Matières

Matières

Société

DISSERTATION - conflit israélo-palestinien

23/04/2022

1801

101

Partager

Enregistrer

Télécharger


JALON 5: Dissertation
Mayer Celine Tou
Le Proche-Orient est secoué par des guerres à répétitions opposant l'État d'Israël à ses
voisins arab
JALON 5: Dissertation
Mayer Celine Tou
Le Proche-Orient est secoué par des guerres à répétitions opposant l'État d'Israël à ses
voisins arab
JALON 5: Dissertation
Mayer Celine Tou
Le Proche-Orient est secoué par des guerres à répétitions opposant l'État d'Israël à ses
voisins arab
JALON 5: Dissertation
Mayer Celine Tou
Le Proche-Orient est secoué par des guerres à répétitions opposant l'État d'Israël à ses
voisins arab
JALON 5: Dissertation
Mayer Celine Tou
Le Proche-Orient est secoué par des guerres à répétitions opposant l'État d'Israël à ses
voisins arab

JALON 5: Dissertation Mayer Celine Tou Le Proche-Orient est secoué par des guerres à répétitions opposant l'État d'Israël à ses voisins arabes pendant la période de 1948 à 1987. L'origine du conflit israélo-arabe remonte à l'arrivée progressive des Juifs en Palestine à la fin du XIXe siècle, avec le point culminant, la création de l'État d'Israël en 1948. Son existence, immédiatement refusée par les Arabes de la région et par les États voisins, provoque un conflit interétatique. L'enjeu principal est la reconnaissance de l'existence d'un État hébreu en Palestine par les États arabes. Le sionisme (mouvement politique et religieux, visant à l'établissement puis à la consolidation d'un État juif en Palestine) s'oppose ainsi au nationalisme arabe. Cependant, le conflit israélo-arabe tire vers un conflit israélo-palestinien qui oppose deux mouvements nationaux, avec d'un côté l'État d'Israël et de l'autre des membres de la population palestinienne, notamment dans les territoires occupés. Il se rapproche ainsi davantage d'une guerre civile ou d'un conflit colonial, p en raison de l'importance des territoires disputés dont Jérusalem et il a une forte dimension religieuse. Si ces conflits dans cette région ont été en partie résolus, celui entre l'État hébreu et les Palestiniens ne semble pas l'être, en dépit des nombreux efforts diplomatiques internationaux. C'est dans ce cadre que nous allons nous demander où...

Rien ne te convient ? Explore d'autres matières.

Knowunity est la meilleure application scolaire dans cinq pays européens.

Knowunity est la meilleure application scolaire dans cinq pays européens.

Knowunity a été mis en avant par Apple et a toujours été en tête des classements de l'App Store dans la catégorie Éducation en Allemagne, en Italie, en Pologne, en Suisse et au Royaume-Uni. Rejoins Knowunity aujourd'hui et aide des millions d'étudiants à travers le monde.

Ranked #1 Education App

Chargement dans le

Google Play

Chargement dans le

App Store

Tu n'es toujours pas convaincu ? Regarde ce que disent les autres élèves ...

Louis B., utilisateur iOS

J'aime tellement cette application [...] Je recommande Knowunity à tout le monde ! !! Je suis passé de 11 à 16 grâce à elle :D

Stefan S., utilisateur iOS

L'application est très simple à utiliser et bien faite. Jusqu'à présent, j'ai trouvé tout ce que je cherchais :D

Lola, utilisatrice iOS

J'adore cette application ❤️ Je l'utilise presque tout le temps pour réviser.

