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terminale SES - les crises

07/12/2021

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SES - les crises
Années 80: expansion du système financier mondial. Création de places
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SES - les crises Années 80: expansion du système financier mondial. Création de places boursières comme Euronext à Paris. Système financier: ensemble des institutions (acteurs et marchés financiers) mondialisés qui organisent les transactions financières. Il organise le fonctionnement de différents marchés dans le but d'assurer une plus grande mobilité du capital et une plus grande fluidité des échanges. -> Utilité : incitent les agents économiques à placer leur épargne grâce aux actions, obligation etc et permettent aux entreprises de trouver des sources de financement en les émettant. Ils sont des sources de déstabilisation de l'économie mondiale et nationale via de terribles crises financières ayant des effets délétères sur l'économie réelle (chômage, inflation...) donc nécessité d'instaurer une plus grande efficacité de régulation du système. Marché des capitaux : lieu de rencontre entre une offre et une demande de titres financiers. à court et moyen terme (marché monétaire) marché interbancaire : échange de monnaie centrale entre banques (refinancement des banques de second rang) marché des titres de créances négociables titres de créances qui peuvent être vendus sur le marché monétaire (ex : bons du Trésor par l'Etat) à long terme (marché financier): - Marché des actions : parts du capital des entreprises qu'elles vendent au prix du marché contre le versement de dividendes aux propriétaires des actions. - marché des obligations : emprunts directs sur le...

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marché contre le versement d'intérêts. - marché de formes hybrides d'obligations : obligations que l'on peut convertir en action Marché des changes Sert essentiellement à convertir des monnaies entre elles en réunissant des agents économiques désirant transformer des actifs financiers libellés dans une devise dans une autre devise (exportations/importations). devise : créance libellée en monnaie étrangère (ex: le dollar est une devise car c'est une créance dont on dispose sur l'économie américaine). La bourse aide les agents en besoin de financement qui recherchent des fonds pour financer leurs investissements (ménage et banques) ainsi que ceux en capacité de financement qui recherchent des placements pour faire fructifier leur épargne (ainsi les titres financiers remplacent les livrets d'épargne traditionnels pour les ménages). Ce type de financement a largement dépassé les crédits des banques traditionnels mais les banques gardent un rôle crucial car c'est un intermédiaire entre les agents pour la rencontre sur la marché financier. Marché primaire : lieu où les titres financiers sont émis pour la première fois Marché secondaire : lieu où les agents peuvent revendre leurs titres contre un prix fixé par la loi de l'offre et de la demande. (comportements spéculatifs). I) caractéristiques et causes des crises financières A) qu'est ce qu'une crises financière ? Crise : retournement du cycle à la baisse de l'activité économique ou au point de retournement au cours duquel les cours des actifs chutent brutalement sur les marchés financiers. -> crise économique : interruption du processus de croissance se traduisant par un ralentissement puis une récession (baisse du PIB), voire une dépression économique (baisse du PIB, explosion du chômage, déflation). Au sens large, elle désigne l'ensemble de la période au cours de laquelle l'activité est déprimée, impactant l'économie réelle. -> crise financière : désigne le point de retournement au cours duquel les cours des actifs financiers chutent brutalement sur les marchés financiers. Survient après une phase d'euphorie. Institutions financières en difficulté (soit parce que les empreintes ont du mal à rembourser leur crédit, soit parce que elles détenaient elle même des actifs financiers dont le prix s'écroule. 