Commentaire littéraire 18/20

Légende alternative :

du progrès des bonds pourcorent représenter des animaux qui bonchiaient vivement au dever de rivières, ba où maintenant it y a despents. Cette vivacité est donc exprince pour qualifier l'efficacité de construction. De plus, de prète décrit les peaks comme : & tresse's en fera) (V8). In offer For est un materiaux très atitive pendant la revolution industriele E est en quelque some le materiaux symbole de cette periode car c'est un acier nouveau dans la contraction d'infrastructures des ponts on for représentent dont la me demite. Enfin to poète exprime la domination de cette nouveauté sur marche *• « qui dominant des faces de gorgones » (JA). En effet, and a les gorgeres repréſentent ta mythologle grecque et doar l'ancienaste. Elles opposent donc à la mortecaite des infrontructure qui le dominet, car ils sont plus récentes et importantes. Deur, Emile VERNAE REN, OPPOR la modernité et les progrès de l'urbanisation à l'ancien monde, et ainsi mantre la nouveaube de la vile. (2) D'aute part, le poète déant l'immersité des villes. En effet, les villes doivent s'agrandir cause des nouveter in frontradas de per en plus imporsenter. Ainsi, it whilise des hyperbole avec tous (1er V3), <grond > (14), & jusques aus alle (S), < plus hauts » (45). En effet, l'auteu white's to thome lexical de la grandeur et de la pour MORING de la ville de lecture est donc petit face à cette strophe, les infrastructures manièe imposente. De plus tre encréation dus tor tickte Set des her Se on Qui اسو S Un peu spide ceta des faubourds> (VAZ) absent des toits et des pignouss (143). En effet, enimention done un impression d'interminable liste, que dor son expect immense. De plus Enfin, l'auteur atitive one assonence dont as mènes vers ([(VA²-13), mais des levees 14 & hu bout des plaines et des domaines » (MAF). En fict on remarqut refactition du san [xline] Whale VAX) et are repetition des con ascondices feature in veten frei grande. Des to perte utilize des provides let que l'acore, t'hyperbole en l'émveneration pour desver l'image d'une ville immaux et impressionante. 2 it Pour fine, l'auteur exprime dons en feche t'éternakte du mondte urbain. En effet, cette acconisation nouvelle des vite parait a I 'auteur un pregnis qui semble durable. Ainsi, il utilize te lexique de la pième : < preness (127) sur lequel of fait une dierèse pour insuster serra felire. En effet, la prème est un materiaux sticle que dure of proste I don's to heaps dadidnich due permay dea reprezentant un maternas stake et passent à travers les operques. De plus, le poète fait une periphras pour remplacer le mot feu: & Des Clarkss rouges > 118 tin fat, Hambur souhaite mehre or uatur te mat each des termes agent un her logique avec caut representer l'amour le qualificant par dans la presie mais aussi t'chont. li, le accentuer I'd pote utilis il complète la priphone taves AP ou vers 21: abril at encoerent En effet, le poète expriime Javie sans fin du feu. La ville est dont toujours extrée grâce aux dans l'obscurite. Deac Emite VERHABREN, dome à la veille d'écrite are imper wien d'immortalite grâce aux infrastructures de pières ou aux feax illuminants la ville son interruption. Donc, l'auteur s'enorverthe deant Kuruntation to ces vites of nfait Heiogr oui bien! Non oui ☺ Contestable un peu excerolf L'autour acorde aussi les aspects déplaisents de la ville. D'one part, le perte décrit la pollution de la cult to ma progrès de l'industri- in correct --alisation. En effit, de pitole ainsi que te harken utilizes donster unite wicaclasorted Quest o polluent l'encomennt et cela peut avoir ta population ainsi que sur la whe. Ainsi, Haubour whili's are antithèse : XIXème siècle & le soleil dair no se voit pax (123). En effet, la pollution est si presente que les nages de petition dine