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terminale SES - la croissance économique

07/12/2021

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SES – quelles sont les sources et les défis de la croissance économique ?
Iº la croissance économique, de quoi parle t on ?
Croissance écono
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SES – quelles sont les sources et les défis de la croissance économique ? Iº la croissance économique, de quoi parle t on ? Croissance économique: variation sur longue durée de la production de biens et services produits dans un pays, mesurée par l'accroissement du PIB réel, à prix constant. → c'est un phénomène de long terme il faut donc mesurer la variation du PIB sur une longue période pour en déduire le rythme annuel. C'est le rôle du TCAM (taux de croissance annuel moyen). → c'est un phénomène récent : - jusqu'au 18° siècle, stagne à 0,2% - au 19e siècle, croissance exponentielle (grâce aux révolutions industrielles) → capitalisme industriel - 20e siècle : 30 glorieuses, progrès technique... le TCAM atteint presque 4%. - 21e siècle : redescendu à 1,5% Valeur ajoutée : supplément de richesses crées par les agents économiques à partir des consommations intermédiaires combinées aux facteurs de productions, travail et capital. Valeur ajoutée marchande Production vendue sur le marché à un prix supérieur au coût de production par des entreprises privées et évaluée au prix du marché. PIB: Somme des valeurs ajoutées crées par les agents économiques résidents sur le territoire en une année (production totale des biens et richesses d'un pays). RNV = DNV = PIB → PIB en valeur dit PIB nominal exprimé en euro courants (prends compte de l'inflation) → mesure la...

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variation de la valeur monétaire du PIB d'une année sur l'autre peut augmenter du seul fait Valeur ajoutée non-marchande Production fournie gratuitement (ou quasi gratuitement) à la collectivité par les administrations publiques et évaluée à 50 % des coûts de production. de l'augmentation des prix PIB en volume dit PIB réel ou déflaté exprimé en euro constants (corrigé de l'inflation) → mesure les quantités réellement produites plus interessant pour les économistes PIB vert: PIB - coût des externalités négatives Certaines choses ne sont pas prises en compte dans le PIB: - le domestique, le bénévolat - les commerces illégaux (uniquement une estimation) - utilité sociale - les externalités négatives (conséquences négatives de la production de richesse qui ne font pas l'objet d'une transaction financière ou d'un accord préalable) expansion : accélération du rythme de la croissance, qui se traduit par une hausse du taux de croissance. Cela signifie que la production augmente de + en + vite. Ralentissement : désigne un rythme de croissance qui décélère, c'est à dire que la production continue d'augmenter mais de - en -vite. Récession : se définit par une contraction de la production d'un pays pendant au moins 2 trimestres consécutifs, autrement dit le recul temporaire de l'activité économique d'un pays. Le taux de croissance est négatif et la production recule. Dépression : baisse durable de la production sur longue période, c'est à dire une croissance économique négative durant plusieurs périodes, agrémentée d'une déflation (baisse des prix et hausse du chômage) → phénomène très rare II° d'où vient la croissance économique ? Deux principaux facteurs : augmentation de la population active et augmentation du stock de capital Pour produire, les entreprises utilisent : - des facteurs de productions : ensemble des ressources utilisées dans le processus de production. - des facteurs travail : facteur mesuré par les effectifs de salariés ou par la durée de temps de travail. Les deux ajoutés forment le facteur capital : ensemble des biens et services utilisés durablement dans le processus de production. Pour augmenter la quantité de facteur travail, il faut impulser la croissance démographique politique nataliste. On peut aussi augmenter la durée du temps de travail, ou le taux d'emplois (rapport entre la population active et la population en age de travailler). Pour augmenter la quantité de facteur capital, il faut investir. Croissance extensive : accroissement de la production qui résulte de l'augmentation de la quantité des facteurs de productions utilisés. Croissance intensive : croissance qui ne résulte pas de la hausse des facteurs mais qui provient d'une meilleure efficacité de ces facteurs, favorisant les gains de productivités. Accroissement de la population Augmentation du taux d'emplo Augmentation de la durée du travail Augmentation des facteurs de productions mises en oeuvre Augmentation du facteur L Augmentation de la quantité de biens et services produits = Augmentation du facteur K) (Augmentation du PIB = Croissance économique extensive Investissement loi des rendements décroissants : loi économique selon laquelle l'augmentation des facteurs de productions entrainent à terme (ou à partir d'un certains seuil) un rendement supplémentaire moindre. Fordisme : nouvelle méthode de production et d'innovation