Conclusion et ouverture de l'analyse linéaire de "Sido"
Cette dernière page conclut l'analyse linéaire de Sido en répondant à la problématique posée. La promenade à l'aube est présentée comme un moment exceptionnel pour l'enfant, lui permettant de découvrir un monde originel et primitif. Bien que raconté à la première personne, le souvenir est évoqué sous forme de conte et de mythe.
Colette adulte porte un regard ému sur son enfance, qu'elle considère comme un âge d'or. Cette perspective nostalgique renforce la célébration de l'enfance et de sa relation privilégiée avec la nature.
En guise d'ouverture, l'analyse souligne que l'écriture de Colette s'apparente à un hymne à la nature. L'auteure est comparée au rossignol des "Vrilles de la vigne", décrit comme un "chanteur éperdu, enivré et haletant".
La page se termine par la reproduction du texte analysé, intitulé "Sido, 'la célébration de la nature'", qui commence par "Étés réverbérés par le gravier jaune et chaud...".
Highlight : L'analyse linéaire de "Sido" révèle comment Colette transforme un souvenir d'enfance en une célébration poétique de la nature et de l'innocence, mêlant habilement autobiographie, conte et mythe.
Vocabulary : Épiphanique - qui est l'objet d'une révélation soudaine, inattendue