Français /

carnet du lecteur les caractères

carnet du lecteur les caractères

 Qui est Jean de la Bruyère ?
La bruyère est un écrivain et moraliste français
du XVII e siècle faisant partie du classicisme.
Il est né à p

carnet du lecteur les caractères

A

Ambre Saint maxent

28 Followers

141

Partager

Enregistrer

carnet du lecteur la bruyere les caractères

 

1ère

Fiche de révision

Qui est Jean de la Bruyère ? La bruyère est un écrivain et moraliste français du XVII e siècle faisant partie du classicisme. Il est né à paris le 16 août 1645 et a vécu à la cour de France à l'époque du règne de Louis XIV et à la maison de condé, il connaît donc très bien les comportements de la haute société française à cette époque-là. La bruyère s'inspire de l'œuvre de theophraste et publie son premier livre en 1688 qui a pour but de plaire et d'instruire (placere et docere) puis il va faire une réécriture de son livre en rajoutant des caractères jusqu'à ses 50 ans, l'année de sa mort à Versailles le 11 mai 1696. Les caractères sont donc pour la bruyère l'œuvre de toute une vie. Livre V De la société et de la conversation ~ Caractère : « un caractère bien fade est celui de n'en avoir aucun » Dans ce premier caractère du livre V la Bruyère fait comprendre que il faut savoir assumer sa personnalité, c'est une contradiction car il s'apprête à critiquer tout types de caractères Dans les caractères 2,3,4 et 5 la Bruyère donne une définition de l'homme honnête au XVIIe siècle. Il explique que l'homme honnête doit briller et plaire en société, être agréable et fuir la démesure...

Rien ne te convient ? Explore d'autres matières.

Apprendre avec plaisir grâce à nous

Apprends avec plus de 500.000 notes d’étude des meilleurs élèves !
Apprends ensemble avec d'autres élèves et aidez-vous mutuellement.
Obtiens de meilleures notes sans trop d'efforts !

Télécharger l'application

Légende alternative :