4 types de crises financières : - crises boursières (ou krach boursier): très forte chute du cours des titres cotés en bourses ou obligataires (actions et obligations, marché des capitaux de long terme secondaire). crises bancaires : faillite des banques qui fait suite à une situation d'illiquidité ou d'insolvabilité. - crise des dettes souveraines : incapacité d'un Etat à rembourser sa dette (ses créanciers) vis à vis des agents économiques ou des investisseurs internationaux. - crise de change effondrement de la valeur d'une ou de plusieurs devises (monnaies) sous l'effet parfois violent des ajustements de taux de change, d'une dévaluation forcée, ou encore des attaques spéculatives des détenteurs d'actifs à l'échelle internationale. Ue crise financière peut conduire à une crise économique mais pas tout le temps. La récurrence des crises depuis les années 80 coïncide avec la dérèglementation des marchés financiers et la libéralisation des mouvements des capitaux. La crise de 1929 Call loan : achats d'actions financés par des emprunts à très court terme, eux mêmes, garantis par le prix des actions. Par exemple, un investisseur achète un titre financier avec une couverture de 10%, donc pour un titre acheté à 100 euros, l'acquéreur débourse 10 euros et peut emprunter les 90 autres euros à la banque pour acquérir le titre. Si le cours de l'action augmente, le profit du titre permet de rembourser le capital et le taux d'intérêt, et de réaliser une plue value. On appelle cet effet << l'effet levier » : fait d'acquérir du capital grâce à l'endettement. Fin de l'été 1929: ralentissement de la production. Certains investisseurs prennent conscience que la valeurs des tires est surévalué par rapport à la situation réelle de l'économie. Ils vendent leurs titres. En voyant le cours de leurs actions baisser, les boursicoteurs les vendent à leur tour (comportement mimétique). Tout le monde vend, plus personne ne veut acheter = effondrement du cours des titres financiers. Comportement mimétique : Sur le marché, on possède pas toutes les infos car brassage de milliers d'euros. Les investisseurs adoptent donc des comportement mimétiques, c'est à dire qu'ils imitent les autres (même comportement d'achat ou de vente), par suivisme par manque d'infos (l'investisseur croit que celui qui réalise un acte a plus d'info que lui). John M. Keynes montre en 1926 que les agents prennent une décision en anticipant le comportement des autres. Comportement mimétique -> anticiper ce que les autres anticipent, prévoir la psychologie du marché (exemple du concours de beauté : On est récompensés si celle qu'on a choisit est au final celle qui gagne, donc il ne faut pas choisir celle qu'on trouve personnellement la plus belle mais celle qu'on pense être l'opinion des autres). rumeur = copie = croyance collective (contagion) Mimétisme = on suit la tendance Mimétisme autoréférentiel : stratégie de jeu, on essaye de deviner la tendance Le mimétisme est un comportement rationnel car on s'en tient uniquement au cours d'une action, voir son cours monter traduit un optimisme de la part des autres investisseurs qui ont accès à l'info pertinente. Prophétie autoréalisatrice : situation dans laquelle quelqu'un qui prédit ou s'attend à un événement, souvent négatif, modifie ses comportements en fonction de ces croyances, ce qui a pour conséquence de faire advenir l'anticipation. -> Une prophétie (ou anticipation) ne peut devenir auto-réalisatrice sur un marché que si un nombre suffisant d'agents l'adopte (croyance collective comme quoi tel actif va augmenter ou baisser dans le futur). La hausse des achats de l'actif = hausse effective du prix de l'actif. => peu importe que les craintes soient fondées, la seule crainte de la crise peut suffire à l'engendrer. Rumeur de faillites des banques suite à la vente des actions des spéculateurs ruinés -> bank run (les individus se ruent sur les guichets des banques pour récupérer leur argent en dépôt).` krach boursier : désigne un effondrement des cours des actions sur une ou plusieurs places financières. Effets du krach sur les banques, entreprises, croissance, chômage conséquences éco: Baisse du PIB, faillites de 76 millions de banques aux EU, augmentation du taux de chômage, baisse du revenu national, commerce mondial baisse de deux tiers, crise se propage à l'échelle mondiale. Conséquences sociales agents ruinés, pauvreté explose, augmentation des manifestations des chômeurs. propagation protectionnisme mit en place par les EU, les américains qui avaient placés leur capitaux en Europe les rapatrient aux EU. réponses de l'Etat impulsion budgétaire faible, politique de relance prudente, manque de réactivité des banques centrales, politique de relance monétaire lente et modeste. La crise de 2008 risque de défaut : risque qu'un agent qui a emprunté ne parvienne plus à honorer ses engagements de paiement des intérêts ou de remboursement de sa créance. Garantie hypothécaire : correspond, lors d'un emprunt, à un dispositif qui permet à l'établissement prêteur de se protéger en cas de défaillance de l'emprunteur. Si défaut de paiement, la banque peut récupérer le bien hypothéqué pour le revendre et récupérer les fonds octroyés. crédits subprimes: crédits accordés à des ménages donc les capacités de remboursement son faibles, voire quasi nulles (à l'inverse des crédits prime). Ce sont des prêts hypothécaires que si le ménage de peux plus faire face au remboursement du crédit, la banque peut saisir le bien immobilier pour le rendre et récupérer les fonds