potic de sa lumière expertenbles rayons de sobit. La ville est donc privie à cause to si pollution. De plus, on retrouve 26 et 25: a bouche qu'il est de tumire fra Non the an anyschatte aux vers & Par le chockoned to fumée (125). En effet, le poète explique les causes de Hobscurité partiette. I compere te eletla on humain dont la lumière sorrirait de la berabe. Sille & just firme à cause del mun usines ou des train. En fin, l'auteur accentue cette prition par une hyperbole: << un fleuse de cap the chcapaix (126) En effor itu apa rectement de fleuve rempli de petrele et de mélanges joutromon. L'auteur pode die fleuve don't t'eux a the polluée par l'esenta des entou que par les usines jetent leur déchets de nithe so prix du to love. Done, I'autour démontre la pollution cte ka lille di superne, & au charben de wes qui n'existaient pas avant la ce dlation industrato. our Voc SA revoin D'autre part, le poète decit cette ville comme mystérieuse. En effet, out uchanisation accette perturba to poète qui voir cette ville comme un paysage incomate et mystérieux. Ainsi, l'esteur philize le champ briat de la trance is primus> <sbroatlard» (129). En Fet, ces hommes plenyent to witte dans un brouillares qui ne permet pas de voir correctement the devient doar mystérieux, te porte fuit don assetic austertens (2 it went the mine do la ville. De plus, il fait une anaphore: to cibar № 3 et 4). En effet, l'auteur répète ce time et dame are impression de lo inton et d'intiguane. Masishe store tu ville n'est pas vraiment the faithe se sent pas cher the cave ette Hal interprété ) Commentaire litterale suite at krop mystérieux. En fin, il compare I've rei'ce, elle s'extine e Fimmortakts de la ville. la ville a un neve: a comme to effet, l'auteur renet in question to amprent in leve qui xexhumwait, da Ville in evert donc excore plus mystérieuse, car elle pourrait s'effacer + et s'exhanec. Donc Pauker doin't cette ville comme mystérieus et bintaine en la decrivent dans un paysage Bruselux. Porfinin Pautour derrit cette vite comme un endroit effrayit. monstre. Aire ou En effet, it a pair de cette ville quit on retrouve dans ce crème te lexique des monstresi & gorgoness (114) < Pantacataire ») (1 15), a monstriews (122), (peurss (169). In offer, lé poète atitive le champ lexical du monterens pour faire das decription off'aquate de la vitte implicitenut. De plus, îl Xerre Procédé? la ville à un monstre. She vile terbacalaires (VAS). En effet, cette peremification d'inspiration mythique donne Auclyse impression de domination sur les habitants et to compagnes de signifie que la ville aurait plusieurs cras kon montre macin ayant des terbacudes. Enfin on whouve tr d'usuffiscute seconde personification cette for a de sifflets des navices: ne & Hactent ta paariy (yee). In offer, les sifflets #² hurlest pas mais les hommes burlat. On peut aussi dire qu'il y a va plèmfime car lorsqu'on harle, c'est qu'on a peur done & curlerta pucs est un demname. Les navires, out can representes comme da monstres qu effraitent effraient les habitants DONC Vaubeer compare weut et avasi Yeffrayer. Donc le poète decrit les aspects de us monstre la vite 'it drouve deplaiszaks vice offeryants. redendence Ainsi, Emil VERHAEREN s'énerite downt cette urbanisation la aspects de plaisents de la ville. Done, le poste fait are critique de la vitte engéréncs, à la fois cégalie et positive. Malednit Ent écrit des permes de catiques. Caf D'autres auteurs de prened le cas de Apollinuve don Zone qui fait la critique de la mortecaite quoi! En effet, dans son poine, Guillaume Arotti'caire fait d'êtoy de la motecaite et montre a lasituate pour to monde concies Lecontent, it abcode amo certings aspect quit appréde de ce monde enden, don's to poins mais aussi dans d'autres poema du moins recuent comme Le commentare de l'étagissement