et l'étalage de soi. La Bruyère critique la société en inventant des personnages pour ne pas donner de nom car cela pourrais déplaire à la société comme par exemple dans le caractère 7 avec un personnage qui se nomme Acis. Celui ci est un précieux (groupe de personne à la cour de louis XIV au XVIIe siècle utilisant beaucoup de périphrases pour paraître plus intelligent). Acis essaye de se donner un aire intelligent en faisant de grandes phrases pour ne rien dire. Il finit par lui conseiller à la fin du caractère de parler simplement pour ne pas paraître aussi bête qu'il ne l'est. Il crée d'autre personnage comme Arrias dans le caractère 9 qui prétend tout savoir ou bien Troile dans le caractère 13 ou même Cléante dans le caractère 43 par exemple qui est très honnête homme. Caractère 18: « C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe? de toute impertinence. » Dans ce caractère la Bruyère veut faire comprendre que l'homme honnête selon lui doit savoir juger quand parler et quand se taire afin de ne pas impertiner. Caractère 48: « Il est souvent plus court et plus utile de cadrer aux autres, que de faire que les autres s'ajustent à nous. » Dans ce caractère la Bruyère explique qu'il est plus simple d'adapter notre comportement, caractère à celui des autres plutôt que d'attendre à ce que les autres s'adaptent à nous. Caractère 60: « Le dédain et le regorgement dans la société attirent précisé- ment le contraire de ce que l'on cherche, si c'est à se faire estimer. » Ce caractère montre que si on est dédaigneux et rengorgé en société, même si l'ont pense que ça nous aideras à nous faire estimer c'est le contraire et justement on nous estimeras encore moins. Caractère 58: « Vous le croyez votre dupe ; s'il feint de l'être, qui est plus dupe de lui ou de vous? >> Selon moi ce caractère veut dire que si on essaye de profiter de quelqu'un parce qu'on le croit naïf, il est possible que ce soit vous le plus naïf en pensant qu'il l'est réellement Caractère 62: « L'on ne peut aller loin dans l'amitié, si l'on n'est pas disposé à se pardonner les uns aux autres les petits défauts. » Ce caractère dit que si l'ont veut avoir de vrais amitiés et pas seulement de simple connaissance futile il faut être prêt à accepter certains petits défauts de l'autre sinon l'amitié n'ira pas loin. Livre VI Des Biens de Fortune Le livre VI contient 83 caractères. Caractère : « Un homme fort riche peut manger des entremets, faire peindre ses lambris et ses alcôves, jouir d'un palais à la campagne, et d'un autre à la ville, avoir un grand équipage, mettre un duc dans sa famille, et faire de son fils un grand seigneur; cela est juste de son ressort: mais il appartient peut-être à d'autres de vivre contents. » Je trouve ce caractères très fort car la Bruyère explique que même si on est le plus riche, que l'ont peut avoir plusieurs maison, que l'ont peut manger des choses cher ou bien avoir un duc dans sa famille et pouvoir faire de son fils quelqu'un de haut placé cela ne veut pas dire pour autant qu'on vivra aussi heureux qu'une autre personne qui elle n'a pas les moyens de ce permettre autant de luxe. Caractère 3: « À mesure que la faveur et les grands biens se retirent d'un homme, ils laissent voir en lui le ridicule qu'ils couvraient, et qui y était sans que personne s'en aperçût. » Ce caractère montre que quand on a beaucoup d'argent et de bien on est idéalisé par les gens autour mais que quand on perd ses biens et son argent la société se rend vite compte que ce qui fait une personne n'ai pas ses biens mais son caractères et que souvent on idéalise des personnes pour cela alors qu'ils sont des personnes comme les autres voir même souvent ridicules car ils se croient au dessus grâce à leur biens. Caractère 37: « À force de faire de nouveaux contrats, ou de sentir son argent grossir dans ses coffres, on se croit enfin une bonne tête, et presque capable de gouverner. » La Bruyère veut dire que lorsque l'ont commence à avoir beaucoup d'argent on se sent capable de beaucoup de chose juste parce que l'ont est riche alors que notre capacité à faire des choses n'a pas augmenter juste parce que notre argent lui a augmenter Caractère 52: « Il n'y a au monde que deux manières de s'élever, ou par sa propre industrie, ou par l'imbécillité des autres. » Dans ce caractère il explique que pour s'élever dans la société on peut le faire soit par notre propre activité soit en profitant de l'imbécilité des autres pour qu'il nous idéalise et que l'on puisse s'élever. Caractère 65: « L'avare dépense plus mort en un seul jour, qu'il ne faisait vivant en dix années; et son héritier plus en dix mois, qu'il