Légende alternative :

en est le processus de paix israélo-palestinien depuis les accords d'Oslo. Pour répondre à cette question nous nous intéresserons dans un premier temps au conflit en lui-même et aux tentatives pour le résoudre, puis dans un second temps, nous aborderons ce qui dérègle le processus de paix et enfin nous analyserons les raisons qui rendent cette paix illusoire. quenfuit d'acteus у plus nal Pale tout bonne monlee vers lesjes AH enban le La colonisation est l'un des principaux facteurs de conflits entre Israël et la Palestine. I pai Depuis 1967, des colons israéliens revendiquant l'extension d'Israël s'installent en territoire palestinien avec le soutien de l'armée israélienne. Ils y fondent des communautés pratiquant l'agriculture, qui défendent leur implantation et deviennent parfois des villes. L'enjeu majeur de ce conflit est le droit du peuple palestinien à fonder un État en Palestine mais aussi la question de l'accès aux sanctuaires de Jérusalem-Est qui nourrit les tensions intercommunautaires entre juifs, musulmans et chrétiens. S'ajoute à cela, le problème de l'accès à l'eau. Israël impose aux Palestiniens une tutelle hydraulique qui les prive d'une grande partie de leurs ressources. Après 1967, Israël occupe tous les territoires palestiniens auparavant administrés par les États Arabes (bandes de Gaza, Cisjordanie dont Jérusalem-Est). Néanmoins, c'est la première Intifada (1987- 1993) qui confirme la mutation du conflit étatique israélo-palestinien en conflit asymétrique. Cette période de conflit entre les Palestiniens des territoires occupés et Israël désigne le soulèvement et la lutte sans arme à feu menée par les Palestiniens contre l'occupation has yet israélienne (d'où le mot arabe << intifada » qui signifie « soulèvement »). On l'a aussi appelé "la guerre des pierres". L'armée israélienne fait face à une population, mais aussi à des organisations armées telles que l'OLP (Organisation de Libération de la Palestine) ou le Hamas à Gaza. Le bilan de cette première Intifada est de 1 100 morts palestiniens, près de 160 morts israéliens, et des milliers de palestiniens se retrouvent emprisonnés ou blessés. Durant ces six années de conflits, le Hamas va émerger, l'OLP va proclamer l'État indépendant de la Palestine et reconnaître Israël. Les accords d'Oslo de 1993 mettent un terme à cette lutte. Cet accord, secret dans un premier temps, se précise le 29 août 1993. Il dessine les grandes lignes d'une autonomie palestinienne intérimaire commençant par la bande de Gaza et une petite partie de la Cisjordanie occupée autour de Jéricho. Il intervient après la reconnaissance mutuelle d'Israël et de l'OLP le 9 et 10 septembre 1993. C'est seulement le 13 septembre 1993, que les accords d'Oslo également connu sous le nom de « déclaration des Principes à Washington, sont signés en présence de Yitzhak Rabin (premier ministre israélien), de Yasser Arafat, (président du comité exécutif de l'OLP) et de Bill Clinton (président des États-Unis). Ces accords conduisent à la création de l'autorité palestinienne (État palestinien indépendant). Ce jour est d'autant plus exceptionnel qu'il est accompagné d'une << poignée de main historique » sur la pelouse de la Maison Blanche entre les « ex-frères ennemis »>, Arafat et Rabin. Les accords d'Oslo permettent de poser les premiers jalons d'une résolution du conflit israélo-palestinien et instaure une base pour une autonomie palestinienne temporaire de 5 ans pour progresser vers la paix. Cet accord entre en vigueur le 13 octobre 1993, soit un mois après la signature. Il est composé de trois éléments dont une déclaration générale de principes qui "reconnaît leurs droits politiques mutuels et légitimes" et établit "un cadre pour la période intérimaire" en vue de l'autogouvernement des deux régions de la bande de Gaza et de Jéricho (puis étendu à d'autres villes de Cisjordanie). Derrière cet acte, il y a des circonstances qui ont amené cet accord, avec notamment l'après- guerre froide, l'après-guerre du Golfe, la