Le souvenir de Pauline
Heureusement, Raphaël finit par se rappeler qui était vraiment Pauline ! Ce souvenir est personnifié et lui montre la véritable beauté de cette fille simple et naturelle.
Il la revoit "coudre" dans une atmosphère de sagesse, décrite par trois adjectifs apaisants : "paisible", "silencieux", "calme". Cette Pauline-là a choisi la voie du savoir, totalement opposée à la débauche de Raphaël.
Le contraste est saisissant entre "le jour descendant de ma lucarne" (naturel) et "l'aurore des bougies" (artificiel). Raphaël retrouve aussi les souvenirs sonores : la "voix", le "timbre", les "cantilènes" de Pauline qui créait de la vraie beauté.
Ce souvenir agit "comme un remords" et "comme une image de la vertu". Raphaël réalise enfin que sa vie n'est que destruction - il parle d'"effroyable orage" et d'"enfer". Il veut maintenant protéger Pauline de ses excès.
À retenir : Le vrai souvenir de Pauline révèle à Raphaël la beauté de la simplicité et de l'authenticité.