n'a su faire lui-même en toute sa vie. » Selon moi ce caractère veut dire que même si l'ont est avare notre argent finira forcément par être dépenser alors il vaut mieux en profiter tant que l'ont peut plutôt que de se priver et de laisser quelqu'un d'autre l'utiliser sans même réfléchir. Dans ce livre on retrouve de nouveaux personnages comme par exemple Cléarque au caractère 63 qui est un noble sans héritier et qui peut donc utiliser toute sa fortune ou même Zénobie qui est veuve car son mari le roi est mort et bien d'autre Livre VII De la Ville Caractère 2: « Tout le monde connaît cette longue levée qui borne et qui resserre le lit de la Seine, du côté où elle entre à Paris avec la Marne qu'elle vient de recevoir; les hommes s'y baignent au pied pendant les chaleurs de la canicule, on les voit de fort près se jeter dans l'eau, on les en voit sortir, c'est un amusement: quand cette saison n'est pas venue, les femmes de la ville ne s'y promènent pas encore; et quand elle est passée, elles ne s'y promènent plus. » Dans ce caractère, la Bruyère insinue que les femme de la ville ne se promène à cette endroit seulement au période où les hommes s'y baignent. Caractère 8: « Un homme de robe à la Ville, et le même à la Cour, ce sont deux hommes; revenu chez soi il reprend ses mœurs, sa taille et son visage qu'il y avait laissés; il n'est plus ni si embarrassé, ni si honnête. » Ce caractère démontre que la cour a pour effet de changer le comportement des gens comparer a celui qu'ils ont à l'extérieur car à la cour tout le monde est jugé alors on fait attention à son image. Caractère 17: « La subtile invention de faire de magnifiques présents de noces qui ne coûtent rien, et qui doivent être rendus en espèce. » Je ne suis pas sûr d'avoir réellement compris le sens de ce caractère mais selon moi il veut dire que si l'on fait un présent à quelqu'un cette personne doit absolument donner en retour, ce qui au final n'est plus vraiment un cadeau. Livre VIII De la Cour Caractère 6: «La province est l'endroit d'où la Cour, comme dans son point de vue, parait une chose admirable; si l'on s'en approche, ses agréments diminuent comme ceux d'une perspective que l'on voit de trop près. » Ce caractère démontre que la cour est très idéalise par la province alors que une fois vu de près on se rend compte qu'elle est loin d'être idéal. Caractère 34: « L'on voit des hommes tomber d'une haute fortune par les mêmes défauts qui les y avaient fait monter. » Ce caractère prouve que la fortune n'est pas définitive et que même au sommet on peut redescendre par les mêmes défauts qui nous avait fait monter au sommet. Caractère 47: « Mille gens à la Cour y traînent leur vie à embrasser, serrer et congratuler ceux qui reçoivent, jusqu'à ce qu'ils y meurent sans rien avoir. » Dans ce caractère la Bruyere montre que même si l'ont passe son temps à être être gentils et féliciter les autres cela ne veut pas dire que l'ont sera félicité à son tour pour nos exploit. Caractère 55: « Jeunesse du Prince, source des belles fortunes. » Selon moi la bruyère fait comprendre que la jeunesse du prince ne peut être que source de belles fortunes car il est prince et commence déjà en haut de la société Caractère 67: « Un noble, s'il vit chez lui dans sa province, il vit libre, mais sans appui; s'il vit à la Cour, il est protégé, mais il est esclave; cela se compense. » D'après moi, ce caractère veut dire que si un noble vit chez lui il n'est l'esclave de personne car il est propriétaire mais une fois à la cour il n'est plus propriétaire et doit céder au moindre caprice du roi car c'est grâce à lui qu'il est noble et qu'il a des terres Caractère 77: « Que manque-t-il de nos jours à la jeunesse? elle peut et elle sait; ou du moins quand elle saurait autant qu'elle peut, elle ne serait pas plus décisive » La Bruyère dit que même si la jeunesse sait énormément de chose elle ne saurait quand même pas assez pour pouvoir prendre de bonnes décisions Caractère 91: « Un homme qui a vécu dans l'intrigue un certain temps, ne peu plus s'en passer; toute autre vie pour lui est languissante. » Il explique qu'un homme qui a pris pour habitude vivre dans l'intrigue ne peut plus désengorger passer car il ne trouveras pas sa vie assez intéressante sans l'intrigue Caractère 97: « La faveur met l'homme au-dessus de ses égaux; et sa chute, au- dessous. » Ce caractère fait une contradiction car on ne peut pas être au dessus de personnes qui sont égales à nous sinon l'ont serait pas égales à elles Livre IX Des Grands Caractère : « La prévention du peuple en faveur des Grands est si aveugle, et l'entêtement pour leur geste, leur