La gestion complexe de la mémoire historique japonaise concernant les crimes de guerre commis entre 1937 et 1945 révèle des tensions persistantes entre reconnaissance officielle et déni.
• Le Japon pendant la seconde guerre mondiale a perpétré de nombreux crimes dans les territoires occupés, incluant des massacres, de l'esclavage et des violences systématiques.
• La position gouvernementale japonaise reste ambiguë, oscillant entre reconnaissance partielle et négationnisme, particulièrement visible sous l'administration de Shinzo Abe.
• Les tensions diplomatiques avec la Chine et la Corée du Sud persistent, notamment autour des manuels scolaires et des lieux de mémoire comme le sanctuaire Yasukuni.
• L'absence de histoire et mémoire hggsp officielle se manifeste par le manque de lois mémorielles, monuments et programmes éducatifs.