prêtés. Teaser rate : taux d'intérêt initial d'un crédit subprime moins élevé que pour les années qui suivent. Qualifié de « promotionnel » car son objectif est d'attirer des emprunteur potentiels. Deux raisons aux défauts de paiements des crédits subprimes : vise les ménages pauvres à faible capacité de remboursement et taux d'intérêt variable (moins élevé au début). Titrisation : opération financière qui consiste à transformer des crédits bancaires en titres financiers négociables, cédés ensuite à d'autres investisseurs. La banque a tout intérêt à faire ça car elle transfère les risque de défaut de paiement des crédits aux acquéreurs des titres financiers. Cela leur permet d'alléger leur bilan en faisant disparaitre des créances et de dégager de nouvelles capacités de prêts (et ainsi démultiplier les crédits sans en supporter le risque). Elles se déresponsabilisent. Acquéreur perçoivent des intérêts en guise de rémunération et en cas de défaut de paiement de l'emprunteur ils ont assurés par la revente du bien immobilier. Cependant, ils ne savent pas trop ce qu'ils achètent car la titrisation consiste à assembler des crédits de natures différentes. Le mécanisme de titrisation a disséminé les titres très risqués dans les bilans de nombreuses banques -> craintes sur les faillites bancaires. Les banques en excédent on arrêté de prêter aux autres, car elles ne connaissaient pas la situation financière des autres banques. De plus, la baisse des prix de l'immobilier a entrainé la baisse de la valeur hypothécaire. Les banques ne pouvaient plus récupérer les sommes prêtées à la revente des biens en cas de défaut de paiement -> risque de faillite. Effets de la crise baisse de la production mondiale, baisse des échanges mondiaux, augmentation du taux de chômage. Réponses de l'Etat Ne reproduisent pas les mêmes erreurs qu'en 29. Forte impulsion budgétaire avec plan de relance, recapitalisation des banques, soutient de l'activité économique. Politique monétaire extrêmement expansionniste (taux d'intérêts faibles, croissance rapide de la masse monétaire). Fluctuation de la croissance économique : ensemble des mouvements de ralentissement ou d'accélération du rythme de la croissance économique. Sur longue période -> périodicité de 4 phases: expansion, crise, récession, reprise B) A l'origine des crises financières, les bulles spéculatives ? Spéculation : opération consistant à tirer profit (par une plus value) de la bonne anticipation d'un prix. Le spéculateur va acheter s'il anticipe que le prix va augmenter dans le futur ou revendre avant la baisse du prix. Cette anticipation comprend le risque de se tromper. Un vendeur va gagner si il vend son blé qui n'a pas encore poussé a un prix plus élevé que le futur prix du blé,. L'acheteur va gagner si il achète le blé à un prix moins élevé que le futur prix du blé. Il est interdit de lancer des rumeurs sur le marché car acheteurs et vendeurs ne disposent pas de la bonne information (asymétrie d'informations), ce qui peut influencer et les induire en erreur. La spéculation sert à la fixation des prix, et a apporter de la liquidité (capitaux) au marché : Les spéculateurs prennent position contraire à la tendance du marché (vendre quand tout le monde achète et inversement). C'est une activité rationnelle car elle repose sur l'analyse des tendances avec des indicateurs économiques réels et objectifs, que le chartiste met à jour, ou en réagissant aux annonces. La valeur des actifs financiers est liée aux anticipations rationnelles des opérateurs de marché sur les revenus que cet actif peut procurer. Mais elle a des tendances non rationnelles car ça repose sur l'intuition (feeling), le fait de sentir le marché (psychologie du marché) (argument de Olivier Godechot). bulle spéculative : situation au cours de laquelle le prix d'un actif (immobilier, financier...) augmente sans que cette hausse soit corrélée avec la valeur réelle de l'actif en question. Il y a bulle spéculative lorsque le prix d'un actif augmente en continu, de manière excessive, de telle sorte qu'il s'éloigne de sa valeur fondamentale. Les prix augmentent fortement pour finir par chuter brutalement. Elles concernent les actifs financiers mais aussi non financier. Une bulle devient spéculative parce que la hausse de la valeur de l'actif n'est pas justifiée par l'évolution des caractéristiques réelles de l'actif. La bulle est alimentée par les comportements spéculatifs et s'explique par la croyance des acheteurs que les cours vont continuer à monter. La demande pour ces actifs est alors supérieure à l'offre, d'ou l'augmentation de leur valeur. La cause sont des anticipations exagérément optimistes. Ces bulles finissent tjrs par exploser parce que la déconnexion entre le prix de l'actif et sa valeur réelle ne peut perdurer éternellement. Les agents du marché