visage, leur ton de voix et leurs manières si général; que s'ils s'avisaient d'être bons, cela irait à l'idolâtrie. » Ce caractère montre que les Grands sont mauvais et son déjà très apprécier par le peuple alors si ils étaient bons il seraient idolâtrer par le peuple. Caractère 9: « Il est souvent plus utile de quitter les Grands que de s'en plaindre. » Ce caractère dit que si l'on est pas capable de supporter les Grands alors il vaut mieux les quitter plutôt que de s'en plaindre sûrement car il y aurait des répercutions et des ragots à la cour. Caractère 10: « Qui peut dire pourquoi quelques-uns ont le gros lot, ou quelques autres la faveur des Grands? » Je comprends ce caractère comme si avoir la faveur des Grand n'est finalement peut être pas une très bonne choses. Caractère 12: « Les Grands dédaignent les gens d'esprit qui n'ont que de l'esprit; les gens d'esprit méprisent les grands qui n'ont que de la grandeur: les gens de bien plaignent les uns et les autres, qui ont ou de la grandeur ou de l'esprit, sans nulle vertu. » J'interprète ce caractère comme si tout le monde méprisait tout le monde a la cour car si vous étiez quelqu'un avec Caractère 16: « Une froideur ou une incivilité qui vient de ceux qui sont au-dessus de nous, nous les fait haïr; mais un salut ou un sourire nous les réconcilie. » Ce caractère dit que les Grands se font haïr par leur mauvais comportement ou autre mais se font rapidement pardonner avec un simple action des plus banales. Caractère 36: « Tu es Grand, tu es puissant, ce n'est pas assez; fais que je t'estime, afin que je sois triste d'être déchu de tes bonnes grâces, ou de n'avoir pu les acquérir. » Ce caractère montre que les Grands doivent se faire estimer et être puissant sinon les autres ne le prendrons pas vraiment au sérieux et se ficherons d'être dans ses bonnes grâces ou non. Caractère 38: « S'il est périlleux de tremper dans une affaire suspecte, il l'est encore davantage de s'y trouver complice d'un Grand; il s'en tire, et vous laisse payer doublement, pour lui et pour vous. » Ce caractère démontre que les Grands quoi qu'il fassent ils s'en sortirons presque toujours, du moins toujours mieux que vous alors il ne vaut mieux pas se trouver complice d'eux car il n'hésiterons sûrement pas à vous trahir. Caractère 56: « L'on doit se faire sur les puissants; il y a presque toujours de la flatterie à en dire du bien; il y a du péril à en dire du mal pendants qu'ils vivent, et de la lâcheté quand ils sont morts. » Ce caractère dit que dans tout le cas il ne vaut mieux pas parler ses Grands car si l'on en dit du bien c'est pris comme de la flatterie mais si l'on en dit du mal c'est du péril mais une fois mort de la lâcheté de ne pas l'avoir dit quand ils étaient vivants Livre X Du Souverain ou de la République Caractère : « Quand l'on parcourt sans la prévention? de son pays toutes les formes de gouvernement, l'on ne sait à laquelle se tenir; il y a dans toutes le moins bon, et le moins mauvais. Ce qu'il y a de plus raisonnable et de plus sûr, c'est d'estimer celle où l'on est né la meilleure de toutes, et de s'y soumettre. » Il dit que là meilleur solution pour savoir quelle gouvernement suivre c'est de suivre celui on l'on est né. Caractère 2: « Il ne faut ni art ni science pour exercer la tyrannie; et la politique qui ne consiste qu'à répandre le sang est fort bornée et de nul raffinement; elle inspire de tuer ceux dont la vie est un obstacle à notre ambition; un homme né cruel fait cela sans peine. C'est la manière la plus horrible et la plus grossière de se maintenir, ou de s'agrandir. » Il dit que certaine personne n'ont aucun problème à tuer ceux qui sont un obstacle a leur ambition qu'il soit intelligent ou non. Caractère 17: « Rien ne fait plus d'honneur au prince, que la modestie de son favori. » A cette époque le roi se sentais très honoré lorsque son favoris faisait preuve de modestie Caractère 26: « Tout prospère dans une monarchie, où l'on confond les intérêts de l'État avec ceux du prince. » Il ne faut pas confondre les lois et ordres du roi qui sont dans l’'intérêt de l'Etat avec ceux qui sont dans le seul intérêt du roi Mon avis sur ce livre La Bruyère -« Les Caractères >> Je n'ai pas vraiment aimé ce livre car le format de petits caractères et non de chapitre et d'un texte m'a déranger dans ma lecture car je trouve difficile de suivre avec ce type d'écriture. Je n'ai pas compris beaucoup de caractères ce qui m'a empêcher de vraiment comprendre ce livre et de pouvoir en faire une réel analyse et le fait qu'il n'y est pas vraiment une histoire à suivre mais plusieurs petites m'a compliqué un peu ma lecture.