qui ont favorisé la productivité et la croissance intensive ces 2 derniers siècles. PGF productivité globale des facteurs. Indicateurs mesurant le progrès technique et le gain en efficacité dans l'utilisation des ressources d'une économie. On l'appelle le résidu. (résidu = taux de croissance (K+L)). D'autres facteurs contribuent à la PGF en plus du progrès technique : - l'éducation - l'âge du capital - les gains de spécialisation - le niveau de confiance réciproque (rétribution financière et reconnaissance sociale : choses importantes pour le lien de confiance et le respect mutuel entre l'employé et l'employeur. Confiance productivité plus importante) Les effets de la PGF dont difficiles à isoler et mesurer. C'est pourquoi M Abramowitz qualifie la PGF comme «< mesure de notre ignorance >>. Capital humain: ensemble des connaissances qui augmentent la productivité de l'entreprise. Il est développé grâce à l'éducation l'âge du capital. L'âge du capital permet d'avoir des machines plus récentes, donc plus performantes. Gain de productivité : accroissement de l'efficacité des facteurs de production. Les facteurs deviennent efficaces mais à moindre coûts. Gain de productivité = quantité produite/quantité de facteur de production. Gains de productions (accroissement des facteurs de production) hausse des profits hausse de l'investissement hausse des salaires hausse des recettes de l'État hausse du pouvoir d'achat hausse de la consommation Hausse de la demande globale baisse des prix augmentation de la production hausse de la compétitivité hausse des exportations Demande globale: ensemble des biens et services achetés par l'ensemble des agents économiques. Elle est égale à la consommation finale + l'investissement + la variation de stock + la demande des administrations publiques + (l'exportation - l'importation) Ce qui donne: DG = CF + FBCF + S + G + (X-M) Schéma de synthèse : Augmentation de la quantité de travail + Augmentation de la quantité de capital + Augmentation de la PGF Augmentation du PIB Croissance économique III° la croissance économique est favorisé par le progrès technique et les institutions Robert Solow: premier économiste à avoir identifier mathématiquement une origine non extensive de la croissance économique et à lui avoir donné le nom de progrès technique. Dans d'autres termes : économiste américain pour qui la croissance économique aurait pour origine, à long terme, un phénomène non expliqué par la science économique. Recherche fondamentale: expérimentation / théorie entreprise en vue de produire de nouvelles connaissances scientifiques. Invention: lorsque l'on met tout en œuvre pour la production de connaissances nouvelles. Innovation application industrielle et commerciale d'une invention. le progrès technique : se définit comme l'ensemble des innovations qui permettent d'améliorer l'efficacité du système productif et donc d'accroitre la productivité. Typologie de Joseph Shumpeter : l'économie capitaliste est caractérisée par la nécessité d'innover pour les entreprises, afin de dégager un profit temporaire lié au monopole d'exploitation de l'innovation. Il distingue 5 types d'innovations (les deux premières sont les principales): - les innovations de produit: concernent les nouveaux biens et services à disposition des consommateurs, accroissant la diversité et la qualité des produits (Exemple: smartphone). - les innovations de procédé : sont les nouveaux moyens de productions accroissant la productivité (Exemple: ordinateurs +performants) exemple de robotisation - les innovations organisationnelles : nouvelles organisations du travail (Exemple : fordisme, théorisme...). - les innovations input : nouvelles sources de matières premières et d'énergies (Exemples: pétrole, uranium...) - les innovations de marchés : développement de nouveaux marchés offrant de nouveaux débouchés. On peut distinguer 3 autres types d'innovations moindres : - les innovations commerciales: internet, ubérisation... - les innovations radicales: gros procédé disruptif - les innovations incrementales (mineures) : améliorer un procédé déjà existant économie d'échelle : baisse du cout unitaire de production à mesure que le volume de production augmente. Couts variables: cout qui varie en fonction des quantités produites (/= consommation intermédiaire) couts fixes : cout qui ne varie pas (ex : salaire ou bail) Les entreprises innovent pour échapper à la concurrence et par là, dégager une rente d'innovation et avoir un monopole temporaire pour fixer un prix de vente plus élevé que si elle était en concurrence. → la course à la rente est le moteur du progrès technique, le profit est la récompense de l'innovation. Les innovations proviennent donc de découvertes et d'inventions scientifique, industrielles ou commerciales. Une fois qu'elles ont été adaptées aux contraintes du secteur économique concerné, elles y sont introduites par le biais d'investissements (appelés technologiques) dont l'effet sur la croissance est démultiplié et plus que proportionnel à la quantité de capital supplémentaire introduit (par exemple, une quantité de capital multiplié par deux entraine une