deviennent nerveux car ils se rendent compte que le prix est trop élevé, ils veulent s'en débarrasser rapidement et cela conduit à un krach boursier. Lien entre bulles financières et crise financière : Les crises financières sont dues à l'éclatement des bulles spéculatives, effets néfastes sur la stabilité économique tant à la hausse (excès d'endettement, insuffisance d'épargne) qu'à la baisse (risque de déflation et de crise bancaire). Prévision de hausse du prix d'un actif = hausse des achats de l'actif (comportement mimétique) = hausse effective du prix de l'actif (prophétie auto réalisatrice) = déconnexion entre prix de l'actif et sa valeur réelle (bulle spéculative) = crainte d'une baisse du prix de l'actif = hausse des ventes de l'actif (comportement mimétique) = baisse effective du prix de l'actif (prophétie auto- réalisatrice) = krach boursier (éclatement de la bulle spéculative). Le paradoxe de la tranquillité Selon Hyman Minsky (économiste américain postkéneysien), la croissance porte les germes de la crise. Paradoxe de la tranquillité : c'est au cours de la phase haussière du cycle que se mettent en place tous les facteurs déclencheurs d'une crise en raison de l'optimisme des agents économiques et des systèmes bancaires qui anticipent toujours des niveaux de profits plus élevés conduisant à une augmentation des investissements. C'est fait que lorsque la situation économique est saine, les agents économiques sont optimistes et s'endettent. La crise trouve ses sources dans les évolutions de la sphère financière durant la phase d'expansion. La recherche de profit génère des comportements à risque qui ouvrent la voie à une crise financière. Début de la phase d'expansion optimiste limité, prudent, octroi de crédits restreints aux agents les plus solvables (projets d'investissements supérieurs à la somme due) Suite de la phase d'expansion: optimise diffusé à l'ensemble des agents, banques plus enclines à distribuer des crédits car elles ont déjà prêté précédemment à des agents très solvables. Puis, augmentation des comportements spéculatifs -> augmentation des prix des actifs. Plus les cours grimpent, plus les agents vont s'endetter pour acheter des actifs, ce qui accentue la hausse des cours -> bulle financière Phase Ponzi : Les investisseurs fondent leur capacité de remboursement sur la vente future des actifs achetés par leurs emprunts. Phase de croissance d'un cycle financier : innovation = anticipation de forts rendements = endettement = excès d'optimisme = surendettement Le processus de crise s'enclenche au moment Minsky -> les détenteurs d'actifs doivent les vendre pour se désendetter, mais comme tout le monde vends, les cours chutent et cela amplifie la crise financière. La banque centrale augmente le taux d'intérêt pour lutter contre l'inflation. Les banques too big to fail banque systémique : banque au poids si important que sa faillite est susceptible d'entrainer la faillite d'autres banques et de pénaliser significativement l'activité économique. Alé moral : comportement caché ou changement de comportement dans une relation contractuelle (après la signature d'un contrat). Dans la mesure ou la faillite des banques systémiques entrainerai la faillite d'autres banques, les autorités doivent intervenir pour les sauver. les gouvernements vont les renflouer (entrée dans le capital) la banque centrale va jouer son rôle de prêteur de dernier ressort Présence d'Aléa moral : une banque systémique sait qu'elle pourra prendre plus de risques (crédits octroyés) car elle sera de toutes façons sauvée par les autorités en cas de faillite -> aléa moral entre les banques systémiques et les autorités. Shadow banking: ensemble des institutions financières qui ne sont pas des banques traditionnelles, mais qui assurent certaines fonctions traditionnellement assurées par ces dernières. elles ont pour activité principales le trading de titres financiers. Elles n'ont pas le pouvoir de création monétaire, ne peuvent pas octroyé de prêts, et ne bénéficient pas des possibilités de refinancement par la banque centrale. La titrisation a engendré le développement de ce système bancaire parallèle, car, non soumises aux mêmes contraintes que les banques traditionnelles, elles s'endettaient fortement pour acheter des titres. II) quels sont les effets des crises financières ? A) Panique bancaire et faillite bancaires en chaine Fonds propres : capitaux que la banque a en sa possession, apportés par les propriétaires et les profits. Ils représentent 10% du bilan d'une banque. Risque d'illiquidité : lorsqu'une banque n'arrive pas à se procurer des capitaux sur le marché interbancaire. risque d'insolvabilité : lorsqu'une banque n'arrive plus à honorer ses engagements (payer ses dettes). Bank run : Lorsque les clients se ruent vers les banques pour retirer leur dépôt.