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13/03/2023
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● ÉTYMOLOGIES: << voir », et theaomai <<< regarder, contempler ». Ils ont donné le mot THEATRE: verbes grecs theasthai thea qui veut dire « vue, contemplation, action de regarder ». Le mot grec theatron, qui signifie « lieu d'où on regarde, théâtre » est formé à partir de thea et du suffixe -tron qui désigne un lieu. Theatron désigne donc d'abord le public, le lieu d'où on peut voir ce qui se passe sur scène, avant de désigner également la scène. Ce mot donne theatrum en latin, qui désigne le lieu de représentation. LE THEATRE EUROPEEN ● SPECTACLE: Ital. spettacolo; du lat. spectaculum, qui vient de spectare, regarder, dénominatif de spectus, part. de specio, voir; comparez le grec. LE THÉÂTRE ANTIQUE : • Le Théâtre antique nous vient de Grèce, berceau de tout le théâtre occidental. Il est né à l'époque archaïque, aux Vlème et Vème siècle avant J-C, lors des célébrations consacrées à Dionysos, Dieu du vin, des arts et de la fête. • Les grandes dionysies sont apparues à Athène au VIe siècle, elles sont célébrées dans toutes les cités, l'origine religieuse s'effaçant peu à peu au profit de la fonction politique : assurer le renom de la cité en renforçant le sentiment communautaire. Cortèges. • Max 3 acteurs, ils jouent donc beaucoup de rôles. Les masques...
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servaient pour les changements de rôle et l'identification rapide des personnages sur scène, au théâtre .Tous les rôles étant tenus par des hommes, le costume servait avant tout à identifier les personnages grâce aux codes de l'époque. LE THÉÂTRE AU MOYEN-ÂGE : • Au début joué dans les églises pour expliquer la bible puis dans la ville mais toujours des sujets religieux • Spéctacles de + en + longs avec de + en + de personnages/ comédiens. • Théâtre profane LE THÉÂTRE ÉLISABÉTHAIN : ● À Londres, beaucoup de théâtres. • Publics divers, pièces diverses, différents registre • Le 29 juin 1613, le Globe brûla jusqu'aux fondations, le toit ayant pris feu pendant une représentation d'Henry VIII de Shakespeare. Il fut reconstruit immédiatement au même endroit, cette fois avec un toit carrelé, et rouvert l'année suivante. En 1642, il fut fermé par les puritains, comme tous les théâtres et démoli en 1644 pour faire place à des logements. LA COMEDIA DELLARTE: • Veut dire << théâtre interprété par des gens de l'art », ce qui veut dire, par des comédiens professionnels. Théâtre itinérant sur des trétos dans de petits espaces avec très peu de décors. Pièces souvent impro avec des canevas. Les lazzis: toutes sortes de plaisanteries burlesques, soit en paroles, soit en actions, des jeux de mots, des grimaces, des gestes grotesques et jusqu'à des détails de farces sur tréteaux LE THÉÂTRE CLASSIQUE : • Vise à instruire. La devise des classiques est d'ailleurs "castigat ridendo mores" c'est-à-dire << (l'auteur classique) corrige les mœurs grâce au rire ». • La règle des trois unités : temps (24h), un lieu, une action • La règle de l'unité d'action • La règle de la vraisemblance = ce qui se passe sur scène paraissent réelle aux yeux du publiques • La règle de la bienséance = rien représenter sur scène qui choque le publique Catharsis: La catharsis est l'une des fonctions de la tragédie selon Aristote. Il s'agit de libérer les spectateurs de leurs passions en les exprimant symboliquement. LE THÉÂTRE DES LUMIÈRE (18 & 19s) : Marivaux: préoccupations sociales et politiques: révolution Beaumarché: drame bourgeois. Tout en élaborant des intrigues joyeuses avec de multiples rebondissements, Beaumarchais développe une satire sociale et politique, 19e: Drame romantique: rejet du classicisme. Être plus simple. Théâtre engagé comme Victor Hugo. Vaudeville: uniquement de divertissement pour ririe, intrigues amoureuse compliqué dans un milieu bourgeois, Feydeau. LE THÉÂTRE DE L'ABSURDE : Mouvement des années 50. Un manque total de continuité dans les actions ou l'absence d'histoire lonesco, beckett