position de force d'Israël, la situation de faiblesse de I'OLP, la pression des nations amies d'Israël... C'est bien la première fois que l'Israël et l'OLP signent un accord créant l'espoir d'une paix globale au Proche-Orient après 45 ans de conflit, ce qui constitue un grand pas. Malgré les critiques d'opposants des deux parties et de certains pays arabes, un grand nombre s'en réjouit. L'accord de Jéricho-Gaza qui investit la nouvelle Autorité Nationale Palestinienne de pouvoirs limités vient compléter les accords d'Oslo de 1993. La période de transitoire d'autonomie est lancée le 4 mai 1994 par MM. Arafat et Rabin. En juillet le chef de l'OLP retourne dans les territoires palestiniens, après 27 ans d'exil, où il établit l'Autorité Palestinienne. C'est dans un climat tendu que les négociations officielles et officieuses post-Oslo reprennent en janvier 1995 (attentats du Hamas en octobre 1994; autorisation donnée par le gouvernement israélien aux colonies de s'étendre, provoquant de nouveaux affrontements). En dépit de la reprise des pourparlers, les attentats se poursuivent, faisant des victimes parmi les civils et les militaires israéliens, mais Rabin décide néanmoins de continuer à négocier. Plusieurs points sont étudiés : les questions territoriales, les élections palestiniennes et les questions économiques. En Israël, la poursuite des négociations rencontre une opposition, notamment de la part de la droite religieuse, qui refuse le partage de la terre d'Israël. Le 28 septembre 1995, les accords Oslo Il négociés à Taba en Egypte sont signés à Washington. Cet accord initialement prévu pour une période de transition de 5 ans qui devait mener à la création d'un État palestinien souverain n'est pas accueilli avec le même enthousiasme que les accords initiaux. Il trace les grandes lignes et les échéances et des conditions de l'autonomie des Palestiniens d'une part, mais il entérine également la division de Cette (parte cverant minte d'être développ с рик la Cisjordanie en 3 zones (A, B, C) d'autre part. C'est ainsi que la zone A, sous contrôle palestinien, regroupe les grandes villes (Gaza, Jericho, Ramallah...) sauf Hébron. Cela ne représente que 3 % de la Cisjordanie. La zone B, sous contrôle mixte, est constituée essentiellement de villages et communes rurales, couvrant 27 % de la Cisjordanie. La zone C, sous contrôle israélien, représente elle près de 70 % de la Cisjordanie et constitue le seul territoire continu. Dès lors, il semble difficilement imaginable de réussir à créer un état palestinien autonome sans le contrôle sur la zone C. Oslo Il trace aussi les contours du retrait des troupes israéliennes de Cisjordanie et les dispositions relatives aux relations économique, l'accès à l'eau etc... Ces accords Oslo ne sont pas un accord de paix, mais un projet complexe sur l'avenir de la bande de Gaza et de la Cisjordanie, afin de parvenir, par étapes, à un processus de conciliation avant réconciliation entre Israéliens et Palestiniens. Mais rapidement, ce processus montre des signes de faiblesse et se retrouve en danger. Sur le plan territorial, les villes de la zone A sont évacuées par l'armée israélienne fin 1995 et passent sous le contrôle de l'Autorité palestinienne, à l'exception d'Hébron, qui doit être évacuée par Israël à la suite des élections palestiniennes. La zone B passe sous contrôle palestinien après le retrait de l'armée israélienne qui y assure toutefois toujours la sécurité et la lutte contre le terrorisme. La zone C reste sous le contrôle d'Israël. L'Autorité palestinienne contrôle ainsi plusieurs enclaves palestiniennes sur un territoire qui n'est pas continu. Le 4 novembre 1995, Itzhak Tabin est assassiné par un Israélien qui l'accuse d'abandonner des terres du peuple juif. Cela ne remet pas en cause l'application des accords d'Oslo II. C'est à partir de septembre 2000, lorsqu'éclate, que les relations se tendent et le conflit s'aggrave. Yasser Arafat redevient la bête noire des Israéliens car il est rendu responsable de la dégradation