Violence et terreur : les armes du totalitarisme
Malgré la propagande massive, l'adhésion des populations reste variable. L'Allemagne et l'URSS obtiennent une forte adhésion, tandis qu'en Italie, le parti reste plus faible et la propagande moins efficace.
Des formes de résistance émergent partout : le mouvement étudiant de la "Rose Blanche" à Berlin imprime des tracts clandestins, des tentatives d'attentat visent Hitler en 1939, des intellectuels comme le journaliste Malaparte critiquent le fascisme italien.
💡 Courage héroïque : Résister au totalitarisme demande un courage extraordinaire !
Pour briser toute opposition, ces régimes utilisent la violence systématique. En URSS, la police politique (Tcheka, puis NKVD) déporte 20 millions de Soviétiques dans les goulags. Les "Grandes Purges" de 1936-1938 font 2 millions de victimes, même parmi les membres du Parti communiste.
L'Italie fasciste crée l'OVRA en 1927, assassine des leaders socialistes comme Matteoti, et adopte des lois raciales contre les Juifs. L'Allemagne nazie va encore plus loin avec la Gestapo, les premiers camps de concentration, et des violences organisées comme la "Nuit de cristal" en novembre 1938.