multiplication par trois de la production, permettant de mettre en lumière l'effet du progrès technique). Innovation de procédé de produit Gain de productivité Hausse des Profits Hausse des salaires Baisse des prix hausse de l'investissement hausse de l'offre Croissance hausse de la demande Progrès technique exogène ? Exogène : du au hasard Pour certains économistes, comme Robert Solow, le progrès technique semble « tomber du ciel comme une manne », c'est à dire qu'il n'y a pas d'explication, c'est un progrès technique autonome. Ces économistes désignaient alors ce progrès technique comme l'élément exogène explicatif de la croissance, c'est à dire dont l'origine se situe en dehors du champ économique. Progrès technique endogène ? Croissance endogène : théorie selon laquelle la croissance apparaît comme un processus auto- entretenue, sous l'effet de l'accumulation du capital sous ses différentes formes. Dans les années 80, des économistes tentent de résoudre les insuffisances du traitement du progrès technique. Le progrès technique ne tombe pas du ciel : il est réintégré au coeur de la croissance économique par différents mécanismes. Facteurs d'endogénéité : -rendements croissants grâce aux économies d'échelle (cout unitaire baisse lorsque la production augmente) -externalités positives (éducations, inventions, innovations mises gratuitement à disposition de tous) -effets d'apprentissage (apprendre en faisant pour que les travailleurs soient plus expérimentés donc plus productifs - renouvellement du capital fixe (investissement dans des machines plus performantes) - interventions de l'État (investit dans les domaines délaissés comme la recherche fondamentale ou les infrastructures) Plusieurs capitaux sont mis en place pour l'endogénéité et l'auto entretien de la croissance économique : - capital physique (dit capital fixe): ensemble des biens de productions (machines, bâtiments, outils...) → investissement pour machine plus performantes et effet d'apprentissage sur les travailleurs (investissement privé ou publique) - capital humain: ensemble des savoirs faire et compétences d'une population, en lien avec le niveau de formation ainsi que l'État de santé d'une population → si population éduquée et en bonne santé : efficace pour produire et innover (dépenses en éducation/formation) - capital technologique : ensemble de connaissances techniques de productions → nouveaux procédés de construction réduisent les couts et les nouveaux produits étendent la taille du marché. (dépenses en recherche et développement) - capital publique : ensembles des infrastructures (routes, ponts...) avancés par la puissance publique (dépenses publiques) Interêt des cluster (regroupement géographique d'entreprises, d'universités,... tournées vers le même secteur d'activité et de recherche) : émulation technologique, diffusion des connaissances donc caractères cumulatif. Le rôle des institutions dans la croissance promesse, serment ou réputation à tenir → pas suffisant pour permettre les échanges car ils peuvent être rompus à tout moments (contrôle informel : respect des normes) Maintenants les agents économiques ont besoin de contrats formel par les institutions. Institutions : contraintes humaines qui structurent les interactions politiques, économiques et sociales. Dans d'autres termes, les institutions sont l'ensemble des règles qui régissent les interactions humaines. Quatre types d'institutions indispensables à la croissance économiques : - institutions de réglementation de marchés : institution qui réglemente, les marchés, en particulier pour que la concurrence puisse s'exercer, et pour limiter les externalités négatives. Elles régissent l'autorité de la concurrence. -institutions de stabilisation des marchés : institutions qui limitent l'inflation, les déséquilibres macroéconomiques et évitent les crises financières. Elles régissent la banque centrale et la monnaie. - les institutions de légitimation des marchés : institutions qui légitiment les résultats de l'activité économique, en fournissant une protection sociale et en redistribuant les richesses. Elles régissent la sécurité sociale et les impôts sur le bénéfice. -les institutions créatrices de marchés : jouent le rôle le plus important. Elles protègent les droits de propriétés permettant l'exécution des contrats. Droits de propriété : capacité qu'ont les individus d'exercer une autorité sur les ressources qu'ils possèdent. Ils sont consubstantiels à l'économie de marché (au capitalisme). Parmi ces titres de propriétés, on retrouvent les brevets : titres de propriété industriels portant sur des inventions ou des innovations, donnant un droit exclusif de production ou de commercialisation sur une période généralement de 20 ans. Ces dernières années, on remarque des effets pervers au système des brevets : les patent trolls (certaines entreprise américaines ne produisent rien mais se contentent d'acheter des brevets et de faire payer leurs utilisation) Rôle des institutions : déterminant dans la croissance. Cadre réglementaire est nécessaire pour la sécurité des contrats, sans quoi les agents économiques ne sont pas incités à