quelles mutations du travail et de l’emploi

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en plus incertaines entre les catégories Cette écart est donc nommé : Halo du chômage: correspond à l'ensemble des individus qui ne sont pas considérés comme chômeurs au sens du BIT, mais dont la situation est proches. Bindép. + salaries 90% marvelles formes: auto-entrepeneu Statuts مه l''emploi, variables influencent) diplome sexe age CDO Den emplois antquien alfriques Ⓒemplacis typiques ⒸCDI Breste majoutais Ainsi, tracer une frontière entre emploi, chômage et inactivité est devenu difficile. Ceux- ci voulant travailler mais n'y parvenant pas ou encore pas disponible sous 15 jours. Enfin, le sous-emploi doit également être prit en compte (actifs étant à temps partiel voulant travailler plus). C/ Des statuts de l'emploi de plus en plus variés Emploi typique: correspond à un CDI, à temps plein avec un seul employeur. Emploi atypique: correspond à un CDD, intérim, instabilité de l'emploi. D/ Quels sont les critères qui permettent de mesurer la qualité d'un emploi ? Qualité des emplois : désigne la manière dont l'exercice d'un emploi contribue à la satisfaction de celui qui l'exerce. La qualité d'un emploi est multi-dimensionnelles (salaire, condition de travail). Horizon de carrière : capacité pour un salarié d'accéder à une formation continue. C'est donc un élément déterminant pour la qualité de l'emploi. L'OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) s'appuie sur trois critères pour mesurer la qualité d'un emploi: condition de travail (tâches variées, répétitives) et l'environnement de travail (matériaux dangereux) Contenu du travail, niveau de salaire et le niveau de rémunération auquel l'actif pourra prétendre Garantit apporter par le droit du travail en particulier pour les salariés, tel que la sécurité de l'emploi, la stabilité, la protection sociale, le CDI, un avancement au cours de sa carrière L'eurostat souhaite également l'expliquer par de multiples critères. Cependant, aujourd'hui avec la dégradation de la conjecture économique et la recherche permanente de flexibilité, la qualité de l'emploi se mesure donc vers le dialogue social au niveau national et local. Au niveau social, elle se préserve avec les acquis sociaux mais également d'une certaine sécurité économique (SMIC, assurance chômage en cas de perte d'emploi), alors qu'au niveau de l'entreprise elle repose plus sur la perspective de carrière à ses salariés mais également un potentiel de formation continue permettant une reconversion en cas de besoin ou encore d'évoluer au sein de sa carrière. II/ Quelles sont les évolutions de l'organisation du travail ? A/ Du taylorisme au post-taylorisme -> le modèle Taylorien: organisation scientifique du travail (OST) Selon Taylor, il faut observer le One Best Way pour trouver une méthode de production plus efficace, en se servant d'observation scientifique. Alors Taylor met en avant trois grands principes d'organisation au cours de la première moitié du XXe siècle: -la division verticale (principe de hiérarchisation): bureau des études ou siège les ingénieurs définissant un « one best way » pour le processus de production que les ouvriers doivent appliquer. Ainsi la réflexion des tâches à accomplir et retirer aux ouvriers pour la transféré aux ingénieurs, cette spécialisation des tâches aux ouvriers est vérifiée par des contremaître qui sont chargés d'éviter les temps morts pour maximiser la productivité des ouvriers. Il s'agit donc de séparer les taches de conception et d'exécution. -la division horizontale (parcellisation) : les taches sont simplifier à l'extrême et les ouvriers doivent se spécialiser dans une tâche pour la maîtriser à l'extrême par la répétition du geste, c'est la spécialisation de l'ouvrier. Ainsi, cela maximise également la productivité mais déshumanise les individus. -double division du travail -Le chronométrage et le contrôle permanent des contre maîtres permettent de mesurer la productivité des salariés et leur verser un salaire au rendement. -> des organisations post-taylorienne du travail pour dépasser les limites du travail encrumon : Nchema de synthèse Bilan des NOT et les modi t-tayr Exterma quantitati flenibilita Kinting lains what NFOT pat Nomes manageme -t/oux de d (arba) [posts des taches C Organisation post-taylorienne du travail: organisation qui repose sur une logique du « juste à temps » qui demande à ses salariés plus de polyvalence, plus de flexibilité et plus d'implication au sein de l'organisation. Management participatif: mode de gestion de l'organisation qui consiste à faire participer les salariés aux prises de décisions de l'organisation, mais également à l'amélioration du processus productif. ->assisté t-on a un retour du taylorisme dans nos sociétés actuelle ? Aujourd'hui le modèle taylorien n'a pas tout à fait disparu, malgré la robotisation les entreprises de services connaissent des conditions de travail très proche de celle des ouvriers comme dans la restauration rapide, les sociétés de nettoyage, la grande distribution. Cela se caractérise par des tâches précises et minuté à accomplir de manière répétitive. ->comment les évolutions de l'organisation du travail ont-elles affectés les conditions de travail ? Positif: autonomie, enrichissement du travail Négatif : contrôle par le numérique et le client, alourdissement du travail B/ Qu'elles sont les impacts du numérique sur le travail et l'emploi ? Télétravail: exercer tout ou une partie de son activité professionnelle de son domicile ou un lieu extérieur à son entreprise. Effets du nomerique Brouillage des ontières nu trava Nouvelles relations d'emplo Polarisation des emplos tele travail frontière four vie personnelle/professió nnelle développement de plateformes nuériques travail juridiquement angependant mais econbriquement déclin d'emplon intermédiairesatăchest automatisables essor emplois pou -> le numérique brouille les frontières du travail (télétravail, travail/hors travail) Le télétravail points positifs : pour le salarié: autonomie, gain de temps (plus de temps de transport). Pour l'employeur : flexibilité du travail, productivité du travailleur et réduction de l'absentéisme. Le télétravail points négatifs : la délimitation entre la sphère du privé et professionnel devient plus complexe à établir, risque que le travail empiète sur la vie privée, salarié sollicité par son employeur à toute heure, burnout car travaille plus. De nouvelles inégalités ont également lieu car un ouvrier pourra moins télétravail et qu'un salarié. -> le numérique contribue à la polarisation de l'emploi Polarisation des emplois : augmentation du nombre d'emplois peu qualifiés et qualifiés, et diminution du nombre d'emplois intermédiaires III/ Les évolutions de l'emploi affectent-elles le pouvoir intégrateur du travail ? A/ Le travail, un facteur essentiel d'intégration sociale ->accès à un revenu et donc à la consommation, aux droits sociaux mais également à un réseau de sociabilité et à une identité sociale (citoyenneté réelle = intégration à la société + sentiment de se sentir utile) -> Émile Durkheim: division du travail contribue à renforcer les liens d'interdépendance entre les individus créant une solidarité organique -> intériorisé normes et valeurs collectives. Contribue à la socialisation secondaire et professionnelle de l'individu car il partage le même rythme de vie (horaires, vacances), satisfaire les normes de consommation (logement), bénéficier de protection sociale (vieillesse, maladie). La fréquentation de collègues permet de tisser de nouveaux liens sociaux et donc c'est intégré un nouveau groupe permettant d'enrichir son capital social et son intégration sociale (syndicats) ->femmes: c'est affranchir de la tutelle masculine et économiquement indépendante Cependant la nouvelle forme de travail peuvent affaiblir ce pouvoir intégrateur. B/ Des mutations de l'emploi qui viennent affaiblir et remettre en cause cette instance d'intégration sociale -> chômage de masse (1970): - perte de revenus et du statut social = sentiment d'inutilité. La rupture du lien professionnel s'accompagne d'un affaiblissement des réseaux sociaux et de la sociabilité car il perd le contact avec ses collègues, la famille (divorce) ou encore amicaux (absence de moyens financiers) = Robert Castel (processus de désaffiliation) -stigmatisation : disqualification sociale (dégradation de soi-même) = Serge Paugam, dévalorisation qui est porté sur les exclus ce qui renforce leur isolement. -risque de pauvreté (allocations chômage (logique d'assurance), bascule au RSA (logique d'assistance) ce qui les oblige à affronter la pauvreté au quotidien, l'individu se sont donc exclus des normes usuels de consommation et même parfois des plus essentiels (logement, alimentation) = privation matériel -> Précarisation des emplois (CDD) et du monde du travail: La part des emplois ayant des contrats plus précaire (protection sociale plus faible, instabilité de l'emploi (salaire)) à été multiplié par deux par exemple pour le CDD, entre 1982 et 2018. Alors 3 instabilités: -aller retour entre les périodes d'emploi et de chômage, en effet une personne ayant un CDD pour trois mois se retrouvera ensuite au chômage ce qui accroît le risque de pauvreté et qui rendre très compliqué l'accès à un crédit immobilier par exemple -impossibilité à s'inscrire durablement dans un collectif de travail et de créer des relations sociales longue et solide -empêche les évolutions de carrière car un employeur n'aurait aucun intérêt à former un individu étant dans son entreprise pour une courte durée.