Les conséquences sociales et politiques de la crise
La crise économique provoque des banqueroutes en série et pousse les gouvernements à la dévaluation de leur monnaie pour rester compétitifs. La déflation s'installe : les prix baissent, mais les salaires aussi, créant un cercle vicieux de récession.
Les citoyens perdent leurs économies, leurs maisons sont saisies par hypothèque, et la colère monte. Cette frustration alimente le populisme et l'autoritarisme. Les démocraties semblent incapables de résoudre la crise, ce qui favorise l'antiparlementarisme.
Le bolchévisme en URSS propose une alternative au capitalisme défaillant. Face à cette menace, certains pays adoptent l'interventionnisme économique ou créent des États-Providence pour protéger leurs citoyens. D'autres basculent vers la nationalisation des entreprises stratégiques.
💡 Retiens ça : La crise de 1929 a forcé tous les États à repenser le rôle du gouvernement dans l'économie !