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23/03/2023
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Introduction: Français Acte 3 scène 12, Marivaux Présentation du texte : Les fausses confidences écrit par Marivaux ont été représenter pour la première fois en 1737. Cette pièce est étudié dans le parcours théâtre et stratagème. Cette scène est l'avant dernière scène de la pièce, c'est la scène de dénouement de la pièce. • Mouvement du texte (plan): 1. Les lamentations de Dorante 2. Le double aveu des sentiments 3. L'aveu du stratagème et le pardon d'firaminte • Problématique: En quoi l'amour prend le dessus sur le stratagème ? Lecture linéaire: Première partie : • didascalie → donne le ton des réplique de Dorante • Dorante pense que c'est leur dernier échange → perte mis en évidence par la négation syntaxique = "je n'aurais plus que"→ "que" implique une négation exceptive • ultime échange →→ "précieux" = adjectif mélioratif → unique, valeur, mémorable réponse virulente = échec / relation impossible • "il faut se quitter" = obligation / rupture → Mme Argante se cache derrière l'obligation car elle veut que Araminte se marie pour le statut social → destin = fatalité = • "on" = tout le monde → l'amour de Dorante est rendu publique "je m'en suis pas fâchée" = heureuse →litoteaveu → sous entendu de l'amour d'framinte - marivaudage • Dorante renchérit sur son chagrin → excès "Hélas" (interjection) et "que" (adverbe d'intensité) = persuasion • nouvelle virulence d'Araminte qui...
Louis B., utilisateur iOS
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Lola, utilisatrice iOS
balaye les plaintes de Dorante en généralisant + double sens → elle se cache pour avouer ses sentiments regret de la perte de son travail et de sa bien aimé Deuxième partie : éco sur le marivaudage → jeu sur le langage pour mettre en évidence l'amour "ce serait avouer que je vous aime" → aveu par prétérition (dire quelque l'on veut pas dire = sous entendu) chose que ● ligne 562 → ironie "voilà pourtant ce qui m'arrive" - → ton virulent = elle est déstabilisé • "naïf" →→aveu de faiblesse = elle est tombé dans le piège de Dorante Dorante tombe à genoux = excès d'émotion → il continu à jouer le jeu = comique de geste et de situation • "je me meurs" → hyperbole = mort d'amour et de bonheur "!" → ambiguïté du propos de Dorante Troisième partie : ● ● changement de ton de Dorante → "tendrement" = affection mystère avec un effet d'attente par appréhension / culpabilité • "il faut" = obligation → amour impossible tant qu'il n'a pas été honnête • anxiété d'Araminte "songez vous que ce serait" = interrogation affirmative direct → insiste sur le côté déraisonné de Dorante ● aveu en tirade • Dorante tente de se justifier en lui prouvant qu'il est amoureux d'elle → négation exceptive "passion" →vocabulaire galant + souffrance de Dorante = aspect tragique opposition des sentiments de Dorante et du portrait cristallisant son amour aveu du stratagème venant "d'un domestique" → ne cite pas Dubois = le protège + se déculpabilise en rejetant la faute Ce domestique est proche de Dorante car il connait les sentiments de Dorante relation amicale →→il plaint son maître + • Dorante est un objet face au projet de Dubois • "Voilà, madame !" → conclusion de la tirade ● ● ● pathétique = remord (morale) et regrets • il moralise l'acte d'avoir manipulé framinte anaphore = "j'aime mieux" ● "j'adore" → dieu = place framinte comme une déesse litote="si j'apprenais cela [...], sans doute " • face à framinte, Dorante ose être honnête et faire tomber le masque • charmer → séduction # envouter / ensorceler • utilisation du superlatif pour un trait de caractère ="Thonnête" → honnête homme = XVIIème siècle littérature classique → idéal classique pardon d'framinte avec une litote → négation syntaxique ● Conclusion: Nous avons vu que les déclarations amoureuses de Araminte et Dorante font de cette scène l'acmé de la pièce en mettant fin au fausses confidences. La fin de cette scène exprime un message de Marivaux expliquant que la dissimulation peut être véhicule de sincérité amoureuse, qui justifie tous les stratagèmes. Comme dans Le Jeu de l'amour et du hasard, écrit précédemment, en 1730, le dramaturge s'attache à faire ressortir la sincérité des sentiments en mettant de côté le mariage de convenance et d'intérêt.