Français /

carnet du lecteur les caractères

A

Ambre Saint maxent

28 Followers

 Qui est Jean de la Bruyère ?
La bruyère est un écrivain et moraliste français
du XVII e siècle faisant partie du classicisme.
Il est né à p

Ouvrir

carnet du lecteur la bruyere les caractères

Contenus similaires
Know La Bruyère (XIXe), Les Caractères (livres 5 à 10) | Parcours : la comédie sociale. thumbnail

0

45

La Bruyère (XIXe), Les Caractères (livres 5 à 10) | Parcours : la comédie sociale.

Révision

Know Les caractères La bruyère  thumbnail

168

2719

Les caractères La bruyère

tout pour la dissert sur les Caractères

Know Pamphile lecture linéaire oral  thumbnail

109

2332

Pamphile lecture linéaire oral

Lecture linéaire Pamphile La Bruyère Les Caractères (introduction, plan, conclusion)

Know La Bruyère (XIXe), Les Caractères (livres 5 à 10) | Parcours : la comédie sociale. thumbnail

39

972

La Bruyère (XIXe), Les Caractères (livres 5 à 10) | Parcours : la comédie sociale.

Fiche de lecture

Know Analyse linéaire La Bruyère, Les Caractères thumbnail

33

1478

Analyse linéaire La Bruyère, Les Caractères

Chapitre V « de la société et de la conversation »

Know De la cour 74, La Bruyère thumbnail

23

795

De la cour 74, La Bruyère

analyse

Qui est Jean de la Bruyère ? La bruyère est un écrivain et moraliste français du XVII e siècle faisant partie du classicisme. Il est né à paris le 16 août 1645 et a vécu à la cour de France à l'époque du règne de Louis XIV et à la maison de condé, il connaît donc très bien les comportements de la haute société française à cette époque-là. La bruyère s'inspire de l'œuvre de theophraste et publie son premier livre en 1688 qui a pour but de plaire et d'instruire (placere et docere) puis il va faire une réécriture de son livre en rajoutant des caractères jusqu'à ses 50 ans, l'année de sa mort à Versailles le 11 mai 1696. Les caractères sont donc pour la bruyère l'œuvre de toute une vie. Livre V De la société et de la conversation ~ Caractère : « un caractère bien fade est celui de n'en avoir aucun » Dans ce premier caractère du livre V la Bruyère fait comprendre que il faut savoir assumer sa personnalité, c'est une contradiction car il s'apprête à critiquer tout types de caractères Dans les caractères 2,3,4 et 5 la Bruyère donne une définition de l'homme honnête au XVIIe siècle. Il explique que l'homme honnête doit briller et plaire en société, être agréable et fuir la démesure...

Rien ne te convient ? Explore d'autres matières.

Apprendre avec plaisir grâce à nous

Apprends avec plus de 500.000 notes d’étude des meilleurs élèves !
Apprends ensemble avec d'autres élèves et aidez-vous mutuellement.
Obtiens de meilleures notes sans trop d'efforts !

Télécharger l'application

Knowunity

#savoirpourtous

Ouvrir l'appli

Légende alternative :

