Le Japon peine à reconnaître ses crimes de guerre, notamment dans ses manuels scolaires, ce qui nuit à ses relations diplomatiques avec les pays voisins. Cette attitude s'explique par un fort nationalisme et une volonté de préserver une image positive sur la scène internationale.
- Le manuel "Nouveau Manuel d'Histoire" de 2001 a déclenché une controverse en minimisant les crimes de guerre japonais
- Les relations avec la Chine et la Corée restent tendues à cause du révisionnisme historique japonais
- Le Japon privilégie les compensations financières aux excuses officielles
- Le nationalisme japonais, né à l'ère Meiji, s'est renforcé après la Seconde Guerre mondiale
- Le gouvernement promeut le patriotisme et une image positive du pays à l'international