action: lecteur au interrogation du perso. devant la tâche à accomplir de l'action = *Lignes let 2: « l'angoisse lui tordait l'estomac » : hyperbole + meurtriert aguerri Ligne 3: * << Tchen >> : apparition du personnage, son nom = seule info + il doit tuer qq'un On ne sait rien de l'identité de la victime - « songer »> ; << fasciné »> : rêve << mousseline blanche »: moustiquaire = plan moyen du lit: pas bcp d'info sur le cadre Lignes 4 et 5: << corps moins visible qu'une ombre » : hyperbole << corps »> ; « chair d'Homme » ; « pied » ; « sommeil » : infos sur la victime << sommeil »> : évoque la mort << pieds »>= métonymie du corps de la victime = vie et mort * Lignes 6 et 7: Va et vient entre l'intérieur et l'extérieur « building »; « électricité »... : cadre urbain Jeux d'ombre/lumière: meurtre = pénombre, loin des regards << barreaux »> = prison: Tchen s'enferme mentalement * Ligne 9: MOUN * * * * Lignes Il et 12: Ligne 13: * Transition mouvements : cet incipit plonge le lecteur dans une atmosphère angoissante tout en partageant les questionnements du personnage *Lignes 14, 17 et 24: * << grincèrent » : métaphore Bruits extérieurs = contraste avec silence chambre << découvert?»: stress de se faire prendre *Phrases brèves = angoisse Ligne 14: « il se répétait »: essaye de se convaincre lui-même * Ligne 15: * << dans le monde des Hommes » : s'enferme dans son monde/action inhumaine (barbarie monde des Hommes) Seule lumière = ville Ville = vie chambre = lieu de mort << il se retrouva... » : déplacement << tâche molle » : représente le corps sans vie qui va advenir << où le temps n'existait plus » : le temps est comme figé ou alors Tchen ne se rend plus compte du temps qui passe - Point de vue interne : « se répétait » ; « il savait »; «Tchen découvrait en lui » ; << Tchen sentait » : forme de monologue intérieur, discours indirect libre point de vue interne << jusqu'à la nausée » : malaise/stresse/angoisse : mal à l'aise face à cette mission antithèse << combattant » (=bataille + courage) « sacrificateur »> (=lâche) Prise de consciance : il n'est pas un combattant << Champ lexical religieux «< sacrificateur » ; « dieux » ; «< sacrifice » → animé/au service d'une quête collective pour laquelle il est prêt à mourir: révolutionnaire voulant changer le système pour qu'il devienne + juste et meilleur = idéologie *Ligne 20: « cette nuit écrasée d'angoisse » : tjrs atmosphère pesante M E* Lignes 20 et 21: « «< assassiner n'est pas seulement tuer ...» »: accès direct aux pensées de Tchen N - «< <pris ou non, exécuté ou non » : connait les dangers de cette action et où cela pourrait le mener << rien n'existait que... » : le monde autour a disparu Ligne 16: << sans qu'il se défendit » : doit tuer un homme endormi #se battre contre ennemi Lignes 17 à 19: Ligne 21: << ses mains hésitantes »: tjrs en proie au doute *Ligne 22: «< un rasoir fermé, [...] un court poignard»: ne sait pas quelle arme utiliser: 2 cas de figure → 1) la victime se débat = poignard / 2) la victime reste endormie = rasoir *Ligne 23 : « comme si la nuit n'eût pas suffi à cacher ses gestes » : il a honte de ses actes *Lignes 23 et 24: réfléchis toujours à l'arme qu'il va utiliser Doit réprimer son humanité Ligne 25: « poignard [...] nu » poignard * * pied nu » ; « corps nu » : comme si le pied appelait le * Ligne 27: focalisation externe: « il éleva » Ligne 28: « stupéfait du silence » : il s'étonne que personne ne l'ai encore pris sur le fait *Lignes 29 et 30: « c'était toujours à lui d'agir » : on ne connait pas la suite: a-t-il commis le crime?→ suscite la curiosité du lecteur Conclusion: * * Incipit dynamique qui repose sur l'angoisse et les questionnements du personnage en prise avec sa conscience * Suscite la curiosité chez le lecteur qui n'est pas informé sur les circonstances de l'action * Tchen est hésitant et angoissé analogie avec l'auteur qui était un * Il est relié à une cause qui lui tient à révolutionnaire * Il veut tuer en combattant # lâche * Impression d'une scène de cinéma * Liens entre Raphaël de Valentin et Tchen: quête individuelle + abandonnent toute illusion politique