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fiche oral de français sur « La Loreley » d’Apollinaire

06/05/2022

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Introduction
Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie
d'une différente manière, comme une chose qu'i
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Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie
d'une différente manière, comme une chose qu'i
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Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie
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Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie
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Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie
d'une différente manière, comme une chose qu'i
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Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie
d'une différente manière, comme une chose qu'i

Introduction Apollinaire, poète du 20ème siècle, est l'un des premiers à considérer la poésie d'une différente manière, comme une chose qu'il ne faut pas nécessairement comprendre. Il suit les traces de Baudelaire, écrivant déjà certains de ses poèmes en prose ainsi que celle de Rimbaud déclarant qu'il "faut être absolument moderne". Il renouvelle la poésie notamment en s'appuyant sur de nouvelles thématiques, de nouvelles images parfois oniriques. Dans son recueil Alcools, il montre son envie de rupture avec l'ancien en supprimant par exemple toute ponctuation. Dans le poème intitulé La Loreley, il y raconte un mythe allemand, celui d'une femme sorcière condamnée au meurtre. Comment Apollinaire fait-il du personnage une femme double ? Apollinaire décrit un personnage ambigu en mettant en évidence l'aspect sorcier de La Loreley v-1 à 12 puis son côté humain et ses souffrances v 12 à 20. 1) Loreley, une sorcière ? Citations À Bacharach il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d'amour tous les hommes à la ronde Devant son tribunal l'évêque la fit citer Procédés oxymore assonance en "a" imparfait duratif singulier/pluriel antithèse à la rime passé simple Interprétation blondeur-pureté, innocence, ange représente la douceur, humanise la sorcière dès le début ambiguïté du perso ce n'est pas récent contraste, à elle seule elle est la ruine de tous ces hommes antithétique, amour toxique + longue relative qui caractérise cette sorcière (vers entier) : amour et la mort liés effet d'insistance ; dans tout le périmètre rupture dans le poème D'avance il l'absolvit à cause de...

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Légende alternative :

sa beauté belle Loreley aux yeux pleins de pierreries De quel magicien tiens-tu ta sorcellerie Je suis lasse de vivre et mes yeux sont maudits sphère religieuse registre du tribunal position de victime récit : dialogue apostrophe expansion du nom mise en évidence à la rime rimes sémantiques ( même sens ) expression les choses deviennent sérieuses accentue la position de victime de l'évêque et montre l'ampleur de sa beauté rupture on quitte le récit pour entrer dans le dialogue, le discours direct ( modernité du poème + jamais de ponctuation) démarré par une apostrophe registre lyrique, épidictique métaphore de la beauté, s'appuie sur la vue : côté innacessible de la femme car pierres précieuses sont rares. La pierre = froideur, dureté, coeur de pierre ( telle Méduse, elle mène tous les homme à leur perte) volonté de connaître l'origine de sa beauté mortelle renvoient à la dureté, à la douleur, au mal vie associée à la lassitude, même la vie renvoie à la mort Ceux qui m'ont regardé évêque en ont péri Mes yeux ce sont des flammes et non des pierreries Jetez jetez aux flammes cette sorcellerie Je flambe dans ces flammes ô belle Loreley synecdoque marques de la première personne COD champ lexical du regard métaphore affirmation vs négation bcp de pluriels impératifs x 2 reprise de parole de l'évêque polyptote allitération en "s" le regard est mortel ( la partie pour le tout ) = elle est mortelle ; le regard est associé à la mort, liés signifient sa solitude, pas un monstre mais souffrante, maudite elle est COD, ne contrôle rien non plus, pas de sa faute, malgré elle, les hommes ici font l'action parcourt le texte car c'est la source du problème renvoie à la passion amoureuse, à la souffrance lui dans l'illusion, elle dans la réalité : il est aveuglé dimension épique, volonté d'amplifier injonction, prière, champ lexical de la mort: flammes de la destruction (bûcher) : dimension tragique (perso humain) ils ne se répondent jamais logiquement effet de sonorité pour insister sur la destruction et la force de son envoutement une fricative; grésillement du brasier. Lui flambe Qu'un autre te condamne tu m'as ensorcelé II) Loreley, une femme ? Evêque vous riez Priez plutôt pour moi la Vierge Dans ce premier mouvement, est mise en scène une femme sorcière, envoutante, charmant même l'évêque sensé la condamner. Faites-moi donc mourir et que Dieu vous protège Mon amant est parti pour un pays lointain COD Faites-moi donc mourir puisque je n'aime rien champ lexical de la religion verbes à l'impératif allitération en "r" changement de registre vaque allitération en "m" dans le regard, la passion impératif lui est en COD, renvoie la tâche à un autre, ne peut le faire, sonne comme un constat surprenant qu'elle l'utilise alors que c'est une sorcière : montre son désespoir, son humanité, dimension sublime, devient une femme vulnérable qui souffre prières, elle en appelle à sa mort elle-même tons durs, graves : difficulté de ce qu'elle demande et de sa position parle de son histoire, ce qui la rend plus femme que sorcière ne s'épanche pas, pas de précisions seulement l'important qu'il soit parti amour et souffrance/mort liés effet d'insistance, le Mon cœur me fait si mal il faut bien que je meure Si je me regardais il faudrait que j'en meure Mon cœur me fait si mal depuis qu'il n'est plus là Mon cœur me fit si mal du jour où il s'en alla effet de cause conséquence négation marques de la première personne amplification thème des sentiments marque temporelle rupture de rythme demande à nouveau entre l'amour et la mort, sa propre souffrance et sa solitude ressortent, la négation augmente l'effet de vide, de néant insistance soit mise en évidence de sa solitude accablante, elle est face à elle-même ce qu'elle ne supporte plus car pas de contrôle sur ses actions on voit sa douleur, dimension pathétique et tragique (seule issue la mort ) Sa vie est vouée à l'échec femme humaine elle détruit des hommes mais elle aussi est détruite date sa douleur, focalisation sur le départ de son amant soit la source de sa souffrance casse le rythme des alexandrins (13 syllabes); s'accorde avec l'esprit de la Loreley, à sa souffrance, elle est aussi est en dysharmonie, à part Conclusion Apollinaire peint le portrait d'un personnage ambigu, d'une femme double ; une sorcière mortelle mais aussi une humaine souffrante. La femme, qu'elle soit jeune telle la Marie de Ronsard ou tentatrice telle la Jeanne Duval de Baudelaire, inspire fortement le poète. Elle est double, ange et démon.La femme est paradoxalement objet de culte, de répulsion ou de contemplation; elle sert de tramplin à l'imagination du poète.