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Les métamorphoses du Vampire, Charles Baudelaire

05/05/2022

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Bigot do lectura: Quelle nouvelle vision de la femme le poète propose
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Bigot do lectura: Quelle nouvelle vision de la femme le poète propose ? Mouvements : viv •presentation de la forme em mouvement dans une position de soduction v5v16 → discours de la femme dans lequel ello puissance et sa capacito exprime sa touts - a se métamorphoser v 17 28 →→ un retour à la realité bructal Introduction: Em 1857, quand Baudelaire public Les Fleurs du Mal, il propose un recueil de cent poèmes que invito le loctour à un voyage initiatique au cours du no et du Spleom. Par l'originalito dos themes abordes, B. me se rattache à aucum mouvement littoraire et culturel du XIX sioclo mome si par certains aspects il se rapproche du romantisme. La première edition de co recueil lui vaudra um procès et suo de ses poemes seront comsuros. Il est divise em six sections et la poème étudio «sls Metamorphoses du Vampire » faut partio dos épaves. Om y retrouve sous la metaphoro du vampire un thème predominant dans les textes de Baudelaire • la femme Nous pouvons nous questiommer sur cette nouvelle vision de la femme que le porte mous propose. Dans un premier temps, mous aborderons la présentation d'une femme en mouvement qui se trouve dans une position de séduction puis nous évoqueroms som discours tout-puissant et sa capacité à se metamorphoser. Enfim, nous étudieroms le retour brutal...

