Légende alternative :

de catalogues de jouets récents: On constate Des jouets sexués/genrés et « sexuants >> Une dichotomie quasi-systématique = séparation en deux parties les filles d'un côté les garçons de l'autre. rayon fille soit rose ou violet, jouets dédié à la maternité, taches ménagères, cuisine les activités auxquelles jouent les filles, attendent d'elles une certaine minutie. rayon garçon est bleu, jouets d'action (bricolage, épée) Chez les filles 31 % sont représentés comme passives contre 10% chez les garçons (soit 3X +) De plus cette dichotomie quasi-systématique et l'influence des parents entrainent Une limitation du champ des possibles, pour des compétences qui vont se construire selon le genre Les jouets ne se cantonnent pas à une fonction ludique, mais sont aussi révélateurs des processus de socialisation ATTENTION Et ce, par le biais des trois (deux) mécanismes principaux : ➡ Imitation ➡ Interaction Injonction Le Jouet et ses usages sociaux Sandrine Vincent ➡Imprégnation Inculcation En 2001, Sandrine Vincent, sociologue française, a publié à ce sujet un ouvrage intitulé : « Le jouet et ses usages sociaux >> JOUET SEXISTE LES JETS SONY PACITIES, I PERPÉTUENT LES NEGALITES DE NOTRE SOORTETONATIONS PAS NOS ENFANTS, LAISSONS-LES Une différenciation que dénoncent certaines associations L'importance des jouets dans la construction de l'égalité entre les filles et les garçons un sujet jugé suffisamment digne d'intérêt pour susciter, fin 2014, un rapport sénatoriale SÉNAT Elle prévoit notamment la mise en place d'un « Collège pour tous >> Ouvre à la mixité dans les écoles UN SITE AU SERVICE DES CITOYENS Très documenté ce rapport insiste, entre autres,sur les enjeux consuméristes de cette sexualisation des produits ludiques Et le rôle de l'école ? La loi Haby, qui doit son nom au ministre français de l'Éducation nationale René Haby, est une loi française du 11 juillet 1975. Selon la chercheuse Céline Pétrovic, les garçons sont plus souvent et plus longuement interrogés que les filles et c'est particulièrement vrai en mathématiques. Les garçons sont plus souvent amenés à approfondir la réflexion, alors que les filles sont sollicitées pour les rappels de connaissance. Elles subissent plus de remarques que les garçons si le travail rendu n'est pas soigné. Il a été observé que dans la classe, au quotidien, les tâches réalisées par les enfants sont souvent conformes aux stéréotypes: nettoyage et rangement pour les filles, déplacements et affaires techniques pour les garçons. Enfin, on note que les manuels scolaires et les albums de littérature de jeunesse contiennent plus de figures masculines valorisées que féminines. Céline Petrovic, docteure en Sciences de l'Éducation, chargée de séminaire pour la formation des enseignants es Genre et éducation », H.E.P. de Lausanne (Suisse) [email protected] Carrefours réducation de PETROVIC Céline. (2004) - Filles et garçons en éducation: les recherches récentes », Carrefours de l'éducation partie 1 n°17, pp 76-101, partie 2 nº 18, pp 145-175. Il est observé dans les cours de récréation une occupation de l'espace plus importante par les garçons. Concemant les activités sportives, les sports dits << masculins » sont davantage pratiqués à l'école que les sports dits << féminins »>. 3. Durant la socialisation secondaire La nouvelle génération dans les pas des précédentes exemple: 1/ génération 15 à 24 ans: quand les hommes ne consacre qu'une heure au tache ménagère, les femmes quand à elle accorde 1h 44 à ces taches soit un quart d'heure en plus tous les jours. génération 30-54 ans: les hommes consacre 2h 19 et les femmes d'autre part y consacre 2X plus de temps soit 4h11 par jour. Ce cas de figure peut s'apercevoir dans les carrières pro également on retrouve des métiers plus féminisés: métiers du soin (assistantes maternelles, infirmières, secrétaires XX des métiers dit à tort "d'homme": métiers du bâtiments, ingénieurs, toutefois certains métiers sont dis paritaires: il y a autant d'homme que de femme (artisans, commerçants..)