et l'étalage de soi. La Bruyère critique la société en inventant des personnages pour ne pas donner de nom car cela pourrais déplaire à la société comme par exemple dans le caractère 7 avec un personnage qui se nomme Acis. Celui ci est un précieux (groupe de personne à la cour de louis XIV au XVIIe siècle utilisant beaucoup de périphrases pour paraître plus intelligent). Acis essaye de se donner un aire intelligent en faisant de grandes phrases pour ne rien dire. Il finit par lui conseiller à la fin du caractère de parler simplement pour ne pas paraître aussi bête qu'il ne l'est. Il crée d'autre personnage comme Arrias dans le caractère 9 qui prétend tout savoir ou bien Troile dans le caractère 13 ou même Cléante dans le caractère 43 par exemple qui est très honnête homme. Caractère 18: « C'est une grande misère que de n'avoir pas assez d'esprit pour bien parler, ni assez de jugement pour se taire. Voilà le principe? de toute impertinence. » Dans ce caractère la Bruyère veut faire comprendre que l'homme honnête selon lui doit savoir juger quand parler et quand se taire afin de ne pas impertiner. Caractère 48: « Il est souvent plus court et plus utile de cadrer aux autres, que de faire que les autres s'ajustent à nous. » Dans ce caractère la Bruyère explique qu'il est plus simple d'adapter notre comportement, caractère à celui des autres plutôt que d'attendre à ce que les autres s'adaptent à nous. Caractère 60: « Le dédain et le regorgement dans la société attirent précisé- ment le contraire de ce que l'on cherche, si c'est à se faire estimer. » Ce caractère montre que si on est dédaigneux et rengorgé en société, même si l'ont pense que ça nous aideras à nous faire estimer c'est le contraire et justement on nous estimeras encore moins. Caractère 58: « Vous le croyez votre dupe ; s'il feint de l'être, qui est plus dupe de lui ou de vous? >> Selon moi ce caractère veut dire que si on essaye de profiter de quelqu'un parce qu'on le croit naïf, il est possible que ce soit vous le plus naïf en pensant qu'il l'est réellement Caractère 62: « L'on ne peut aller loin dans l'amitié, si l'on n'est pas disposé à se pardonner les uns aux autres les petits défauts. » Ce caractère dit que si l'ont veut avoir de vrais amitiés et pas seulement de simple connaissance futile il faut être prêt à accepter certains petits défauts de l'autre sinon l'amitié n'ira pas loin. Livre VI Des Biens de Fortune Le livre VI contient 83 caractères. Caractère : « Un homme fort riche peut manger des entremets, faire peindre ses lambris et ses alcôves, jouir d'un palais à la campagne, et d'un autre à la ville, avoir un grand équipage, mettre un duc dans sa famille, et faire de son fils un grand seigneur; cela est juste de son ressort: mais il appartient peut-être à d'autres de vivre contents. » Je trouve ce caractères très fort car la Bruyère explique que même si on est le plus riche, que l'ont peut avoir plusieurs maison, que l'ont peut manger des choses cher ou bien avoir un duc dans sa famille et pouvoir faire de son fils quelqu'un de haut placé cela ne veut pas dire pour autant qu'on vivra aussi heureux qu'une autre personne qui elle n'a pas les moyens de ce permettre autant de luxe. Caractère 3: « À mesure que la faveur et les grands biens se retirent d'un homme, ils laissent voir en lui le ridicule qu'ils couvraient, et qui y était sans que personne s'en aperçût. » Ce caractère montre que quand on a beaucoup d'argent et de bien on est idéalisé par les gens autour mais que quand on perd ses biens et son argent la société se rend vite compte que ce qui fait une personne n'ai pas ses biens mais son caractères et que souvent on idéalise des personnes pour cela alors qu'ils sont des personnes comme les autres voir même souvent ridicules car ils se croient au dessus grâce à leur biens. Caractère 37: « À force de faire de nouveaux contrats, ou de sentir son argent grossir dans ses coffres, on se croit enfin une bonne tête, et presque capable de gouverner. » La Bruyère veut dire que lorsque l'ont commence à avoir beaucoup d'argent on se sent capable de beaucoup de chose juste parce que l'ont est riche alors que notre capacité à faire des choses n'a pas augmenter juste parce que notre argent lui a augmenter Caractère 52: « Il n'y a au monde que deux manières de s'élever, ou par sa propre industrie, ou par l'imbécillité des autres. » Dans ce caractère il explique que pour s'élever dans la société on peut le faire soit par notre propre activité soit en profitant de l'imbécilité des autres pour qu'il nous idéalise et que l'on puisse s'élever. Caractère 65: « L'avare dépense plus mort en un seul jour, qu'il ne faisait vivant