L'expression de la peur dans le fantastique
La peur n'est pas toujours la même selon son intensité ! Tu peux la classer en trois niveaux : faible (inquiétude, souci), moyenne (angoisse, crainte) et forte (terreur, épouvante, panique).
Les manifestations physiques de la peur rendent le récit plus réaliste. Les sueurs froides, la chair de poule ou les jambes en coton : ces expressions parlent à tout le monde ! Elles permettent au lecteur de s'identifier au personnage.
Pour créer le doute caractéristique du fantastique, les auteurs utilisent des procédés spéciaux. Le conditionnel ("il aurait vu"), les phrases interrogatives ("un bruit ?") ou les adverbes "peut−e^tre" maintiennent l'incertitude.
💡 Bon à savoir : Dans tes analyses de textes, repère ces mots de doute - ils sont la signature du genre fantastique !