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à la realité que le poèto met em scèmo A Lecture A Conclusion: Dans ce poème, Baudelaire fait appel à la symbolique du vampire pour représenter l'aspect madogique et destructour de la femme que apparaît comme une creature pleime do vicos, à l'origine de la souffrance et du sploem du poète. Il nous fait d'abord une description d'une femme seductrice puis collo-ci tiomt um discours envoûtant vis à vis du poète pour au final se transformer en vampire et mourir. Ouverture : Nous pouvons aimsi mettre em relation co poème avec « le Soleil » qui est également de Baudelaire. Dans co poème om observo un mouvement opposé : em effet, dans ce dernier C.B. transforme metaphoriquement la boue em or tandis que dams « los Metamorphos du Vampire le poète transforme l'or en bove. Analyse linéaire Tout d'abord, ce poème est un poème composé de deux strophes, toutes deux construites sur es rimes uniquement suivies Dvi v4: Présentation de la femme en mouvement dans une position de séduction *Des vers 1 à 4 → on trouve une allitération en «s» qui crée une harmonie imitative du serpent auquel on associe la femme. Il y a également une connotation religieuse à la genèse puisque le serpent incarne la tentation et donc la femme aussi *v1 → l'article défini «<la»> pose le contexte, en effet il permet de donner une représentation universelle, c'est une manière de généraliser de façon à ce que toutes les femmes soient concernées la métaphore du rouge à lèvres avec «< sa bouche de fraise » permet de donner une première idée de cette femme séductrice. En effet, la couleur rouge rappelle la passion la césure à l'hémistiche appuie cette première impression de séduction puisqu'elle amène de la musicalité et un rythme binaire qui donne une impression de balancement qui renvoie au mouvement de la femme durant la parade de séduction *Des vers 1 à 4 → On trouve à travers tout ce premier mouvement différents mots ou expressions qui permettent de placer la femme en position de séduction. En effet, la « bouche de fraise » pour la couleur et le goût sucré qui renvoie à la gourmandise, « braise » rappelle le feu, image très usitée pour représenter le désir et la passion, « busc » qui est l'armature du corset, habit autrefois réservé aux femmes, <«< musc » odeur sucrée, sensuelle, « pétrissant ses seins » mouvement violent, sexualisation de la femme *v2 → apparition très explicite du serpent les gérondifs << pétrissant » et « en se tordant » évoquent la simultanéité de la femme * v4 → << laisser couler ces mots » montre de la douceur, de la fluidité. C'est en effet un discours sensuel qui va arriver, la femme dit des choses que l'on a envie d'entendre II) v5→ v16: Discours de la femme dans lequel elle expose sa toute-puissance et sa capacité à se métamorphoser * v5 → entrée du discours direct avec le tiret et les guillemets, la femme parle - → elle commence son discours par << Moi j' », idée de quelqu'un de prétentieux et d'égocentrique, personnage autocentré et puissant. Cette tournure emphatique permet de mettre en valeur la femme qui parle → on retrouve dans ce vers une femme caractérisée par la bouche qui est une des images de la passion et de la sensualité avec « lèvre humide >> la rime riche << science» - « conscience » renvoie à une citation de François Rabelais : << Science sans conscience n'est que ruine de l'âme », la science de cette femme est autour du lit et de la sexualité *v6 → le cadre spatio-temporel a un caractère sexuel « lit » de plus le nom « conscience >> précédé de l'adjectif qualificatif « antique » indique un problème de temporalité « antique » appartenant au passé tandis que la « conscience » est ancrée dans le moment présent. Ainsi le temps ne passe pas * v7 → les << seins triomphants » renvoie à la domination et la puissance de la femme sur l'homme. Le groupe verbal « je sèche tous les pleurs » indique la passivité et l'impuissance de l'homme et le réconfort de la femme qui domine. La femme peut aussi bien être une experte en sexualité mais aussi une mère consolatrice * v8 - le terme « rire » indique le pouvoir de la femme qui fait oublier la mélancolie elle est le temps d'un instant le remède au spleen → Le parallélisme « rire...rire » renforce l'idée de la femme vue comme une consolation pour l'homme → Elle détient aussi le pouvoir d'éternité et de rajeunissement démontré grâce à l'antithèse « vieux » et « enfants »>, elle agit comme une fontaine de jouvence, c'est son troisième pouvoir * v9 et 10 il y a un coté érotique de la femme « nue et sans voiles » qui détient le pouvoir divin elle « remplace la lune, le soleil, le ciel et les étoiles », cette impression de toute-puissance est renforcée par le tétramètre Elle compare son corps aux éléments célestes, créations de dieu, ainsi le corps de la femme devient blasphème → La femme convainc le poète de sa grande volupté et de sa grande beauté grâce au point d'exclamation «<!» et à l'accumulation des termes du champ lexical de l'espace qui est d'une immensité et d'une beauté sans pareil * vll →> l'emploi des termes « savant » et « docte» indique l'expertise de la femme de la délectation et du plaisir sexuel. C'est d'ailleurs un rappel de la « science » du vers 5 L'emploi de « mon cher » a une connotation ironique, l'homme est soumis à la femme et à ses savoirs charnels, cela montre l'intimité et la proximité. C'est renforcé par la mise en incise de ce groupe nominal * V12 → proposition subordonnée conjonctive en fonction de temps le verbe conjugué à la première personne du singulier au présent de l'indicatif « j'étouffe >> montre la cruauté de la femme et son pouvoir sur l'homme *v13 → le nom commun << morsures » renvoie au serpent et au vampire, cependant le << buste >> vient nuancer cette idée et permet d'humaniser la femme dans l'acte charnel * v14 → on trouve une double antithèse entre les adjectif qualificatifs << timide et libertine >>,<< fragile et robuste » qui introduisent un double jeu: la douceur et la violence, l'amour et la domination. Une polysyndète en «< et » accentue l'image de la femme polymorphe et antithétique *y15 l'allitération en <<m » renforce le coté mou du martelas. << les matelas se pâment d'émoi >> vient personnifier ces matelas qui se font aussi ensorceler par cette femme. On peut voir un jeu de mots entre << se pâment de moi » et « se pâment d'émoi »>. De plus, on trouve une métonymie des amants qui sont représentés par le matelas ->> * v16 → le groupe verbal « les anges ... se damneraient » indiquent qu'ils seraient prêt à aller en enfer pour cette femme, ainsi elle représente un pouvoir divin surpuissant → hyperbole accentuée par la ponctuation de la phrase exclamative et par la marque du pluriel fin du discours direct III) Un retour à la réalité brutal *v17 → A partir de ce vers, l'ambiance change, on rentre dans une ambiance fantastique, c'est moins rythmé, Baudelaire utilise des procédés de manière à casser le rythme, cela rend les vers moins structurés et moins harmonieux. En effet, les unités syntaxiques ne sont plus calées sur un vers, tout est décalé, chaque vers se décale sur le suivant grâce aux nombreux enjambements proposition subordonnée conjonctive en fonction de temps métaphore filée du vampire, débute au titre, images de la bouche à plusieurs reprises puis la *v18 → << languissement >> a une connotation sexuelle, ce vers constitue le début d'une vision d'horreur puisque l'homme se tourne morsure * v19 → pleonasme entre «< baiser » et « amour » qui renforce l'idée que le poète était envoûté → entre le v19 et le v20 on trouve une tournure restrictive avec « ne que » qui vient ici montrer la dégradation de la femme qui était voluptueuse, sensuelle et qui est désormais une « outre aux flancs gluants >> * v20 champ lexical du dégoût et de la putréfaction avec « gluants » et « pus >> le point d'exclamation qui marque donc une phrase exclamative insiste sur la vision d'horreur qu'il vient de découvrir en effet, la femme qu'il vient d'aimer et de consommer est devenue un objet de dégoût * v21 césure à l'hémistiche qui nous ramène à la musicalité du poème → << les deux yeux »> insiste sur le fait qu'il refuse de voir, il les ferme dans l'espoir que la vision d'horreur qu'il vient de voir soit passée quand il les rouvre allitération en [k] avec «< QUand » et « Clarté » qui permet de renforcer la brutalité du *v22 moment → « clarté vivante» a un côté divin, peut évoquer une certaine renaissance - *v23 → la locution prépositive « au lieu de >> évoque la transformation de la femme → vers paradoxal avec « mannequin » et « puissant » puisqu'un mannequin est un objet mort et dévitalisé *v24 → « semblait », ce verbe montre une incertitude → << provision de sang » fait référence au vampire et donc au titre et cela constitue donc la continuité de la métaphore filée * v25 → l'adverbe « confusément » donne une impression de quelque chose de désorganisé, d'éparpillé → « débris de squelette » renvoie aux os et « tremblaient » fait penser au froid et à l'épouvante qui renvoient à la mort de la femme *v26 → ce vers nous montre que ses os grincent avec « le cri d'une girouette » puisque c'est un son désagréable et strident, le corps devient alors une cacophonie *v27 → << tringle de fer» renforce la sensation morbide et de froideur des vers précédents et renvoie au « fer de son busc» au vers 3 quand elle était encore une femme puissante et vivante