en dix années; et son héritier plus en dix mois, qu'il n'a su faire lui-même en toute sa vie. » Selon moi ce caractère veut dire que même si l'ont est avare notre argent finira forcément par être dépenser alors il vaut mieux en profiter tant que l'ont peut plutôt que de se priver et de laisser quelqu'un d'autre l'utiliser sans même réfléchir. Dans ce livre on retrouve de nouveaux personnages comme par exemple Cléarque au caractère 63 qui est un noble sans héritier et qui peut donc utiliser toute sa fortune ou même Zénobie qui est veuve car son mari le roi est mort et bien d'autre Livre VII De la Ville Caractère 2: « Tout le monde connaît cette longue levée qui borne et qui resserre le lit de la Seine, du côté où elle entre à Paris avec la Marne qu'elle vient de recevoir; les hommes s'y baignent au pied pendant les chaleurs de la canicule, on les voit de fort près se jeter dans l'eau, on les en voit sortir, c'est un amusement: quand cette saison n'est pas venue, les femmes de la ville ne s'y promènent pas encore; et quand elle est passée, elles ne s'y promènent plus. » Dans ce caractère, la Bruyère insinue que les femme de la ville ne se promène à cette endroit seulement au période où les hommes s'y baignent. Caractère 8: « Un homme de robe à la Ville, et le même à la Cour, ce sont deux hommes; revenu chez soi il reprend ses mœurs, sa taille et son visage qu'il y avait laissés; il n'est plus ni si embarrassé, ni si honnête. » Ce caractère démontre que la cour a pour effet de changer le comportement des gens comparer a celui qu'ils ont à l'extérieur car à la cour tout le monde est jugé alors on fait attention à son image. Caractère 17: « La subtile invention de faire de magnifiques présents de noces qui ne coûtent rien, et qui doivent être rendus en espèce. » Je ne suis pas sûr d'avoir réellement compris le sens de ce caractère mais selon moi il veut dire que si l'on fait un présent à quelqu'un cette personne doit absolument donner en retour, ce qui au final n'est plus vraiment un cadeau. Livre VIII De la Cour Caractère 6: «La province est l'endroit d'où la Cour, comme dans son point de vue, parait une chose admirable; si l'on s'en approche, ses agréments diminuent comme ceux d'une perspective que l'on voit de trop près. » Ce caractère démontre que la cour est très idéalise par la province alors que une fois vu de près on se rend compte qu'elle est loin d'être idéal. Caractère 34: « L'on voit des hommes tomber d'une haute fortune par les mêmes défauts qui les y avaient fait monter. » Ce caractère prouve que la fortune n'est pas définitive et que même au sommet on peut redescendre par les mêmes défauts qui nous avait fait monter au sommet. Caractère 47: « Mille gens à la Cour y traînent leur vie à embrasser, serrer et congratuler ceux qui reçoivent, jusqu'à ce qu'ils y meurent sans rien avoir. » Dans ce caractère la Bruyere montre que même si l'ont passe son temps à être être gentils et féliciter les autres cela ne veut pas dire que l'ont sera félicité à son tour pour nos exploit. Caractère 55: « Jeunesse du Prince, source des belles fortunes. » Selon moi la bruyère fait comprendre que la jeunesse du prince ne peut être que source de belles fortunes car il est prince et commence déjà en haut de la société Caractère 67: « Un noble, s'il vit chez lui dans sa province, il vit libre, mais sans appui; s'il vit à la Cour, il est protégé, mais il est esclave; cela se compense. » D'après moi, ce caractère veut dire que si un noble vit chez lui il n'est l'esclave de personne car il est propriétaire mais une fois à la cour il n'est plus propriétaire et doit céder au moindre caprice du roi car c'est grâce à lui qu'il est noble et qu'il a des terres Caractère 77: « Que manque-t-il de nos jours à la jeunesse? elle peut et elle sait; ou du moins quand elle saurait autant qu'elle peut, elle ne serait pas plus décisive » La Bruyère dit que même si la jeunesse sait énormément de chose elle ne saurait quand même pas assez pour pouvoir prendre de bonnes décisions Caractère 91: « Un homme qui a vécu dans l'intrigue un certain temps, ne peu plus s'en passer; toute autre vie pour lui est languissante. » Il explique qu'un homme qui a pris pour habitude vivre dans l'intrigue ne peut plus désengorger passer car il ne trouveras pas sa vie assez intéressante sans l'intrigue Caractère 97: « La faveur met l'homme au-dessus de ses égaux; et sa chute, au- dessous. » Ce caractère fait une contradiction car on ne peut pas être au dessus de personnes qui sont égales à nous sinon l'ont serait pas égales à elles Livre IX Des Grands Caractère : « La prévention du peuple en faveur des Grands est si aveugle, et l'entêtement