Les gènes autosomaux sont situés sur un chromosome autre que le sexuel, tandis que les gènes gonosomaux sont situés sur un chromosome sexuel. Les clones cellulaires représentent l'ensemble des cellules issues des mitoses successives d'une cellule initiale. Ils remplissent différentes fonctions telles que la reproduction asexuée (comme la pomme de terre), le renouvellement tissulaire (comme l'épithélium intestinal) et la défense immunitaire (comme les plasmocytes).
La diversité génétique des clones résulte de mutations qui peuvent être transmises si elles touchent la lignée germinale. Ces mutations peuvent ne pas avoir d'effet, être silencieuses, avoir un effet négatif ou aboutir à l'apparition de nouveaux caractères. Par exemple, une mutation dans la séquence régulatrice du gène TERT peut provoquer son expression, entraînant le raccourcissement des télomères et la diminution de l'espérance de vie des cellules.
Les lois de Mendel, basées sur ses expériences sur les pois, décrivent la transmission des caractères héréditaires. Les hybrides F1 possèdent une seule forme du caractère étudié, selon la loi d'uniformité des hybrides, tandis que l'autre forme apparaît en F2, révélant des caractères récessifs ou dominants. De plus, les anomalies de la méiose, telles que les crossings-over inégaux, peuvent entraîner des monosomies, des trisomies et des familles multigéniques.
La stabilité génétique et l'évolution clonale dépendent des caractéristiques génétiques d'un clone à l'échelle cellulaire. Les mécanismes de diversification génétique du vivant comprennent les transferts génétiques verticaux et horizontaux. Les transferts horizontaux peuvent se faire par transformation, transduction ou conjugaison, entraînant des conséquences telles que l'antibiorésistance.
Les phénotypes étendus, qui sont l'ensemble des caractères d'un individu résultant de l'expression de son génome, peuvent également être influencés par des mécanismes de diversification non génétique. Par exemple, l'évolution culturelle peut influencer l'évolution biologique en limitant les contacts entre individus, entraînant ainsi un isolement génétique et une spéciation.
L'origine de la diversité génétique des individus peut être attribuée à différents mécanismes de diversification. Les transferts génétiques horizontaux, tels que la transformation, la transduction et la conjugaison, contribuent à la diversité du vivant en permettant l'échange de matériel génétique entre les organismes.
De plus, la symbiose et l'endosymbiose, qui sont des associations entre différents organismes avec des échanges mutuels, ainsi que la transgénèse, qui consiste à intégrer dans le génome d'un organisme un gène d'une autre espèce, contribuent à la diversification génétique du vivant.
En plus des mécanismes de diversification génétique, le vivant peut également subir des mécanismes de diversification non génétique, tels que le recrutement dans le cadre d'associations pathogènes ou symbiotiques, ainsi que le recrutement de composants du milieu. Ces mécanismes peuvent entraîner des évolutions culturelles qui influencent l'évolution biologique, conduisant à la formation de nouvelles espèces.
Ces différentes mécanismes jouent un rôle crucial dans la diversification du vivant, contribuant à la complexification des génomes et à la formation de nouvelles caractéristiques au fil des générations.