Les propositions subordonnées : relatives et circonstancielles
Tu utilises probablement des propositions subordonnées sans même t'en rendre compte ! Ce sont ces petites parties de phrase qui ajoutent des infos supplémentaires à ton idée principale.
Les propositions subordonnées relatives sont introduites par des pronoms relatifs comme "qui", "que", "dont" ou "où". Elles dépendent toujours d'une proposition principale et se rattachent à un antécédent (le mot qu'elles complètent). Par exemple : "Voici l'homme qui est responsable de..." - ici "qui" reprend "l'homme".
Les pronoms relatifs se divisent en deux catégories : les simples (qui, que, quoi, dont, où) qui ne changent jamais, et les composés (lequel, laquelle, lesquels, lesquelles) qui s'accordent en genre et en nombre.
Astuce pratique : Pour identifier la fonction du pronom relatif, demande-toi ce qu'il remplace dans la phrase. "Qui" = sujet, "que" = complément d'objet direct, "dont" = complément d'objet indirect.
Les propositions subordonnées circonstancielles commencent par une conjonction de subordination (si, comme, parce que, afin que...). Leur super pouvoir ? Tu peux les déplacer ou les supprimer sans casser ta phrase ! Elles expriment plein de nuances : la cause (parce que), le but (pour que), la condition (si), l'opposition (alors que), la conséquence (si bien que), la comparaison (autant que), la concession (bien que) ou le temps.