lecture lineaire de la princesses de Clèves de Mme de Lafayette

Légende alternative :

scère? I. Un cadre exceptionnel (11211) Ida danse (112 à 18) I. Un cadre exceptionnel Mme de Lafayette a soignê cette scène de rencontre en effet elle la place dans un décort prestigieux, c'est même un décort idyllique car nous sommes lors d'un bal en l'honneur des fiançailles de la fille du Roi (il n'en est pas question, nous sommes au Louvres, dans des conditions exceptionnelle pour une rencontre, c'est dans ce décor qu'on découvre une princesse de clèves encore plus belle, on a l'expression 11" elle passa tout le jour à se parer"→ hyperbole -> accentuer beauté princesse champ lexical beauté tout au long du texte. Son entrée est remarqué avec le passé simple + proposition subordonée circonstance → tous le monde, 13 → première danse avec M de Guise mais vite remplacer par l'entrée en scène théâtrale du due de Nemours - Suspense, on ignore son nom, il se fit un assez grand brut. Arrivée peu discrète, mystèrieuse avec periphrase 14 L'auteur joue la dessus pour intriguer le public. On voit l'importance du duc, il fait forte impression On le respecte en raison de sa beauté. 15,6 → marquer le destin de la princesse, destin auquel elle ne pourra pas échapper => fatalite. 16: "le roit lui cria de prendre celui qui arrivait" -> le roi donne un ordre, le roi et le représentant de dieu sur terre, cela montre que ce sont les dieux qui sont à l'origine de son coup de foudre => fatalité. 16 " celui qui arrivait" -> periphrase → pour désigner le duc de Nemours, on ne sait tis pas de qui il s'agit => contribue suspense. C'est a partir de que le coup de foudre commence, le premier regard avec champ lexical du regard "un homme" -> mystère. 27, La Princesse de Cleves emet une hypothèse: "ne pouvoir être que le duc de Nemours" → erex qu'on a le nom du duc. De plus elle ne le connait pas mais elle sait qui c'est => réputation da négation restrictive accentue la fatalité (1.7). Ce prince va être décrit de manière très élogieuse. 17 "Qui passait par dessus quelques sièges" => alliteration en's" grace, aisance, élégance. Il y a un parallèle avec le portrait de la Princesse. Mme de Lafayette insiste sur surprise, étonnement. 18,9: multiplication negations ->7 le trouble (notament la princessel. 19, Mme de Lafayette est très élogieuse sur son portrait : le soin qu'il avait pris de se parer" registre épidectique = 7 éloge d'un prsn. L10,11: le parallèle est renforcé avec :" mais il était difficile [...] sans avoir un grand étonnement". Le grand étonnement renforce le champ lexical de la surprise. Mme de Latayette a bien soigné le décor prestigieux et les 2 prsn se sont regarder, le coup de fotelre a commencé, la fatalité a operé. Toutefois, selon l'ordre du roi, tous deux vont se rapprocher I.la danse (L42 à 18) Mme de lafayette insiste sur cette surprise qui est réciproque, parallèle entre 18.12: chacun est frappé par la beauté de l'autre => hyperbole renforcé par adverbe "tellement. Les prsn se rapproche de plus en plus "proche d'elle", chiasme => "il fut proche d'elle et qu'elle wi fit" - ils vont faire plus qu'un L13 te duc est même impressioner "il ne put s'empêcher de ...". Il s'éloigne de sa condition d'honnête homme, de l'ideal de l'honnête homme (on voit son trouble) (def: c'est un comportement que devait suivre les hommes qui consistait à être élégant, respectueux, poli et maitriser la langue. L14, la danse commence (moment de sensualité, rapprochement des corps), c'est un topos littéraire, c'est un véritable spectacle (spectare regardler) tous le monde les regardent. Ils sont en communion en comose. A la surprise des 2 prsn vient s'ajouter la surprise de tous les autres 114, 15: "Le roi et les reines". L 14 a 18 - la danse est décrite à travers le regard des autres invités changement de focalisation : D'abord Mme de Clèves puis le ducde Nemours et enfin la cour) Quelle que soit la focalisation, tout est fait pour donner de la magie, de l'admiration. LIS-Pitote →"qach de singulier" - marque la forte impression que les invités ont. discours indirect 117" demandèrent s'il..." -> montre que le duc et la princesse subissent l'action => fatalité A partir de la Lig, nous entrons dans la vraie présentation III. la présentation (L19 à fin) Lig, le texte passe au discours direct, cela donne du dynamisme, de la vivacité à la scene mais cela aussi un effet de rapprochement entre les deux pasn. Toutefois ils ne se parlent pas directement, ils se parlent par le bials de la dauphine. Cette abscence de communication entre eux créer un certain malaise, cela est liée au faite qu'elle est mariée => une certaine pudeur. Cette abscence de communication pourrait symboliser leur relation futur (prolepse). des 2 prs sont assez géné a tel point que chaque prsn va devoir utiliser des périphrases, des tournures compliquées 11. 20,21). Le duc ne veut pas, ne peut pas trop en dire, déja il prononce le nom de da princesse (120), il utilise une littole "n'a pas les mêmes raison pour" (prétérition) cela montre qu'il se retient. 121, la dauphine continue à jouer les entremetteurs mettant dans l'embarras (allitération en "$") La dauphine comme tous les autres, ont été tellement impressioné par leur beauté, par la danse, qu'ils ont envie de les mettre ensemble de nom du mari de la Princesse n'est même pas cité sout dans son propre nom. La princesse est tellement embarrassée qu'elle se justifie (123,24) alors que 17, le lecteur sait qu'elle sait qui est l'homme avec qui elle a dansé. Elle ment pour preserver son honneur lelle est marie), elle preserve sa verly( L23 qui paraissait un peu embarrassé" sont des homéotéleutes => montre son inquietude, c'est la naissance du sentiment amoureux. Celte reaction telle fait semblant de ne pas le connaître) montre son attitude durant tout le roman, elle te repovese. La dauphine insiste 125 "Vous devinez fort bien". Elle en profite pour présenter, donner le nom du duc Nemours. Elle complimente même le duc il fait preuve d'humidité (compliment d'humilité, respect, obligeenie) alors que sa reputation est connu tous. la fatalité est donc en marche et les 4 dernières lignes insistent une dernière fois sur l'impression qu'a laissé la Princesse au duc "il ne peut admirer que", mégation restrictive qui montre une fatalité => "il he peut s'empecher de", alors qu'il danse avec la dauphine. CCL: Cette scène de rencontre entre le duc de Nemours et la princesse de clèves est un célèbre pessage dans la littérature, nous sommes dans le topos de la rencontre et du bal. Mme de Lafayette a fait le choix de placer cette rencontre dans un décor somptueux à l'image des convives, elle a insiste sur la fatalité de la passion amoureuse à laquelle ils ne pourrons échapper. Elle met en valeur la beauté et la surprise et la surprise et leur danse est un véritable spectacle. Le mari n'est plus présent, n'existe plus. Ce texte marque le début d'une souffrance terrible des 2 prsn. On peut considérer que cette rencontre annonce déja de manière proleptique leur destin tragique, leur histoire qui n'aura pas lieu. Nous verrons par la suite que les deux emours ne pourrons avoir une vreie histoire, Nille de Chartres préfère garder se vertu.