Charles Baudelaire explore l'ambivalence de la femme dans son poème "Le serpent qui danse" tiré des Fleurs du mal. À travers des images sensuelles et exotiques, le poète dépeint la beauté et la dualité de la femme aimée, source à la fois d'ivresse et de danger.
• Le poème utilise des métaphores marines et animales pour décrire le corps féminin.
• La structure en octosyllabes et rimes croisées évoque l'ondulation du serpent.
• Baudelaire mêle éloge de la beauté féminine et suggestion de sa nature insaisissable.
• Le texte illustre l'alchimie poétique chère à l'auteur, transformant le banal en sublime.