de la situation. Tout explose lors de la visite du chef du Likoud (parti de droite nationale-libérale israélien), Ariel Sharon sur l'esplanade des Mosquées. Des violences éclatent à Jérusalem, puis dans l'ensemble de la Cisjordanie et de la bande Gaza. Le bilan será plus lourd que celui de la première Intifada. En 2005, les colonies de Gaza sont évacuées, mais la colonisation se poursuit en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Pour les colons israéliens, souvent animés par le nationalisme, c'est un moyen d'étendre le territoire d'Israël, et notamment d'occuper peu à peu tout Jérusalem afin que la ville puisse devenir une ville totalement israélienne et la capitale du pays. De fait, la colonisation s'intensifie et morcelle beaucoup le territoire palestinien, d'autant qu'un mur est édifié à partir de 2002 pour séparer Israéliens et Palestiniens, et empêcher les attentats à la roquette. Le mur protège les colonies et les routes d'accès, ce qui rend la circulation en Cisjordanie parfois très difficile. La colonisation diminue la taille de la Palestine, renforce les tensions entre Israéliens et Palestiniens, et compromet le partage en deux états. En juillet 2013, les dernières négociations directes reprennent mais elles s'achèvent sans résultat. Les accords d'Oslo Il étaient-ils voués à l'échec ? L'assassinat de Yitzhak Rabin (1995), la seconde Intifada (2000-2006) et le recours régulier aux violences (opération plomb durci à Gaza en 2008-2009) fragilisent le processus de paix et n'encouragent pas la sortie du conflit. D'autant que les deux principaux acteurs des années 1993-1995 dans chaque camp sont encore en place aujourd'hui : Mahmoud Abbas alias Abou (président de l'Autorité Palestinienne depuis 2005 et proche de Yasser Arafat) et Benyamin Netanyahou. Et ni l'un ni l'autre n'ont voulu relancer le processus de paix. En effet, côté palestinien, Arafat a rejeté la proposition de Ehud Barak en août et septembre 2000 de recon tre un état Palestinien démilitarisé, sur 94% des territoires, avec Jérusalem Est pour capitale, et le partage des lieux saints, préférant s'enfuir et annoncer avec fierté à sa population qu'il n'avait pas cédé aux pressions israéliennes et américaines. Abbas, lui, a refusé les propositions d'Ehud Ohmert (homme d'État israélien) en 2006 qui offraient le contrôle absolu de 93 % des territoires, d'un droit au retour limité et le 18 contrôle total du Mont Temple, rebaptisé «Esplanade des mosquées». Le Premier Ministre Ariel Sharon a voulu retenter l'expérience, en offrant l'intégralité de Gaza à l'Autorité Palestinienne en 2005. Cela a mené à un coup d'État qui a conduit l'organisation terroriste Hamas au pouvoir et à trois confrontations avec l'Israël (en 2009, 2012 et 2014). Pour Mahmoud Abbas, la seule solution envisageable est un État Palestinien dans les frontières de 1967, avec Jérusalem pour capitale et une juste résolution du problème des réfugiés, laissant ainsi peu de place aux concessions. Côté israélien, la construction du mur de séparation sur le territoire palestinien semble avoir scellé le sort de la paix entre les deux peuples. Enfin, l'état hébreux bénéficie du soutien d'un allié de poids avec les États-Unis, le principal allié militaire d'Israël, contrairement aux Palestiniens qui n'ont eux aucun soutien ouvert d'une grande puissance. Ainsi, en février 2017, Trump et ses conseillers, sans se ranger complètement du coté de la position israélienne ont reconnu Jérusalem comme capitale d'Israël. Depuis, les Palestiniens ne comptent plus sur les Américains pour résoudre et rétablir la paix. Plusieurs études ont montrés que le processus de paix était erroné dès le départ. En effet, une des hypothèses d'Inès Abdel Razek (directrice de plaidoyer à l'Institut pour la diplomatie publique de Palestine) est que l'Israël était favorable à une solution à deux états or elle n'a jamais signé de document reconnaissant un État de Palestine ou les droits des Palestiniens à leur État souverain. Avec Oslo, ils ont simplement reconnu