Bonheur = chance ou état d'esprit ?
Quand le bonheur, c'est juste de la chance
Si tu considères le bonheur comme un ensemble de circonstances favorables, alors franchement, tu n'y peux pas grand-chose. Naître dans une famille aimante, avoir de la santé, éviter les galères... c'est du hasard pur ! Dans cette vision, le bonheur arrive de manière totalement aléatoire et la seule chose à faire, c'est de vivre au présent.
Épicure et ses remèdes anti-stress
Mais Épicure n'était pas d'accord ! Pour lui, le bonheur dépend totalement de notre état d'esprit. Il avait même des "remèdes" contre l'angoisse : les dieux s'en fichent de nous, la mort n'est rien, toute souffrance est supportable, et tous les plaisirs ne valent pas le coup.
Épicure classait les plaisirs en trois catégories : les naturels nécessaires (manger, dormir, l'amitié), les naturels non nécessaires tonweek−enddeˊtente, et les non naturels non nécessaires (la richesse, le luxe). L'idée ? Faire un calcul des plaisirs intelligent pour éviter les conséquences pourries.
💡 Spinoza ajoute un truc génial : on peut désirer ce qui ne nous manque pas, comme l'amour qu'on a déjà !
L'objectif ultime ? Atteindre l'ataraxie, cette sérénité totale où plus rien ne te perturbe.