produire, innover ou échanger. Pas d'institutions = le marché ne peux pas fonctionner ou très mal car les entreprises ne peuvent pas réaliser de profits. IV° les défis de la croissance économique rappel : le progrès technique : se définit comme l'ensemble des innovations qui permettent d'améliorer l'efficacité du système productif et donc d'accroitre la productivité. C'est une croissance économique à la fois destructrice et créatrice entrainant la dynamique du capitalisme. Pour Shumpeter, un cycle économique dure 50 ans (25 ans d'expansion suite à l'introduction d'une innovation technologique puis 25 ans de récession). Le progrès technique crée les impulsions du capitalisme, il joue un rôle essentiel dans cette dynamique. L'innovation est à l'origine de la phase d'expansion : développement de nouveaux secteurs d'activité. Lorsque les innovations sont diffusées à l'ensemble de la pouplation, on entame la phase de récession. Expansion = production, des prix, des profits. C'est une phase créative d'emploi ? Récession des prix, des profits. Destruction créatrice : processus d'apparition des innovations qui entrainent le développement de nouveaux secteurs d'activités, et donc la disparition de secteurs devenus obsolettes. Il va se créer un décalage au niveau des compétences entre les nouvelles requises des nouveaux secteurs d'activités innovants et ceux des secteurs en déclins chômage technologique et inemployabilité des travailleurs non-qualifiés. Période phase de création/ destruction innovations majeures grappes d'innovations 1790 1814 1848 1872 1893 1917 1940 1974 1992 2020? 2050? machine à sidérurgie vapeur textile ✓ chemin de fer électricité électronique informatique génétique et pétrole téléphone voiture aviation télévision internet électroménager jeux video robotisation logiciels intelligence- artificielle le progrès technique et la polarisation de l'emploi Polarisation de l'emploi (pôles) entre les travailleurs qualifiés et les moins qualifiés (→ inegalité des revenus). Progrès technique biaisé (reflète que le changement technologique favorise l'embauche d'actifs qualifiés et réduit les emplois dans les secteurs en déclins du fait du remplacement de ces travailleurs par les machines => substitution du facteur K au facteur L. Hausse du taux de chômage des moins qualifiés (exclus du progrès), baisse des saliares relatif par rapport aux travailleurs qualifiés. Au final progrès technique demande de travail qualifié, des salaires, baisse de la demande e travail peu qualifié. Les emplois menacés par la robotisation : emplois routiniers (taches relativement simples pouvant être remplacé par les machines). On observe une baisse de la qualité des services. L'Etat doit mettre ne place des politiques de formations continues pour pallier à cela. PCS: professions et catégories sociaux-professionnelles. Regroupe l'ensemble des actifs et non actifs français dans des catégories dont les membres présentent une certaine homogénéité sociale. → les changements concernants les PCS ont ete induits par le progrès technique. Le défi de la soutenabilité de la croissance économique face aux enjeux écologiques Réchauffement climatique : accroissement anormal et trop rapide de la température à la surface de la terre. Après la révolution industrielle : +0,8°C. La croissance contribue au réchauffement climatique à cause de l'activité industrielle qui entraine l'émission de gaz à effet de serre lié à l'utilisation des énergies fossiles. Les émissions polluantes liées à l'agriculture sont l'origine du réchauffement climatique. Capital naturel : regroupe l'ensemble des ressources naturelles utiles directement aux hommes ou qu'il peut exploiter techniquement et économiquement. Ces ressources ne sont en général pas produites par l'homme mais il peut les consommer ou es exploiter. (ex : poissons, forets, petrole, air, eau...). Activité économique = effets néfastes = externalités négatives augmentation des catastrophes naturelles (sécheresse, inondations...) = baisse des rendements agricoles baisse du PIB. 2 types de ressources : ressources non renouvelables (quantité limitées, tel que le pétrole, le charbon ou le gaz) et ressources renouvelables (quantité illimitées si bien utilisées, telles que l'eau, les terres cultivables, les végétaux...) Les ressources renouvelables s'épuisent sous le fait d'une consommation excessive. Moins il y en a → plus c'est rare. Plus c'est rare → plus c'est cher. Plus c'est cher moins de demande. L'épuisement des ressources renouvelables s'expliquent par la théorie des biens communs. Bien publics : routes, éclairages, pont,... infrastructures d'État. C'est un bien non-rival : l’utilisation de ce bien par qqn d'autre n'empêche pas les autres d'en bénéficier. Biens communs : bien public mais rival. C'est a dire que l'utilisation de ces biens empêche les autres de pouvoir le faire (ex: pêche). Empreinte écologique : superficie nécessaire pour fournir à un individu les ressources dont il a besoin et absorber ses déchets. Biocapacité: capacité d'absorption et de production de l'activité humaine. Passager clandestin : bénéficier des avantages sans en supporter le cout.