l'OLP comme représentant des Palestiniens. Alors que Yasser Arafat avait signé la reconnaissance de l'État d'Israël. La seconde hypothèse est que pour des négociations, il faut deux parties égales avec une symétrie de pouvoir. Or, ici, ce n'est pas le cas, car les Israéliens contrôlent les ressources naturelles, les frontières, les territoires...ils n'ont donc aucun intérêt à donner un État aux Palestiniens. Pour certains analystes israéliens, l'échec d'Oslo est associé au terrorisme palestinien qui a fait basculer l'opinion publique israélienne. Les Israéliens pensent presque tous que ces accords ont énoncé le retour de l'insécurité dans les rues du pays. Selon, le Service de sécurité intérieure israélien, Oslo n'y est pour rien. En effet, c'est l'anéantissement de fidèles musulmans, en prière dans le caveau des Patriarches à Hébron, par un juif ultra, Baruch Goldstein, qui a fait basculer le Hamas, lui donnant la « légitimité » pour commettre des attentats contre des civils en territoire israélien. Il y a donc ici une double responsabilité, premièrement celle d'Yitzhak Rabin qui n'a pas pris de mesures contre les colons les plus extrémistes et celle de Yasser Arafat qui n'a pas pu ou voulu neutraliser les groupes armés du Hamas. L'opinion publique israélienne est, quant à elle, contradictoire, comme en témoigne l'indice de paix publié en septembre 2018 par l'Institut pour la démocratie : la majorité des juifs israéliens estime toujours que les Palestiniens méritent un État indépendant or, 56 % des personnes interrogées pensent que la solution à deux États n'est pas faisable. La paix continue donc d'être impossible entre Israël et Palestine à cause de ces nombreux facteurs. Pour avoir une paix durable, il faudrait que les Israéliens soutiennent un État souverain pour les Palestiniens qui inclurait le Hamas, lever le blocus de Gaza et les restrictions de circulation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Mais il faudrait aussi que les groupes palestiniens renoncent à la violence et reconnaissent l'État d'Israël. Des accords raisonnables devraient être conclus concernant les frontières, les colonies juives et le retour des réfugiés. Cependant, depuis 1948, année de la création de l'État d'Israël, beaucoup de choses ont changé, notamment la configuration des territoires contestés après les guerres entre Arabes et Israéliens. Pour Israël, il s'agit d'un fait accompli, pour les Palestiniens non, puisqu'ils insistent pour que les frontières à négocier soient celles qui existaient avant la guerre de 1967. En outre, alors que dans le domaine de la guerre, les choses deviennent de plus en plus incontrôlables dans la bande de Gaza, il y a une sorte de guerre silencieuse en Cisjordanie avec la construction continue de colonies juives, qui réduit, en fait, le territoire palestinien dans ces zones autonomes. B Aux frontières d'Israël, le conflit israélo-palestinien ne semble pas devoir d'issue et l'évacuation par Israël de la bande de Gaza en 2005 n'a pas amélioré la situation, permettant même la victoire électorale du Hamas qui prône la destruction d'Israël. Le conflit israélo- palestinien reste une menace pour la stabilité de toute la région du Moyen-Orient. Oslo devait ouvrir la voie à un État palestinien. Mais la Cisjordanie est toujours occupée, l'enclave de Gaza aux mains du mouvement islamiste Hamas est sous blocus israélien, et la colonisation israélienne a gagné du terrain.. La barrière de sécurité autour de ce territoire condamnée par la Cour internationale de justice de La Haye a également compliqué la progression d'un processus de paix qui semble au point mort. Mais le sujet le plus compliqué pour son symbolisme est peut-être Jérusalem, la capitale revendiquée par chaque camp. Un pacte définitif ne sera jamais possible sans la résolution de ce point. D'autres points pourraient être négociés avec des concessions, mais pas Jérusalem. Comprehens. Langue Argumentation 4 References 5 on 5 5 19 Excellente copie Brave; Quelques passages remarquable