pour leur geste, leur visage, leur ton de voix et leurs manières si général; que s'ils s'avisaient d'être bons, cela irait à l'idolâtrie. » Ce caractère montre que les Grands sont mauvais et son déjà très apprécier par le peuple alors si ils étaient bons il seraient idolâtrer par le peuple. Caractère 9: « Il est souvent plus utile de quitter les Grands que de s'en plaindre. » Ce caractère dit que si l'on est pas capable de supporter les Grands alors il vaut mieux les quitter plutôt que de s'en plaindre sûrement car il y aurait des répercutions et des ragots à la cour. Caractère 10: « Qui peut dire pourquoi quelques-uns ont le gros lot, ou quelques autres la faveur des Grands? » Je comprends ce caractère comme si avoir la faveur des Grand n'est finalement peut être pas une très bonne choses. Caractère 12: « Les Grands dédaignent les gens d'esprit qui n'ont que de l'esprit; les gens d'esprit méprisent les grands qui n'ont que de la grandeur: les gens de bien plaignent les uns et les autres, qui ont ou de la grandeur ou de l'esprit, sans nulle vertu. » J'interprète ce caractère comme si tout le monde méprisait tout le monde a la cour car si vous étiez quelqu'un avec Caractère 16: « Une froideur ou une incivilité qui vient de ceux qui sont au-dessus de nous, nous les fait haïr; mais un salut ou un sourire nous les réconcilie. » Ce caractère dit que les Grands se font haïr par leur mauvais comportement ou autre mais se font rapidement pardonner avec un simple action des plus banales. Caractère 36: « Tu es Grand, tu es puissant, ce n'est pas assez; fais que je t'estime, afin que je sois triste d'être déchu de tes bonnes grâces, ou de n'avoir pu les acquérir. » Ce caractère montre que les Grands doivent se faire estimer et être puissant sinon les autres ne le prendrons pas vraiment au sérieux et se ficherons d'être dans ses bonnes grâces ou non. Caractère 38: « S'il est périlleux de tremper dans une affaire suspecte, il l'est encore davantage de s'y trouver complice d'un Grand; il s'en tire, et vous laisse payer doublement, pour lui et pour vous. » Ce caractère démontre que les Grands quoi qu'il fassent ils s'en sortirons presque toujours, du moins toujours mieux que vous alors il ne vaut mieux pas se trouver complice d'eux car il n'hésiterons sûrement pas à vous trahir. Caractère 56: « L'on doit se faire sur les puissants; il y a presque toujours de la flatterie à en dire du bien; il y a du péril à en dire du mal pendants qu'ils vivent, et de la lâcheté quand ils sont morts. » Ce caractère dit que dans tout le cas il ne vaut mieux pas parler ses Grands car si l'on en dit du bien c'est pris comme de la flatterie mais si l'on en dit du mal c'est du péril mais une fois mort de la lâcheté de ne pas l'avoir dit quand ils étaient vivants Livre X Du Souverain ou de la République Caractère : « Quand l'on parcourt sans la prévention? de son pays toutes les formes de gouvernement, l'on ne sait à laquelle se tenir; il y a dans toutes le moins bon, et le moins mauvais. Ce qu'il y a de plus raisonnable et de plus sûr, c'est d'estimer celle où l'on est né la meilleure de toutes, et de s'y soumettre. » Il dit que là meilleur solution pour savoir quelle gouvernement suivre c'est de suivre celui on l'on est né. Caractère 2: « Il ne faut ni art ni science pour exercer la tyrannie; et la politique qui ne consiste qu'à répandre le sang est fort bornée et de nul raffinement; elle inspire de tuer ceux dont la vie est un obstacle à notre ambition; un homme né cruel fait cela sans peine. C'est la manière la plus horrible et la plus grossière de se maintenir, ou de s'agrandir. » Il dit que certaine personne n'ont aucun problème à tuer ceux qui sont un obstacle a leur ambition qu'il soit intelligent ou non. Caractère 17: « Rien ne fait plus d'honneur au prince, que la modestie de son favori. » A cette époque le roi se sentais très honoré lorsque son favoris faisait preuve de modestie Caractère 26: « Tout prospère dans une monarchie, où l'on confond les intérêts de l'État avec ceux du prince. » Il ne faut pas confondre les lois et ordres du roi qui sont dans l’'intérêt de l'Etat avec ceux qui sont dans le seul intérêt du roi Mon avis sur ce livre La Bruyère -« Les Caractères >> Je n'ai pas vraiment aimé ce livre car le format de petits caractères et non de chapitre et d'un texte m'a déranger dans ma lecture car je trouve difficile de suivre avec ce type d'écriture. Je n'ai pas compris beaucoup de caractères ce qui m'a empêcher de vraiment comprendre ce livre et de pouvoir en faire une réel analyse et le fait qu'il n'y est pas vraiment une histoire à suivre mais plusieurs petites m'a compliqué un peu ma lecture.