Le paradoxe de Colette face au Midi
Tu penses que tout le monde adore la Côte d'Azur ? Colette va te surprendre ! Elle commence par un paradoxe saisissant : "Beau Midi, tu me plais, mais je ne t'aime pas."
L'auteure utilise une apostrophe pour s'adresser directement au Midi, créant un dialogue intime. Elle reconnaît sa séduction : le soleil, la chaleur, la mer brillante. Mais cette beauté cache un piège.
Les sens tactile et olfactif révèlent la déception. Les fleurs n'ont pas de parfum, l'herbe pique au lieu d'être tendre, les plantes "blessent la main". Colette dénonce un paysage trompeur qui éblouit mais ne nourrit pas l'âme.
💡 À retenir : Le paradoxe initial structure tout le texte et révèle la superficialité du Midi touristique.